Commentaire sur “La Culture de Critique” dans Fédération de Québécois Souche
From: Fédération de Québécois Souche
Nous ne croyons pas exagérer en qualifiant l’ouvrage The Culture of critique le livre à l’impact potentiel le plus grand publié ces dernières années, peut-être même de notre vivant. Le monde occidental a changé durant le 20ème siècle de façon dramatique et accélérée avec les années 60, où s’accomplit une révolution culturelle qui a complètement inversé les valeurs traditionnelles occidentales. Ce qui est devenu la norme aujourd’hui était inacceptable dans les années 50 et inversement, ce que nombre de politiciens disaient à cette époque serait aujourd’hui passible d’anathème et même d’emprisonnement dans ces pays dotés de lois contre le discours haineux. Que s’est-il donc passé ? C’est ce dont traite The Culture of critique.
L’auteur, le Professeur Kevin MacDonald, est chercheur en psychologie à l’Université d’État de Californie, à Long Beach. Il s’intéresse aux principaux mouvements subversifs du siècle dernier et décrit comment des Juifs ont toujours été l’élément nécessaire à leur existence et comment ils agirent en poursuivant des objectifs importants dans l’intérêt réel ou perçu de leur peuple. Le sens général de cet intérêt peut être résumé ainsi: le judaïsme constitue la religion d’un peuple uni par une grande stratégie de survie, qui consiste à vivre parmi les autres tout en demeurant génétiquement séparés. Pour éviter le rejet naturel des groupes humains basés sur la proximité génétique envers les éléments étrangers présents sur leur territoire, les Juifs tendent à favoriser l’effritement de la solidarité communautaire des nations hôtes dans lesquelles ils s’installent, mais tout en favorisant pour eux-mêmes une intense solidarité communautaire.
C’est ainsi qu’ils promurent des mouvements à caractère universaliste qui allaient changer le monde occidental, tout en évitant d’appliquer ces idéaux à eux-mêmes. L’exemple le plus frappant pour illustrer ce système de double moralité est celui de l’immigration. La majorité des groupes organisés juifs prêchent pour une immigration accrue en Occident (l’ADL de B’nai Brith, le Congrès Juif canadien, par exemple), tout en appuyant l’État d’Israël, dont la raison d’être est d’accueillir une immigration strictement juive.
Le premier mouvement disséqué par Kevin MacDonald est celui de l’école d’anthropologie de Frank Boas (1858-1942). Avant Boas, l’anthropologie était physique et reconnaissait les différences raciales au sein de l’espèce humaine. Elle se basait sur le paradigme évolutif de Charles Darwin, la grande théorie scientifique largement adoptée encore aujourd’hui en biologie. Boas et ses disciples réussirent à transformer complètement les contours de cette discipline par une action relevant plus de l’activisme politique que de la science. C’est par la manipulation rhétorique et l’usage d’arguments à saveur politique et morale que son équipe, comprenant les auteurs Margareth Mead, Edward Sapir et Ashley Montaigu, réussirent à imposer un nouveau paradigme où seule la culture était jugée pertinente dans l’étude de l’homme et de ses sociétés. L’hérédité était ainsi disqualifiée, par le biais d’arguments habiles et frauduleux doublés d’attaques lançant l’opprobre moral sur les adversaires. Pourtant les nouvelles scientifiques abondent, même dans les médias grand public, sur l’importance de la race en regard de l’effet et du dosage des médicaments par exemple. Boas, un Juif, souhaitait éliminer la conscience raciale, très présente au États-Unis et dans le monde à cette époque.
Un autre mouvement subversif d’intérêt sera la gauche radicale, tant anarchiste que marxiste. Le professeur MacDonald démontre là aussi que l’association de ces mouvements aux Juifs est justifiée et non pas fondée sur l’ignorance. Parmi ses promoteurs importants et les mieux connus, nous retrouvons Rosa Luxembourg, Karl Marx et Emma Goldmann. Parmi les révolutionnaires russes, dont les Trotsky, Lénine, Sverdlov, etc, beaucoup étaient associés au judaïsme. Même ici à Montréal, la pensée anarchiste fut très implantée dans les communautés juives. Ce chapitre est déjà bien documenté et connu du grand public. Il ne s’agit pas de démontrer que tous les tenants de ces idéologies étaient Juifs ni même que la majorité l’était. The Culture of critique soutient que les Juifs et leurs intérêts étaient l’élément nécessaire à l’existence de ces mouvements.
La psychanalyse (dont nous avons parlé dans notre première édition) est également traitée par Kevin MacDonald. Les idées de son fondateur, Sigmund Freud, reposaient sur des spéculations relatives à l’apprentissage tragique de la propreté chez l’enfant et autres élucubrations incestueuses, ne rencontrant nullement les critères scientifiques. Ce système de pensée sera d’ailleurs tout à fait indépendant des autres courants de la psychologie, ayant fondé ses propres revues et publications. Parce qu’elle fait appel à des entités invisibles et inobservables, elle permet de voir comme pathologique n’importe qui, n’importe quoi selon le besoin.
L’accouplement de la psychanalyse avec le marxisme engendrera l’École d’anthropologie de Francfort, le plus influent des mouvements subversifs. Des penseurs comme T. W. Adorno et Fromm, des marxistes avoués, appliquèrent la psychanalyse à la société occidentale pour comprendre pourquoi les masses n’adhéraient pas au marxisme, mais préféraient le populisme ou même le fascisme. Tout ce qui était sain en Occident – patriotisme, ambition personnelle, familles unies et religion – devinrent l’ennemi, l’oppresseur des prolétaires. C’est la culture qui opprimait le peuple et non le capital. Les prolétaires devaient donc, pour se réveiller et enfin adhérer au marxisme, se libérer de la culture occidentale. C’est cette mouvance qui a permis l’essor de la rectitude politique, des études féministes et ethniques et de l’anti-nationalisme. Car pour l’École de Francfort, rien n’était pire que le nationalisme ethnique européen mais étonnamment, le nationalisme juif était jugé sain et même souhaitable.
Le cinquième mouvement fut celui des Intellectuels de New York, moins connu, mais qui se basa beaucoup sur les théories de l’École de Francfort et qui se transforma ultimement en néoconservatisme. Cette mouvance révolutionna la droite américaine qui devint conservatrice économiquement, mais socialement libérale, avec une position cardinale en faveur d’un appui indéfectible d’Israël au Proche-Orient.
Finalement, MacDonald note le rôle capital qu’ont joué les organisations juives dans l’ouverture des frontières chez les nations d’Occidents dans les années 60 et 70. Alors que les autres groupes ethniques cherchaient à augmenter l’accueil des membres de leur propre nationalité, les Juifs étaient uniques en ce qu’ils promouvaient un élèvement du niveau général des taux d’immigration, non pas seulement pour eux-mêmes. C’est ainsi que la démographie a complètement basculé au cours du dernier 50 ans.
En guise de conclusion, Kevin MacDonald encourage ses lecteurs à se questionner sur leur appartenance ethnique. Alors que les nations d’Occident voient leur identité menacée à l’image de l’Amérique, les descendants d’Européens doivent prendre conscience de leurs intérêts ethniques. Ironiquement, ils peuvent prendre exemple sur les Juifs qui forment une communauté serrée et unie. Les groupes, comme les individus, sont en compétition puisque le nombre de ressources s’avère limité et les Européens semblent les seuls à ne pas encore en avoir pris connaissance.
FQS
Pour la reconquête de notre peuple
MacDonald, Kevin. The Culture of Critique, 1st Books, 2002, 422 p. Culture of Critique