Une victoire historique, possiblement révolutionnaire !

 De Blanche Europe; Tradution de l’article de The Occidental Observer.

C’est une victoire extraordinaire. Les étoiles étaient alignées. Tout d’abord, que Trump parvienne à être nommé candidat républicain. Puis il se retrouve face à la candidate la plus corrompue, la moins charismatique de l’Histoire (je pense que Joe Biden aurait battu Trump, et peut-être même Bernie Sanders l’aurait fait) à un moment où les Américains veulent naturellement du changement après 8 années d’Obama.

Fondamentaleent, c’est une victoire des Américains Blancs contre les élites oligarchiques, hostiles, qui ont dirigé ce pays depuis des décennies. Trump a réussi une prise de contrôle du parti républicain et a gagné sans le soutien ou seulement avec le soutien tiède etvacillant de l’essentiel des élites du GOP.

En mai 2015, j’étais très découragé par nos perspectives. Il ne semblait simplement pas que nous pouvions briser le consensus des élites dominants toutes les positions supérieures – et la supériorité morale perçue – des États-Unis, dont les médias (journaux, télévision, et le monde cinématographique d’Hollywood), le monde universitaire, la politique, Wall Street, et les PDG des grandes entreprises. Nous étions systématiquement exclus et il était évident que les autorités constitués n’allaient pas laisser l’Alt-Right obtenir un siège à la table.

Quand Trump a annoncé sa candidature, c’était difficile à prendre sérieusement, mais ses commentaires sur l’immigration, le nationalisme américain, le politiquement correct et le commerce ont certainement touché une corde sensible. Ma réaction immédiate (en) (au 10 juillet 2015), cependant, était qu’il avait deux choses en sa faveur qui étaient absolument uniques – c’est une célebrité et il est très, très riche. Une telle personne est dans une position pour être entendue ; il ne peutpas être exclu des médias et il n’a pas besoin de l’argent de la classe corrompue des donateurs. En fait, les médias, avides d’audience, lui ont donné des opportunités innombrables pour diffuser son message. Quiconque dans l’Alt-Right aurait pu dire exactement les mêmes choses, mais nous parlerions dans nos placards.

Même alors en juillet 2015, il était évident que Trump n’était pas un candidat habituel du GOP :

[Trump] n’a certainement pas chuté dans mon estime quand il a attaqué deux agents éminents de la connexion parti républicain/lobby israëlien hostiles à sa candidature, Charles Krauthammer et Jonah Goldberg. Puis il y a l’incident twitter : « Je vous promet que je suis beaucoup plus malin que Jonathan Leibowitz – je veux dire Jon Stewart@TheDailyShow » tweetait Trump, ajoutant, « Qui, au passage, est totalement surévalué ». C’est, bien entendu, considéré « antisémite » de jamais porté à l’attention le fait que quelqu’un est juif en raison de la suggestion absolument scandaleuse que l’identité juive de quelqu’un comme Stewart/Leibowitz pourrait influencer ses opinions. Comme nous le savons tous, les Juifs sont exactement comme tout le monde.

Et il s’est rapidement avéré qu’il comprenait la colère dans l’Amérique Blanche beaucoup mieux que quiconque d’autre, et était prêt à dire ce qu’ils voulaient entendre – l’essentiel de la classe blanche travailleuse (72-23&nbsp!), mais aussi des femmes blanches (53-43), et son déficit parmi les femmes blanches passées par l’université n’était que de 45 à 51 (sondages de sortie de CBS). Il semble qu’un certain nombre de femmes passées par l’université ont ignoré ce qu’elles ont entendu dans les cours d’études du genre et ces crédits obligatoires en études noires.

Bien que de manière évidente beaucoup de travail soit à accomplir, c’est un jour glorieux.

Ce qui suit est une version étandue de mon article dans la série de RadixJournal sur la signifigation de Trump.

L’Alt-Right a gravité autour de la candidature de Trump, et pour de bonnes raisons. L’essentiel de ce que l’Alt-Right veut sera difficile ou impossible à réaliser même avec un président qui est entièrement d’accord avec l’idée que l’Amérique doit commencer à penser aux intérêts de sa majorité blanche traditionnelle. Mais Trump a déjà eu un énorme effet sur la politique américaine d’une manière qui profite à l’Alt-Right, et sa victoire le sera davantage encore :

    • Trump a fait des déclarations sur l’immigration qui ont été interdits en compagnie respectable depuis 50 ans – expulser les illégaux, fermer la frontière, mettre fin au droit du sol pour la citoyenneté, mettre en oeuvre un moratoire sur l’immigration musulmane, et faire servir à l’immigration des besoins de travail plutôt qu’un impératif moral (idéalement avec des travailleurs invités ne recevant pas la citoyenneté). Il a déploré les politiques d’Angela Merkel en Allemagne et a fait des déclarations indiquant qu’il s’oppose à la transformation des sociétés occidentales par l’immigration et le multiculturalisme (« Paris n’est plus Paris. ») [ndt : Ajoutons sa déclaration de 2013 (en) en faveur d’une immigration européenne.]
    • La victoire de Trump va encourager et donner de l’énergie à la droite en Europe. C’est le Brexit puissance 10 – un cri des électeurs pour mettre fin à la manière dont les choses vont. Pour mettre fin à la destruction de leurs modes de vie traditionnels. Si ce n’est que cela, cela met des bâtons dans les roues du système. Détruisez-le ! Nous ne pouvons pas continuer comme ça ! Les électeurs veulent la fin des guerres absurdes, la fin de l’importation de gens qui nous haïssent et ne s’assimileront jamais.
    • Trump a démasqué les néoconservateurs. Les néoconservateurs ont dominé l’élite intellectuelle et de politique étrangère du parti républicain depuis les années 1980. Depuis le début de la candidature de Trump, les néocons ont été à la tête du mouvement « Jamais Trump », en dépit des effets catastrophiques qu’aurait eu une présidence Clinton sur le GOP. Une présidence Clinton aurait assuré une majorité votant à gauche dans le futur prévisible étant donné qu’elle aurait légaliser des millions d’illégaux et très fortement accru les nombres totaux d’immigrés et de réfugiés. Les nominations de Clinton à la Cour Suprême auraient probablement vidé de sa substance le premier amendement en autorisant les lois sur les « propos de haine » et ils auraient tout autant vidé de sa substance le second amendement [ndt : le droit aux armes]. Personne à droite, des conservateurs traditionnels pour un « gouvernement limité » jusqu’à l’Alt-Right, ne voudrait de cela, et il est difficile de croire que l’identité juive et l’engagement pro-israëlien des néocons les plus importants sont passés inaperçus pour les républicains non-juifs. La trahison des néocons sera longtemps remémorée dans les cercles du GOP et compromettra leur influence future.
    • Je note sur Twitter que Bill Kristol dit que les « Jamais Trump » devraient être magnanimes dans la défaite, mais je serais choqué si les néocons recevaient le moindre rôle dans le GOP. C’est le parti de Trump maintenant. C’est incroyablement rassurant qu’il souhaite de bonnes relations avec la Russie à un moment où les néocons et l’OTAN réclamaient la confrontation et l’agression. C’est incroyablement rassurant qu’il soutient le gouvernement légitime d’Assad en Syrie. Je n’ai pas de doute qu’il agira en concert avec la Russie pour mettre fin à la rébellion et pour apporter paix et stabilité dans la région.
    • Trump a mis en lumière l’écart entre la base électorale républicaine extrêmement blanche et la classe des donateurs du GOP qui souhaite des politiques mondialistes d’immigration de masse, de libre-échange, et une politique étrangère belliqueuse pro-Israël et anti-russe. Le GOP pré-Trump était dominé par des élites de politique étrangères néoconservatrices et une politique économique pro-chambre du commerce, pro-multinationales. Ce parti ne représentait pas les intérêts de ses électeurs et ne peut pas être ressucité. Même si Trump avait perdu, ses soutiens motivés seraient une force nouvelle et importante au sein du GOP. Mais sa victoire garantira que le GOP sera un parti populiste pour le futur prévisible.
    • Trump a démasqué les médias. Les médias ont toujours été de gauche, mais cette fois ci même beaucoup des médias habituellement pro-républicains ont été hostiles à Trump, et une étude du Media Research Center a découvert un taux étourdissant de 91% de couverture médiatique hostile à sa candidature. Qui peut oublier l’hostilité de médias conservateurs classiques comme National Review, The Weekly Standard, et autres revues néoconservatrices ? Cela alimente le discours qu’il y a des élites unies de l’extrême gauche jusqu’à la droite néo-conservatrice qui s’opposent aux mesures populistes de Trump favorisant la classe moyenne et la majorité blanche traditionnelle.Les médias sont un pilier du système, et il est en effet réjouissant qu’une nette majorité des Blancs aient ignoré le flot de paroles qualifiant Trump de tous les « -istes » imaginables. Les médias sont les grands perdants dans une victoire de Trump. Comme nous en avons parlé de nombreuses fois, les médias sont sous une très puissante influence juive. La victoire de Trump est un coup porté à toute la structure de pouvoir juive. J’ai écrit 6 articles (en) sur l’hostilité des juifs envers Trump, une large part de cette hostilité virant au bord de la paranoïa maladive. Les Juifs comprennent qu’ils ont en effet une grande quantité de pouvoir aux États-Unis et à travers l’Occident et qu’ils ont utilisé ce pouvoir pour détruire l’homogénéité traditionnelle de ces société et pour faire tout ce qu’ils peuvent pour rendre les Blancs minoritaires dans des sociétés qu’ils dominaient depuis des centaines, et dans le cas de l’Europe, des milliers d’années. Il nous reste un long chemin pour vraiment abattre cette structure de pouvoir, mais la victoire de Donald Trump est une excellente première étape.
    • Trump a placé l’Alt-Right sur la carte. Il y a eu de nombreux articles et commentaires sur l’Alt-Right en raison de la candidature de Trump. l’Alt-Right a été la seule perspective intellectuelle identifiable soutenant Trump, bien que nous comprenons qu’il n’est pas un des nôtres et n’essayera pas de faire autant que nous le souhaiterions dans notre monde idéal. Nous sommes la seule perspective intellectuelle qui prenne la race au sérieux et et accepte la recherche en sciences sociales non seulement sur la race mais sur les coûts désastreux du multiculturalisme imposés aux Blancs et le futur terrifiant attendant les Blancs si ils devaient devenir des minorités haïes et méprisées. Ils ne peuvent pas expliquer la colère et les peurs très légitimes de la majorité blanche. Ils ne peuvent pas comprendre la racialisation de la politique. Nous le comprenons et sommes capables de l’analyser de manières très sophistiquées qui sont entièrement dans ce qui est accepté scientifiquement.

Comme noté dans mon récent article sur Trump et les Juifs, les intellectuels juifs comme Jonathan Chait et David Brooks voient le phénomène Trump en politique d’identité blanche, et je suis entièrement d’accord. Cependant, l’Alt-Right est la seule perspective intellectuelle qui défend les intérêts politiques des Blancs. Si l’Alt-Right se voit refuser un siège à la table des médias, il n’y aura personne présentant l’opinion, implicites ou explicites, de millions d’électeurs de Trump que les Blancs ont en effet des intérêts, comme tous les autres groupes. Il n’y aura personnes défendant ces intérêts de manière intellectuellement honnête et scientifiquement fondée.

L’essentiel de la couverture médiatique de l’Alt-Right était motivée par la tentative de dépeindre Trump comme un « raciste », et après l’élection, les médias vont probablement essayer de remettre le dentifrice dans le tube en cessant de nous couvrir. Cependant, une victoire de Trump rend cela impossible. Notre visibilité accrue se traduit en une poussée de soutien très importante pour l’Alt-Right. La fréquentation des réunions est en forte augmentation, et le lectorat des sites de l’Alt-Right explose. Le futur est prometteur, et une large part du mérite en revient à Donald Trump.

Nous sommes le futur.