Influence communautaire à l’œuvre dans la Transformation en cours de l’Irlande

Influence communautaire à l’œuvre dans la Transformation en cours de l’Irlande

Marshall Yeats

La mise en condition de l’Irlande en vue du grand remplacement devrait encore s’intensifier avec la nomination, à un poste aux résonances si délicieusement orwelliennes de «rapporteur spécial pour le plan national de lutte contre le racisme», de la Nigérienne Ebun Joseph. L’objectif déclaré est de «débusquer et de pourchasser le racisme partout où il se niche». En d’autres termes, il s’agit de soumettre la population à un lavage de cerveau en règle, propre à la culpabiliser d’être blanche. Comme le dit un récent article du Spectator, «le rapporteur spécial d’origine nigériane devra régulièrement remettre au gouvernement des rapports sur la blancheur intolérable et hideusement raciste des Irlandais». Le plan national de lutte contre le racisme prévoit un processus au cours duquel des droits spéciaux et des privilèges seront accordés aux étrangers, tandis que les Irlandais deviendront des citoyens de seconde zone dans leur propre pays. Selon Shane O’Curry, directeur du réseau irlandais contre le racisme (INAR), la raison d’être de ce plan est que «les migrants en Irlande déclarent ne pas se sentir à l’aise dans les différents domaines de la vie sociale». En revanche, M. O’Curry ne semble pas particulièrement préoccupé par la progression du sentiment d’insécurité que ces mêmes migrants engendrent chez les femmes et les enfants du cru, il est vrai qu’il doit percevoir un salaire suffisamment confortable, en grande partie servi par des ONG mondialistes, pour être personnellement incommodé par ces désagréments.

Ebun Joseph

Néanmoins, il faut bien comprendre que cette Ebun Joseph n’est que la figure de proue du navire, ce n’est pas elle qui est à la barre, en effet, ce plan d’action national irlandais contre le racisme a des origines nettement juives.

Alice Feldman et la nécessité d’une «Irlande antiraciste»

Ebun Joseph est une protégée directe d’Alice Feldman, universitaire juive-américaine, sociologue à l’University College Dublin. C’est Feldman qui a été la directrice de thèse de Joseph, c’est elle qui l’a préparée à tenir son rôle de vitrine de l’antiracisme irlandais. Bien que toute une série de noms Irlandais ou de minorités ethniques aient été cités comme auteurs du «Plan national contre le racisme», la plus petite recherche ne tarde pas à faire apparaître que ce plan a été conçu dès 2003, par Mme Feldman, dans une de ses publications qui portait précisément ce titre: «Plan national contre le racisme». Le profil de Mme. Feldman sur le site web de l’University College Dublin nous apprend que: «au cours des deux dernières décennies, j’ai travaillé en tant que chercheur, conseiller et bénévole pour de nombreuses organisations civiques, communautaires et autres, qui s’impliquaient en Irlande dans la lutte contre le racisme, les migrations et l’interculturalisme». En d’autres termes, comme d’autres Juifs dont il sera question dans cet essai, elle aura passé plus de vingt ans à saboter les intérêts des Irlandais de souche. Feldman a également cultivé l’art du charabia universitaire, décrivant un jour son travail comme s’appuyant «sur une diversité de traditions transdisciplinaires pour cultiver et mobiliser des pratiques décoloniales qui interviennent dans les héritages coloniaux globaux qui sous-tendent le moment nécropolitique actuel» [FG: On peut lire la phrase dans n’importe quel ordre, ça n’a rigoureusement aucune importance].

Alice Feldman

En examinant la relation entre Feldman et Joseph, il est clair que c’est Feldman la partenaire active, même si elle laisse la Nigériane tenir le devant de la scène. En voici un exemple:

Ebun Joseph et Alice Feldman, universitaires à l’UCD (University College Dublin), ont animé le jeudi 2 juillet une conférence intitulée « So What Next : Devenir antiraciste via Zoom ». … Joseph est consultant en relations raciales, spécialiste en développement de carrière et coordinateur du module d’études noires de l’UCD. Feldman travaille à l’école de sociologie de l’UCD et est l’une des responsables du MA Race, Migration and Decolonial Studies et de la Decolonial Dialogues Platform de l’UCD. Les universitaires ont indiqué pendant le webinaire qu’elles avaient déjà une longue relation de travail. Joseph et Feldman se sont focalisées sur deux sujets: la fragilité blanche et l’allié antiraciste. Mme Feldman a déclaré qu’elle pensait que les Blancs devaient d’abord reconnaître leur fragilité  pour qu’ils puissent faire leur part du travail et se faire les alliés de l’antiracisme. [FG: «fragilité» euphémisme pour dire «leurs torts» (d’être raciste). Quelle absurdité veut-on encore nous faire avaler? Que les Juifs et les autres racisés seraient soucieux de rendre les Blancs encore plus fort qu’ils n’étaient en leur faisant perdre leur fragilité, le racisme?] … Elles faisaient remarquer que lorsque lors de discussions sur la race les Blancs se mettaient sur la défensive, soit qu’ils se sentaient mal à l’aise, soit qu’ils craignaient d’être attaqués, ils faisaient peser sur leurs interlocuteurs de couleur la responsabilité harassante de veiller à les rassurer, ce qui avait pour effet d’abréger les débats. Elles se disent toutes deux convaincues que si on ne peut pas avoir de conversations ouvertes sur les races et le racisme, on ne pourra jamais rien changer. Joseph souligne qu’il n’y a que des racistes et des antiracistes: si quelqu’un se défend d’être raciste, cela signifie simplement qu’il est un raciste dans le déni. Elle ajoute que les gens ouvertement racistes et violents sont plutôt minoritaires, en majorité, on a affaire à des racistes qui se taisent, parfois au point de s’ignorer. Mme. Feldman pense qu’un antiraciste authentique doit faire l’effort de se rendre compte s’il vit dans un environnement raciste ou non, et si oui, qu’il se doit alors de réfléchir à la manière dont le racisme pourrait en être éradiqué. … Les deux universitaires souhaiteraient qu’il y ait un module obligatoire sur l’antiracisme à l’UCD, elles estiment qu’on ne saurait espérer déboucher sur une société antiraciste si l’antiracisme n’est pas enseigné.

Un article paru en 2020 dans la revue Gript soulignait à juste titre que:

L’idéologie des docteurs Joseph et Feldman, qui contamine l’université irlandaise comme elle a contaminé les universités des autres démocraties occidentales, c’est la théorie critique de la race. Cette théorie, quels que soient ceux qui l’épousent, peut être utilisée de manière aussi pernicieuse que les théories raciales tout aussi fallacieuses qui l’ont précédée. Il s’agit d’un racisme inversé dirigé contre les Blancs, ni plus ni moins. Ses méthodes, entre les mains des conjurés de la capitulation intellectuelle, ces bourgeois déracinés et ces gauchistes qui contrôlent la plupart des institutions où le virus se propage, sont les cocktails Molotov des Antifas et de BLM

Laura Weinstein

Feldman n’est pas la seule juive américaine à avoir débarqué sur les côtes irlandaises pour dire aux autochtones qu’ils n’ont pas d’unité ethnique. En 2019, Laura Weinstein, une doctorante new-yorkaise venue vivre en Irlande et se présentant en experte de l’histoire et de la culture irlandaise, s’immisçait dans le débat sur l’immigration en Irlande qui faisait alors rage. De tous les aspects de l’histoire et de la culture irlandaise que Weinstein aurait pu choisir de mettre en avant, elle a décidé, comme Feldman, de s’emparer du «mythe» d’une identité irlandaise homogène et du «nationalisme irlandais de droite».

Weinstein s’est servi de son compte Twitter pour se livrer au harcèlement des hommes politiques opposés à l’immigration. Par exemple, réagissant à un message du Parti national, elle a laissé entendre que sans immigration les Irlandais ne tarderaient pas à devenir des «chiens consanguins névrosés». Elle écrit: «L’apport génétique résultant de l’immigration prévient l’impact négatif de la consanguinité. Mais allez-y, limitez l’immigration si vous tenez à créer une race d’humains qui reflète le névrosisme des chiens de «pure race». Veillez simplement à organiser d’abord un référendum sur la consanguinité». Non seulement l’idée fixe de Weinstein frisait elle-même la pathologie, mais elle était aussi à côté de la plaque. Les études génétiques ont montré que les Irlandais possédaient déjà un patrimoine génétique diversifié d’origine scandinave, franco-normande, britannique et ibérique. Il s’agit d’un patrimoine génétique bien plus étendu que celui des Juifs ashkénazes du Dr Weinstein, qui descendent tous d’un unique groupe de 350 personnes. Les lecteurs de ce site ne seront pas surpris d’apprendre que Mme Weinstein se préoccupe vivement de la préservation de son propre peuple et qu’elle est citée par l’Algemeiner comme «analyste de l’antisémitisme à l’ADL». «Consanguinité» pour moi, mais apparemment pas pour toi.

Ronit Lentin et sa déconstruction de l’Irlandais

En plus d’être une protégée directe d’Alice Feldman, Ebun Joseph est l’enfant idéologique de Ronit Lentin, une Israélienne qui, en 1997, a créé le premier programme irlandais d’«études ethniques et raciales» inaugurant ainsi l’arrivée de la théorie critique de la race en Irlande. Lentin a également collaboré avec Alice Feldman à un projet parallèle au Plan d’action national contre le racisme au début de l’année 2008. De 1997 à 2012, Mme. Lentin a été directeur du département de sociologie et a dirigé le programme MPhil «Race, Ethnicity, Conflict». Elle est également la fondatrice de la Trinity Immigration Initiative, dans le cadre de laquelle elle prône une politique d’immigration ouverte et s’oppose à toutes les expulsions, elle milite en outre pour la libéralisation de l’avortement en Irlande [1]. En tant qu’universitaire et activiste «antiraciste», Lentin aura formulé les bases de la repentance raciales, à commencer par sa définition de l’Irlande comme «un État raciste biopolitique» [2]. Selon ses propres dires, avant qu’elle ne commence à travailler sur la culpabilité raciale des Irlandais au début des années 1990, «la plupart des gens n’avaient pas conscience de l’existence du racisme dans leur pays» [3].

Ronit Lentin

En un sens, c’est Lentin qui a introduit le concept d’un racisme irlandais. Pour convaincre les Irlandais qu’ils étaient bel et bien racistes, elle a commencé par nier leur existence en tant que peuple. Elle a affirmé que les Irlandais étaient simplement «théorisés comme homogènes – blancs, chrétiens et sédentaires» [4]. Quant à savoir qui avait échafaudé cette théorie sur les Irlandais et quand, Lentin ne s’est jamais prononcé, pas plus n’a-t-elle tenté de contester que le statut de Blanc, chrétien et sédentaire de la population irlandaise ne fût autre chose que le simple reflet de la réalité. Il semble qu’il ait suffi à Lentin d’affirmer l’idée selon laquelle l’identité irlandaise n’était rien d’autre qu’une fiction pour qu’elle s’y tienne. Aussi a-t-elle été particulièrement choquée quand les Irlandais, apparemment inconscients d’être le fruit de leur propre imagination, lors d’un référendum sur la citoyenneté en juin 2004, ont voté à 80 % pour lier sang et citoyenneté, mettant ainsi fin au «droit de naissance» et établissant au passage une distinction constitutionnelle entre citoyens et non-citoyens. Cette mesure avait été principalement prise pour mettre un terme  au «tourisme de naissance» des Africaines avec leurs «bébés d’ancrage», une pratique de plus en plus courante au début des années 2000. Pour Lentin, cependant, cette mesure était symbolique du fait que «la République d’Irlande était consciemment et démocratiquement devenue un État raciste» [5]. Elle en concluait qu’il fallait abandonner l’idée selon laquelle les Irlandais seraient des victimes de l’Histoire et que «la place de l’Irlande à la tête de la mondialisation était usurpée, que son statut de symbole de la culture “cool” était surfait, que sa position privilégiée au sein d’une Communauté européenne en expansion permanente était à revoir, et qu’il convenait à présent de la considérer comme une nouvelle expression du suprématisme blanc» [6].

Ainsi, dans la vision du monde de Lentin, l’identité irlandaise n’est pas seulement une fiction, mais une fiction raciste, «suprématiste blanche». La prescription de Lentin aux Irlandais au cas où ils souhaiteraient se débarrasser de l’illusion d’être un peuple, serait de s’engager en masse dans des célébrations de la «diversité et de l’intégration, du multiracialisme, du multiculturalisme et de l’interculturalisme»[7]. Lentin ajoute: «Je propose qu’on s’interroge sur la manière dont la nation irlandaise pourrait devenir autre que blanche». Fidèle à la tradition familiale, la fille de Ronit Lentin, Alana, s’est installée en Australie il y a plusieurs années, où elle s’est rapidement imposée comme une promotrice tout aussi enragée de la culpabilité blanche et s’est livrée à des critiques répétées du «racisme» australien. Elle est aujourd’hui présidente de l’Australian Critical Race and Whiteness Studies Association et a rédigé des articles pour The Guardian dans lesquels elle affirme que l’identité australienne est aussi fictive que celle des Irlandais et demande à l’Australie d’adopter une politique d’ouverture des frontières afin qu’elle puisse, elle aussi, devenir autre que blanche.

Katrina Goldstone et la submersion de l’Irlande

L’écrivaine juive irlandaise Katrina Goldstone a travaillé aux côtés de Feldman et de Lentin sur le projet de 2008 relatif au premier plan national contre le racisme. Mme Goldstone est toujours membre du conseil d’administration de New Communities Ireland, «le plus grand réseau national indépendant d’Irlande dirigé par des immigrés, qui regroupe plus de 150 associations dirigées par des immigrés représentant 65 nationalités», une organisation similaire au Migrant Rights Centre Ireland, dont le directeur adjoint est le juif séfarade Bill Abom. Mme Goldstone s’est décrite comme s’étant «impliquée dans les droits d’asile et les questions relatives aux minorités» depuis plus de vingt ans.

Katrina Goldstone

Louise Derman-Sparks et le péril du racisme des écoliers Irlandais

«Enseigner l’antiracisme» est la priorité absolue des activistes Juifs dans tout l’Occident, elle vise à inculquer un sentiment de culpabilité et de honte aux Blancs qui tenteraient de défendre leurs intérêts ethniques. Les bases du lavage de cerveau des écoliers irlandais ont été posées par Katherine Zappone, une lesbienne américaine qui a été ministre de l’enfance, de l’égalité, du handicap, de l’intégration et de la jeunesse de 2016 à 2020. En 2016, Zappone dévoilait la «Charte de la diversité, de l’égalité et de l’inclusion, et les lignes directrices pour les soins et l’éducation de la petite enfance ». Dès le départ, le document donne le ton en expliquant que ces directives visant à transformer l’éducation irlandaise dans un sens anti-blanc «sont informées par les approches et pratiques éducatives nationales et internationales en matière d’égalité et de lutte contre les discriminations. Elles s’inspirent largement de l’approche anti-préjugés développée par Louise Derman-Sparks aux États-Unis.

Derman-Sparks est une juive américaine «pionnière» dans les années 1980 d’une pédagogie sur les préjugés et l’antiracisme grâce à des ouvrages tels que Leading Anti-Bias Early Childhood Programs: A Guide for Change, Anti-Bias Education for Young Children and Ourselves, Teaching/Learning Anti-Racism: A Developmental Approach, et What If All the Kids Are White? Mme Derman-Sparks s’est rendue en Irlande au moins une fois, en octobre 1998, pour prêcher sa doctrine, en prononçant un discours lors d’une conférence sur l’éducation des jeunes enfants et en présentant un document intitulé «Education without Prejudice for the Early Years» (éducation sans préjugés pour les jeunes enfants).

On peut trouver un bon exemple du travail de Derman-Sparks tel qu’il est en train d’être incorporé à l’enseignement des jeunes irlandais dans un article pour la Fédération américaine des enseignants dans lequel elle déclare:

D’un point de vue biologique, la race n’existe pas. Tous les individus sont membres d’une même race, l’Homo sapiens, la race humaine, même si tous n’ont pas la même apparence. … La diversité n’engendre pas de préjugés, pas plus que le fait que les enfants remarquent les différences et en parlent, comme le craignent certains adultes. … Très tôt, les enfants blancs en viennent à valoriser leur blancheur, à présumer qu’elle est la définition de la normalité et à croire que toutes les autres couleurs de peau sont étranges et inférieures. Si les enseignants de la petite enfance souhaitent que tous les enfants s’apprécient, le défi pour un éducateur anti-préjugés consiste à permettre aux enfants blancs de s’apprécier sans développer un sentiment de supériorité blanche.

Dans What If All The Kids Are White (2011), Derman-Sparks écrit que «l’apprentissage de la “blancheur” par les petits Blancs maintient le racisme systémique en se prolongeant dans le comportement des adultes»[8] En intégrant le travail de Derman-Sparks dans le système éducatif national, l’Irlande a scellé le destin de sa jeunesse, consentant à un lavage de cerveau permanent de plusieurs générations. [FG: Autrement dit, les Juifs savent mieux que les Blancs comment il faut qu’ils élèvent leurs enfants!]

***

La Nigériane Ebun Joseph est souvent ridiculisée par les médias de droite, à la fois pour ses positions extrêmes et pour son incapacité à exprimer ses idées. Elle est une figure de proue utilisée par d’autres dans les coulisses et c’est elle qui doit encaisser une grande partie des moqueries et de l’hostilité. À n’en pas douter, Joseph est une de ces idéologues qui voit du «racisme» dans le fait même d’être l’irlandais. Un bon exemple s’est produit en 2019 lorsqu’on lui a servi par erreur du jus de cassis au lieu du vin de la maison au Galway Bay Hotel. Alors que d’autres auraient simplement signalé l’erreur au personnel, Mme Joseph s’est déclarée victime de racisme. L’affaire prenant de l’ampleur, elle s’est rendue sur les réseaux sociaux pour rameuter les siens: «S’il vous plaît, que plus de Noirs y aillent. On ne pourra pas nous dissuader d’aller là où bon nous semble!». Voilà le visage de l’antiracisme en Irlande – qui littéralement déclenche une tempête dans un verre … de jus de cassis.

Ce serait toutefois une erreur de prendre Ebun Joseph à la légère. Elle a été préparée à son rôle et elle s’efforcera de l’assumer à fond, au détriment des Irlandais et à la grande satisfaction de ses mentors. Dans tout l’Occident, on observe un même modèle de formatage en règle mené par l’élite, dans lequel des idées concoctées par des universitaires Juifs hostiles sont inculquées aux étudiants qui deviennent la force vive de la nation et qui, à leur tour, les diffusent à l’ensemble de la population. Joseph ne s’arrêtera pas tant que les idées de ses mentors ne seront pas rendues obligatoires dans le système éducatif. Ces idées contaminent les forces de police, les médias, les services de ressources humaines. Elles pénètrent tous les aspects de la vie jusqu’à devenir incontournables. La théorie critique de la race ne connaîtra pas de repos tant  que tout ce qui est européen – peuple et culture – ne sera pas anéantis. Sous l’œil de la théorie critique de la race, les Irlandais ne cesseront d’être racistes que lorsqu’ils cesseront d’être tout court, lorsqu’ils seront complètement remplacés et lorsqu’il ne restera plus rien de l’Irlande. Tels sont les dictats de ces nouveaux dirigeants, une classe conquérante qui n’est pas arrivée avec des épées et des fusils, mais avec des histoires à dormir debout, des mensonges et un chantage universitaire délétère.

Traduction Francis Goumain

Source

Ongoing Jewish Influence in the Transformation of Ireland – The Occidental Observer


 


[1] See Lentin, R. (2013). A Woman Died: Abortion and the Politics of Birth in Ireland. Feminist Review105(1), 130

—136.

[2] R. Lentin, After Optimism? Ireland, Racism and Globalisation (Dublin: Metro Eireann Publications, 2006), 3.

[3] Ibid., 1.

[4] Ibid., 2.

[5] Ibid., 55.

[6] Ibid., 107.

[7] Ibid., 165.

[8] Derman-Sparks, Louise., Ramsey, Patricia G.. What If All the Kids Are White? Anti-Bias Multicultural Education with Young Children and Families. (United States: Teachers College Press, 2011), 31.