Quand Samuel Untermyer & Cie faisaient chanter Woodrow Wilson: Chantage, Loi Monétaire, Guerre Mondiale

23 janvier 2023 de Karl Haemers


Wilson et sa maîtresse, la sulfureuse Madame Peck

Woodrow Wilson (Président Américain de 1913–1921)

C’est bien simple, l’élection de Woodrow Wilson à la présidence des États-Unis est l’exact pendant en importance et en nature de la révolution bolchévik en 1917:  c’est la prise de pouvoir des Juifs à la tête des deux puissances émergentes amenées à dominer le monde jusqu’à nos jours.

Wilson a été choisi par eux pour s’opposer au Président Howard Taft qui refusait l’abrogation d’un traité commercial des USA avec la Russie Tsariste honnie, un traité qui, il est vrai, avait pris la précaution dans ses dispositions d’exclure de son champ d’application les hommes d’affaires Juifs d’origine russe récemment établis en Amérique, considérés, d’ailleurs à juste titre, comme une menace pour le pouvoir tsariste; la position de Taft était simple, il n’allait pas pénaliser 98% des Américains pour faire plaisir à 2% qui se sentaient lésés dans leurs droits: la minorité juive.

Erreur fatale de sa part, les «frères circoncis» comme il les appelait, constituaient une minorité, certes, mais seulement en nombre, pas financièrement, pas médiatiquement, pas politiquement. La victoire de Wilson aux élections signifiait non seulement un coup porté à la diplomatie et à la puissance du Tsar par la fameuse petite communauté – en effet internationale – mais aussi une victoire de cette communauté aux États-Unis même.

La victoire était aussitôt magistralement exploitée: le 23 décembre 1913, Wilson signait le décret de création de la Federal Reserve, le Federal Reserve and Internal Revenue Acts. Attention, le fait que les USA se dotent d’une grande institution monétaire centrale n’est pas en soi une mauvaise chose pour eux, bien au contraire, ce qui est contestable, c’est qu’elle soit créée en tant qu’institution privée sous contrôle du secteur bancaire privé largement aux mains de qui on sait, c’est un peu comme de privatiser la dissuasion nucléaire en la confiant à un cabinet de conseil.

Ce n’est pas tout, le début du deuxième mandat sera l’occasion d’engager tout autant, si ce n’est plus, tout l’avenir des États-Unis et du monde avec la décision d’entrer en guerre aux côtés de l’Entente, contre l’Allemagne, entrée en guerre obtenue en échange de la déclaration de Balfour sur la création d’un foyer national juif en Palestine.

La fin du mandat sera dans la même veine, c’est la signature du Traité de Versailles sur lequel il a énormément pesé avec son aréopage de conseillers Juifs et qui conduira presque mécaniquement à la Seconde Guerre mondiale et, en fin de compte, à la réalisation complète de la promesse de Balfour avec la création de l’État d’Israël.

Et à l’origine de tout ça, un bon petit chantage bien placé.

Samuel Untermyer fait chanter le Président

En 1910, Wilson vient de démissionner de son poste prestigieux de président de l’université Princeton pour se consacrer pleinement à sa campagne pour être élu gouverneur du New Jersey. Les Juifs fortunés ont pris fait et cause pour lui et le financent, ils l’accompagneront aussi dans sa course victorieuse à la présidence des États-Unis.

Sans doute savent-ils qu’un scandale menaçait d’éclater dans la presse: Wilson, derrière les murs couverts de lierre de l’université, avait eu une liaison avec la femme de son voisin de palier, le professeur Peck. Wilson, bien entendu, était marié de son côté. Or, le beau-fils de l’ex-madame Peck (entre-temps divorcée et remariée – mais pas avec Wilson!) avait imprudemment contracté une dette de 40 000 dollars qu’il était incapable d’honorer, l’ex- madame Peck non plus, mais elle avait quelque chose qui pouvait valoir 40 000 dollars: les lettres que lui avait adressées Wilson [tout au long de cette affaire, il ne faut jamais s’attendre à ce que la morale retrouve à un moment ses droits, bien au contraire, on s’en écarte à chaque étape de plus en plus …].

L’ex-madame Peck et ex maîtresse de Wilson, donc,  est allée voir Samuel Untermyer avec ces lettres et Samuel est allé voir Wilson, devenu président, pour lui proposer un marché tout simple: il effaçait la dette, mais en échange, Wilson devait nommer un Juif à la Cour suprême dès qu’un siège serait vacant.

Pour se faire une idée de la situation dans laquelle le pauvre Wilson se débattait, il faut bien comprendre qu’en un siècle, le dollar comme la morale publique se sont fortement dévalués: 40 000 dollars de l’époque représentent au bas mot 1,25 million maintenant, quant à une liaison extraconjugale, complètement démonétisée aujourd’hui, elle aurait suffi à ruiner sa carrière en un instant si jamais la presse s’en était emparée.

Comment est-ce que nous connaissons l’épisode? Par Benjamin Freedman, une sorte de Juif repentis. Freedman était jeune à l’époque, mais déjà, il avait la responsabilité de faire la liaison entre le Comité des Finances du Sénat dirigé par Henry Morgenthau Sr. [autrement dit, le père du sinistre Henry Morgenthau Jr., qui préconisera un plan d’extermination de l’Allemagne] et Rollo Wells, le Secrétaire au Trésor. En 1974, Freedman donne une conférence devant les cadets de la Marine dont voici le passage concernant Wilson:

Nous avions donc d’un côté ce président à Washington, Howard Taft, qu’il s’agissait de mettre par terre. De l’autre, Mr. Jacob Schiff, de la Kuhn, Loeb & Co., la branche new-yorkaise de l’internationale Rothschild à la tête de la ploutocratie mondiale. Mr. Schiff (qui en plus était à l’époque à la tête de l’American Jewish Committee), accompagné de deux jeunes loups, est parti voir Mr. Taft [pour le mettre en demeure d’abroger le traité commercial russo-américain]… En rentrant à New York, Schiff et sa camarilla se mettaient en ordre de bataille. J’étais à l’époque un protégé de Mr. Bernard Baruch… On plantait le décors pour faire perdre les Républicains et leur président, Taft, candidat à sa propre réélection. Mais ce n’était pas si facile … On avait placé Mr. Baruch à la manœuvre, c’était le plus habile! … On s’est mis en quête d’un candidat démocrate, ce fut Wilson. De son côté, Mr. Jacob Schiff apportait les fonds pour créer un parti bidon destiné à disperser le vote républicain … Il fallait quelqu’un à sa tête, on ressortait Théodore Roosevelt de la naphtaline (Il était devenu rédac-chef d’un petit magazine). On lui a dit «vous êtes l’homme de la situation, le seul capable de sauver les États-Unis» et ça a marché comme sur des roulettes. Le «Bull Moose Party» était mis sur pied avec le financement collecté par Mr. Jacob H. Schiff auprès de toute la diaspora, notamment de Londres. C’en était fait des Républicains, leur électorat se répartissait entre Roosevelt et Taft et Wilson raflait la mise sans même avoir la majorité. …

C’est une constante de la politique, chaque fois qu’un candidat est choisi pour être mis sur le devant de la scène, c’est parce qu’on dispose de munitions à son encontre. On savait que Wilson couchait avec sa voisine de palier à Princeton, que cette femme était l’épouse du professeur Peck et que pour tout Princeton, Wilson était l’âme damnée de Peck. Ayant obtenu le divorce [alors que c’est elle qui avait une liaison!] la vertueuse ex-madame Peck trouvait à se remarier à Washington, il faut croire qu’elle avait des arguments. Mais, justice divine ou loi de la nature, ce nouveau mari avait un fils encore plus vertueux que sa belle-mère: il avait emprunté 40 000 dollars à la banque sans leur en parler, il était incapable de rembourser la somme, et ça commençait à sentir sérieusement le roussi pour lui. Il en fallait plus que ça pour prendre au dépourvu notre aventurière à l’entregent décidément si conséquent. Elle avait entendu parler de Samuel Untermyer (du célèbre cabinet d’affaires, Googenheim, Untermeyer and Marshall), un gros contributeur du Parti démocrate (le parti de Wilson) et un de ses membres influents. Elle n’y est pas allé les mains vides, son charme n’aurait peut-être pas suffi, mais chargées d’un petit paquet de lettres … Ensemble, ils ont concocté un chantage en bonne et due forme sur Wilson. Elle a persuadé Samuel Untermyer d’aller le voir en sa qualité d’avocat. C’était facile, Untermyer avait déjà ses entrées auprès de Wilson et, pour la faire courte, Wilson n’avait pas l’argent, Untermeyer l’avait et le fils a pu rembourser sa dette. [passage de l’exposé difficile à saisir, autant on peut comprendre qu’un avocat serve d’intermédiaire dans une transaction «à l’amiable», autant on ne voit pas en quoi un avocat serait particulièrement bien placé pour mener une transaction illicite comme l’est un chantage, mais nous sommes sans doute trop naïfs]

Mais Mr. Untermeyer n’était pas qu’un simple intermédiaire et sa générosité avait ses limites, il faisait cette proposition qu’on ne peut pas refuser au Président Wilson: «Je vous avance l’argent si vous me faites une faveur. La prochaine fois qu’un siège se libère à la Cour suprême, c’est moi qui vous souffle le nom du successeur». Il précisait où il voulait en venir: «Il n’y a jamais eu de Juif à la Cour Suprême, et je pense qu’il serait temps qu’il y en est un». «Marché conclu» lui répondit Wilson et les $40,000 furent payés. Bientôt, en 1916, un siège se libérait et Mr. Untermeyer recommandait Mr. Brandeis. Mr. Brandeis était le sioniste numéro 1 aux États-Unis, leur chef de file, et il devenait un proche parmi les proches de Wilson.

Quelques précisions pour compléter et corroborer cette histoire: Wilson a entretenu huit années durant une correspondance intime avec Mary Hulbert Peck. Cette correspondance a débuté en 1907, alors qu’il était président de Princeton, s’est poursuivie durant son bref mandat de gouverneur du New Jersey, et s’est achevée en 1915 au milieu de son premier mandat présidentiel. On retrouve les lettres sur le site de l’American Heritage. Durant les sept premières années de cette période, Wilson est resté marié à Ellen Axton Wilson, laquelle est décédée en août 1914.

Louis Brandeis: une grande première à la Cour Suprême

Le 28 janvier 1916, Wilson nommait Louis Brandeis à la Cour Suprême. Mais ça n’a pas été facile. La nomination était si controversée que le processus de confirmation s’est étalé sur quatre mois – du jamais vu – et a été l’occasion de la toute première audition publique de la commission juridique de l’histoire du Sénat. Les plus farouches opposants à l’arrivée de Brandeis à la Cour se trouvaient parmi les conservateurs du Parti républicains et ils étaient bien entendu taxés d’antisémitisme. Bien des années plus tard, William Douglas, dans le New York Times , disait de Brandeis, qu’«il était dangereux parce qu’il était incorruptible et parce qu’il était un défenseur intraitable de la justice sociale».

Lorsque la commission sénatoriale demandait au procureur général, Thomas Watt Gregory, les lettres de parrainage de Brandeis, ce dernier annonçait qu’il n’y en avait pas. C’est Wilson en personne qui se dévouait en donnant le sien en ces termes: «Je le sais particulièrement apte à occuper la place, de par ses qualifications, son talent et sa personnalité». S’emballant dans sa plaidoirie, Wilson ajoutait lyrique:

… Il est exceptionnellement compétent. On ne saurait exagérer son impartialité, son désintéressement, son esprit méthodique, sa puissance d’analyse, sa profonde humanité, sa connaissance approfondie des fondements historiques de nos institutions et de leur esprit, ni ignorer à quel point il est imprégné de tout l’idéal américain de justice et d’égalité des chances, ignorer sa connaissance des conditions économiques modernes et la façon dont elles pèsent sur les masses, ignorer son génie à faire s’unir harmonieusement dans l’action, à faire se comprendre et respecter entre elles, les personnes les plus antagonistes qui soient. Cet ami des hommes et de la justice sera le joyau et le couronnement de l’institution dont nous sommes si justement fiers. Je suis heureux d’avoir pu lui rendre ce témoignage de mon admiration et de ma confiance …

C’est curieux, on en oublierait presque que c’était surtout l’occasion de s’acquitter d’une petite ardoise envers son créancier, Samuel Untermyer, lequel détenait des lettres au sujet d’une coucherie avec la voisine de palier …

Mais soyons juste, Brandeis était déjà un fervent soutien de Wilson lors de sa première campagne, lui rédigeant les lignes les plus importantes de son programme économique au sujet de la «régulation de la compétition». Wilson reconnaîtra la contribution de Brandeis à la victoire et en fera son principal conseiller économique de1912 à 1916, c’est-à-dire de l’accession à la Maison-Blanche de Wilson à la nomination de Brandeis à la Cour Suprême. Durant ce bref laps de temps, cet «ami des hommes et de la justice» aura le temps de se faire la cheville ouvrière de la création de la Federal Reserve, une plaie pour le peuple américain et un siphon de richesse et de pouvoir pour les banquiers Juifs. En tout, Brandeis aura passé 23 ans à la Cour Suprême, toujours aussi moteur dans tous les mauvais coups «progressistes», on lui doit aussi une impulsion décisive dans la création de la Tchécoslovaquie, un véritable poignard dans le dos de l’Allemagne, à l’origine de la première crise internationale grave précédant la Seconde Guerre mondiale.

Que Brandeis soit imprégné à cœur de l’idéal américain, il faudrait donc en déduire que cet idéal est sioniste, car Brandeis, dès les débuts du mouvement aux USA, en est un fervent militant. Le 20 août 1914, il est élu président du Comité exécutif provisoire aux affaires sionistes qui siège à New York. Dans son livre, The Jewish Problem: How to Solve It, il soutient l’idée d’un foyer national juif, le livre contient le texte d’un discours qu’il a prononcé devant une assemblée de rabbins en 1915 où il expose l’essence de ses conceptions sionistes:

Le sioniste cherche à établir ce foyer en Palestine parce qu’il est convaincu que c’est l’aspiration profonde des Juifs depuis toujours et que cette aspiration est un fait d’une importance primordiale; elle est la manifestation même de la volonté de survivre d’un peuple conscient de son existence depuis trois mille ans, trois mille ans de foi, de civilisation, de culture, parsemées de figures illustres qui sont autant de gages des progrès futurs de la civilisation: ce n’est pas simplement un droit, mais un devoir pour la nation juive que de perdurer et de se développer. Le sioniste pense que seule la Palestine peut lui offrir un sanctuaire contre les forces de désintégration, que c’est là seulement que l’âme juive peut atteindre à sa plénitude, il pense qu’en offrant un refuge aux Juifs qui choisiront de s’y installer, cela ne profitera pas seulement à eux, mais à l’ensemble des Juifs de par le monde en réglant une fois pour toute le lancinant problème juif.

Il est incontestable qu’Israël n’a pas cessé de faire l’actualité mondiale depuis sa création en 1947, mais que cela soit dans le sens de l’une ou l’autre des augures de Brandeis, cela reste quand même à démontrer, surtout lorsqu’il ajoute:

Dans les colonies juives de Palestine il n’y a pas de place pour les criminels, tous, jeunes ou vieux, se montrent à la hauteur de la gloire leur race, de son idéal et des devoirs qui en découlent. La Palestine est en train de devenir un foyer de scientifiques, d’inventeurs, de fondateurs et d’artisans …

Ce n’est pas pour faire inutilement de la peine à Brandeis, mais ce n’est pas l’avis de tout le monde, voir Israel: A Refuge for Swindlers, ou Israël, Terre d’Asile de la Grande Arnaque.

Rabbin Stephen Wise, agent d’influence

Même un bref aperçu de l’anneau enserrant Wilson ne peut faire l’impasse sur Stephen Wise. L’entrée le concernant dans Holocaust Encyclopedia le montre assez bien:

Contrairement à la plupart des rabbins et fidèles réformés de l’époque, Wise s’est résolument engagé en faveur de la création de l’État d’Israël. Cela faisait suite, disait-il, à sa première rencontre avec Theodor Herzl lors du second congrès sioniste en 1898, congrès durant lequel Wise était élu au Comité Sioniste d’Action Générale. En 1914, il devient l’adjoint de Louis Brandeis lorsque celui-ci prend la tête de l’American Zionist movement. L’action conjuguée des deux hommes aura une influence déterminante sur  la décision du président Woodrow Wilson de soutenir la déclaration de Balfour en 1917, déclaration par laquelle la Grande-Bretagne s’engageait à faciliter l’établissement d’un foyer national juif en Palestine. Wise fondait l’American Jewish Congress en 1920, devenait président de la Zionist Organization of America en 1936 et continuant de jouer un rôle clé au sein de la communauté juive en Amérique jusqu’à la fin de sa vie.

 

Ce soutien de Wilson à la déclaration de Balfour n’avait pas seulement pour but de forcer la Grande-Bretagne à tenir sa parole, mais elle était aussi implicitement un appel aux sionistes américains à retourner en faveur de l’entrée en guerre une opinion publique américaine encore largement isolationniste: les sionistes contre les isolationnistes, en quelque sorte. Un rôle central dans ce lavage de cerveau à grande échelle sera tenu par Edward Bernays, le neveu de Freud, tenez-vous bien, à double titre:

– son père, Ely Bernays (1860-1923), est le frère de Martha Bernays, l’épouse de Freud,

– sa mère, Anna Freud (1858-1955) est l’une des sœurs de Freud

(et c’est ce genre d’individus qui viennent nous dire qu’on veut tuer notre père pour coucher avec notre mère).

Paul Warburg met sur pied la Federal Reserve, la «Money Trust»

La loi portant création de la Federal Reserve est promulguée le 23 décembre 1913. Comme nous l’avons évoqué, Brandeis, en tant que premier conseiller économique de Wilson, n’y était pas pour rien, mais il n’était pas le seule de la «bande» à avoir porté sur les fonts baptismaux ce véritable «Money Trust» de droit privé, le premier nom qu’il faut avoir à l’esprit, c’est celui de Paul Warburg, né à Hambourg dans une famille de banquiers juifs allemands: c’est lui l’architecte de la FED.

La FED est une machine à création monétaire et à dette, mais attention, en soi, c’est une bonne chose, c’est la clé de voûte d’une économie monétaire et sans monnaie, il n’y a pas d’économie du tout, la dette n’est pas un trou noir dans lequel on va tomber, ce n’est pas une hypothèque sur les générations futures, chaque génération ne consomme que ce qui est disponible à un moment, s’il y 100 bananes disponibles, il n’y a aucune façon «monétaire» d’en consommer 101.

Ce qui pose problème, c’est à qui on confie les clés du camion et qui tient le volant, qui contrôle la création monétaire et à qui elle profite en premier. Le véritable scandale de la FED, c’est que cette banque centrale est en réalité une institution privée, un consortium de banques principalement aux mains de qui on sait. L’institution est vaguement encadrée par le Treasury Department, mais ce Department est souvent aux mains des mêmes et ce «contrôle» ne fait en réalité qu’amplifier le bénéfice qu’ils peuvent tirer de la FED en leur donnant par avance les orientations de la politique monétaire.

Pour savoir «qui mais qui» autour de Wilson ont mené le bal de la création de la FED, nous nous appuyons sur le travail de référence d’Eustace Mullins, Secrets of the Federal Reserve  En premier lieu, il convient de relever les indices selon lesquels c’est justement la position de Wilson en faveur de la création de la FED qui lui a permis de gagner l’élection présidentielle:

Le sénateur LaFollette faisait observer dans ses mémoires que son discours contre le Money Trust lui avait coûté la course à la présidence, tout comme à l’inverse, le soutien de Woodrow Wilson au plan Aldrich (premier projet de banque centrale en Amérique) lui a valu d’être pris en considération pour le bureau ovale. (p 16)

Comme l’opinion publique américaine était en grande partie opposée à ce «Money Trust», la Chambre mettait en place le comité Pujo pour enquêter sur la puissance des banquiers de Wall Street.

L’homme qui à lui seul s’est occupé de mener les auditions n’était autre que Samuel Untermyer, l’un des principaux donateurs de la campagne présidentielle de Woodrow Wilson’s Presidential …

Les banques internationales telles que celles d’Eugene Meyer, Lazard Frères, J. & W. Seligman, Ladenburg Thalmann, des frères Speyer, M. M. Warburg, et celle des frères Rothschild n’ont pas éveillé la curiosité de Samuel Untermye, et ce, bien qu’il soit parfaitement connu des milieux financiers new-yorkais que toutes ces dynasties bancaires avaient soit des établissements, soit des filiales sur la place de Wall Street. Lorsque Jacob Schiff s’est présenté devant le Pujo Committee, les questions adroites de Mr. Untermyer lui ont permis d’esquiver tranquillement toute révélation sur les opérations bancaires de la Kuhn Loeb dont il était le principal associé et que le sénateur Robert L. Owen avait identifié comme la branche américaine des Rothschild. (p 17)

Les auditions du Congrès ont montré qu’au sein de la Kuhn Loeb, Felix Warburg soutenait Taft, Paul Warburg et Jacob Schiff Wilson. Résultat des courses, un Congrès et un président démocrate étaient élus en 1912 avec mission principale de faire passer la loi de création de la banque centrale. … Col. Garrison, agent à la Brown Brothers bankers, par la suite Brown Brothers Harriman, rapporte dans son livre que «le Federal Reserve Act était l’œuvre de Paul Warburg et qu’il avait été adopté après l’échec du plan Aldrich qui avait suscité une véritable levée de bouclier à l’échelle nationale. Le cerveau des deux plans étant de toute façon le Baron Alfred Rothschild depuis Londres». (p 18)

(Plan Aldrich de 1912 du nom du Sen. Nelson W. Aldrich de Rhode Island. Il aurait également institué un cartel bancaire, mais n’a pas réussi à passer, c’est le fameux Glass Act de 1913 qui parviendra enfin à créer la Fed.)

Non seulement tous ces banquiers étaient Juifs,  mais tous — les Warburgs, Schiff, Kuhn, Loeb et Rothschild — comme chez les Freud, entretenaient des liens familiaux croisés et faisaient tous partie de la même famille élargie. Il ne fait aucun doute qu’ils ont tous travaillé conjointement à l’élection de leur candidat, Woodrow Wilson.

La vitesse à laquelle le Federal Reserve Act a été passé par le Congrès durant ce qu’on a appelé le «Christmas massacre» a même pris au dépourvu Woodrow Wilson: comme d’autres, il s’était entendu dire que le vote ne pourrait pas intervenir avant Noël, au dernier moment il tentait de ralentir le mouvement et refusait de signer parce qu’il n’était pas d’accord avec les dispositions prévues pour l’élection des directeurs de classe B. … Bernard Baruch, autre gros contributeur de la campagne de Wilson, en était abasourdi, il se précipitait à la Maison-Blanche pour dire à Wilson qu’il s’agissait d’un problème secondaire qui serait facilement résolu par «voie réglementaire», l’important c’était de passer coûte que coûte le Federal Reserve Act. Wilson cédait et signait in extremis, le 23 décembre 1913.  L’histoire montrera que ce jour-là, la constitution avait cessé d’être le pacte régissant le peuple américain et que ses libertés avaient été remises entre les mains d’un petit groupe de la finance internationale. (pp 28-9)

Et une banque centrale, ça sert à faire la guerre, Napoléon avait créé la sienne le18 janvier 1800 (la Banque de France), c’est d’ailleurs ce Bernard Baruch (Juif), si pressé de faire signer Wilson, qui va diriger l’industrie de guerre américaine comme nous allons le voir maintenant.

La déclaration de Balfour précipite l’Amérique de Wilson dans la guerre

Reprenons le discours de Freedman là où nous l’avions laissé:

… Les Juifs étaient bien contents quand l’Allemagne gagnait la guerre, ils ne voulaient pas que la Russie sorte gagnante aux côtés de la France et de l’Angleterre parce qu’ils pensaient que cela aggraverait la situation de leurs coreligionnaires dans le pays. Ils étaient donc tous pro-Allemand au départ, alors que s’est-il passé? C’est quand les Allemands ont commencé à sortir leurs sous-marins … Panique à Londres, le général Haig alertait les  Anglais de la situation: «Nous n’avons plus que deux semaines de réserves alimentaires devant nous pour un pays de 55 000 000 d’habitants»… Et alors l’Allemagne s’amenait avec son traité de paix … Le traité était sur le bureau du British War Cabinet, il n’y avait plus qu’à le signer…. De nouveau, que s’est-il passé? Les Khazars de New York et de Washington, emmenés par Brandeis, ont fait cette offre en passant par la Fleischman & Sockloff de Londres. Ils sont allés au War Cabinet et ils leur ont dit: «Pas besoin de signer une paix de capitulation, il y a un moyen de gagner la guerre, mais il vous faudra, une fois que vous aurez vaincu l’Allemagne et dépecé l’Empire Ottoman, nous donner la Palestine. Et ils ont conclu le marché par écrit, c’était la déclaration de Balfour. … La contrepartie de la Palestine, c’était la promesse d’user de leur influence pour jeter les États-unis dans la guerre. C’est ainsi qu’ils vont remercier les États-unis, de la même manière qu’ils vont remercier l’Allemagne, après tout ce qu’elle avait fait pour eux depuis 1822, en les faisant se battre entre eux, ce qui signifiait évidemment la défaite de l’Allemagne alors qu’elle était en train de gagner et pouvait espérer une paix avantageuse.

Wilson avait pourtant fait sa campagne sur le slogan «nous n’irons pas à la guerre». Mais à peine un peu plus d’un mois après le début de son second mandat, le 12 avril 1917, Wilson lançait un appel vibrant devant le Congrès pour qu’il fasse une déclaration de guerre officielle. Quelques jours plus tard, les deux Chambres votaient la guerre à une écrasante majorité. Ils n’ont été que quelques-uns à dire non, parmi eux, George Norris (R-Neb.), qui dira «nous allons à la guerre sur l’ordre du Dieu d’Or». Et au-dessus du Dieu d’or, il y avait les financiers juifs de Wall Street, et ils en voulaient plus par la guerre.

[la principale réserve qu’on peut adresser à la théorie de la déclaration de Balfour en échange de l’entrée en guerre des USA, c’est qu’elle ne correspond pas tout à fait avec la succession des dates, voir plus bas en annexe, la déclaration date du 2 novembre 1917, or, Pershing arrive à Paris le 13 juin 1917, le 4 juillet, la première brigade américaine débarquée à Saint-Nazaire est passée en revue à Paris par Poincaré. Cela dit, les négociations ont pu avoir lieu et aboutir avant leur officialisation, il est clair que les Anglais avaient à l’époque d’autres chats à fouetter que de s’occuper de la Palestine, l’Entente étant effectivement en difficulté du fait du transfert massif des troupes allemandes et autrichiennes du front Est vers le front Ouest suite à la révolution russe, dans ce contexte, la déclaration tombe un peu comme un cheveu sur la soupe, sauf s’il y a eu le marchandage dont parle Freedman, du reste, ce que nos Américains ne savent pas et qui n’est pas tellement passé dans l’histoire universelle, c’est que la France avait fait le même type de déclaration que Balfour, mais 5 mois plus tôt:

Le 4 juin 1917, Jules Cambon, alors secrétaire général du Quai d’Orsay, signe une lettre adressée à Nahum Sokolow,un dirigeant du mouvement sioniste qui soutenait publiquement l’établissement d’un foyer national juif en Palestine. Cette lettre précède de cinq mois la déclaration devant le Parlement de Lord Arthur Balfour, ministre britannique des Affaires Étrangères, à laquelle la France s’associe le10 février 1918, par l’intermédiaire de son propre ministre des Affaires étrangères, Stephen Pichon et qui est consacrée officiellement par le traité de Sèvres du10 août 1920. Comme quoi, le brouillard de guerre, ce n’est rien à côté du brouillard diplomatique …]

Bernard Baruch, le «Shtadtlan» du Nouveau Monde

Bernard Baruch avait amassé une fortune en jouant à la bourse de New York. En 1916, Wilson le plaçait à la tête de la Commission consultative du Conseil de la défense nationale, puis, au moment de l’entrée en guerre, il passait président du conseil des industries de guerre. Anthony Sutton nous raconte la suite:

En mars 1918, le président Wilson agissant sans l’aval du Congrès, avait doté Baruch de pouvoir comme jamais aucun autre dans l’histoire des États-unis. Le War Industries Board, avec Baruch à sa tête, était chargé de la construction de toutes les usines, de l’approvisionnement de toutes les matières premières, des produits, de leurs transports, et dans le Conseil, c’est Baruch en tant que président qui avait le dernier mot. En résumé, il était devenu le dictateur économique des États-unis …

Il y a une logique dans la trajectoire du bonhomme: il enjoint Wilson à créer la Fed, la Fed peut financer la guerre, il se fait nommer à la tête de l’effort de guerre américain, et il passe à la caisse avec ses petits copains.

Henry Ford notait dans son livre The International Jew (TiJ)

l’ampleur de l’influence juive sur Woodrow Wilson: «Ils l’enserraient dans un solide anneau de fer». Analysant les accès privilégiés à Wilson des journalistes juifs, en particulier de David Lauwrence, le TiJ déclare: «il est arrivé un moment où il ne s’adressait plus au pays qu’à travers eux». Le TiJ donne des exemples de Juifs impliqués dans des affaires de corruption,  attribuant ces affaires au pouvoir discrétionnaire de Bernard Baruch.

Conclusion

De nos sources historiques, nous pouvons conclure que Woodrow Wilson, 28e Président des État-unis de 1913 à 1921, était sous l’emprise de Juifs puissants qui le tenaient par le chantage, les dettes, l’intimidation, la corruption, la flatterie et la subversion idéologique. Wilson avait de gros soucis d’argent, tout particulièrement, comme le montrent ses lettres à Mary Peck, durant son premier mandat. Les Juifs ont su tirer parti de ses faiblesses pour en faire un pion dans leurs jeux de pouvoir et d’argent.

Wilson lui-même avait fini par se rendre compte qu’il était la marionnette et non pas le marionnettiste, voici ce qu’on trouve dans le recueil de ses discours, The New Freedom publié en 1913:

Aux États-Unis, même les plus grands hommes d’affaires sont effrayés par quelque chose, par quelqu’un. Ils savent qu’il existe une puissance occulte qui gît quelque part dans l’ombre, discrète, mais puissamment organisée, elle voit tout, elle sait tout, sa toile s’étend partout, c’est à peine s’ils osent s’en plaindre en chuchotant à demi-mots.

Adaptation française, Francis Goumain

Source

Jewish Control of US Presidents #1: Woodrow Wilson – The Occidental Observer

Annexe

la principale réserve qu’on peut adresser à la théorie de la déclaration de Balfour en échange de l’entrée en guerre des USA, c’est qu’elle ne correspond pas tout à fait avec la succession des dates, la déclaration date du 2 novembre 1917, or, Pershing arrive à Paris le 13 juin 1917, le 4 juillet, la première brigade américaine débarquée à Saint-Nazaire est passée en revue à Paris par Poincaré. Cela dit, les négociations ont pu avoir lieu et aboutir avant leur officialisation, il est clair que les Anglais avaient à l’époque d’autres chats à fouetter que de s’occuper de la Palestine, l’Entente étant effectivement en difficulté du fait du transfert massif des troupes allemandes et autrichiennes du front Est vers le front Ouest suite à la révolution russe, dans ce contexte, la déclaration tombe un peu comme un cheveu sur la soupe, sauf s’il y a eu le marchandage dont parle Freedman.

Voici la chronologie qu’on trouve dans les mémoires de Poincaré:

4 février 1917:

Jules Cambon téléphone à l’Élysée que M. Sevastopoulo a reçu de l’ambassadeur de Russie à Washington avis que le président Wilson a réuni une commission composée de quelques amis et qu’il y a examiné trois points:

1 – négociations entre les États-Unis et l’Allemagne

2 – attente d’un nouveau torpillage avant toute décision

3 – rupture immédiate des relations diplomatiques.

Wilson aurait choisi  ce dernier parti. Des télégrammes de presse disent qu’il aurait envoyé un nouveau message au Sénat et déclaré qu’il allait remettre ses papiers à l’ambassadeur d’Allemagne en faisant appel aux neutres. Si ces nouvelles sont exactes, le concours des  États-Unis va être pour nous  un appoint moral inappréciable.

[FG, dommage, Poincaré ne nous donne pas le nom des «amis» en question, mais d’après l’article ci-dessus, on peut songer à quelques pistes … ]

31 mars 1917, rencontre avec le prince Sixte qui a remis un message de l’Empereur Charles (d’Autriche) à Poincaré et à Cambon (secrétaire général du Quai d’Orsay), il leur laisse aussi une note personnelle faisant allusion au changement de régime à Petrograd:

«Jusqu’au changement de régime qui vient de se produire à Petrograd, l’opinion russe paraissait, en effet, unanime à réclamer la possession de Constantinople comme une condition essentielle  du développement de l’Empire moscovite. Mais les sentiments du gouvernement russe actuel marquent dès maintenant  des divergences à cet égard. Si le ministre des Affaires étrangères M. Milioukov, garde le point de vue précédent, qui était celui d’une annexion de Constantinople à la Russie, son collègue, M. Kerensky, reflète l’opinion nouvelle que la Russie doit renoncer à tout agrandissement: dans ce cas, la Turquie pourrait garder sa capitale dont il suffirait de combiner le régime avec un statut international européen».

5 avril 1917, échange de télégrammes entre Poincaré et Wilson:

La chambre des députés a adopté une résolution analogue à celle du Sénat. Pour protéger les Américains contre les attentats dont ils restent menacés, Wilson a fait armer des torpilleurs qui ont été dirigé vers les eaux américaines. L’un deux vient d’être coulé dans la Manche par un sous-marin allemand.

Ribot prononce à la Chambre sur la détermination américaine  un discours très applaudi.

Je télégraphie, de mon côté, au président Wilson. M. William Martin communique le télégramme que j’ai rédigé à Ribot, qui y donne sa pleine adhésion:

«Au moment, dis-je, où sous la généreuse inspiration de votre Excellence, la grande République américaine, fidèle à son idéal et à ses traditions, s’apprête à défendre par les armes la cause de la justice et de la liberté, le peuple français tressaille d’une émotion fraternelle. Laissez-moi vous renouveler, monsieur le Président, à cette heure grave et solennelle, l’assurance des sentiments dont je vous ai récemment adressé le témoignage et qui trouve dans les circonstances présentes un accroissement de force et d’ardeur. Je suis sûr d’exprimer la pensée de la France tout entière en vous disant, à vous et à la nation américaine, la joie et la fierté que nous éprouvons à sentir nos cœurs battre, une fois encore, à l’unisson avec les vôtres. Cette guerre n’aurait pas eu sa signification totale, si les États-Unis n’avaient pas été amenés par l’ennemi lui-même à y prendre part.

Dorénavant, il apparaît plus que jamais à tout esprit impartial  que l’impérialisme allemand, qui a voulu, préparé et déclaré la guerre, avait conçu le rêve insensé d’établir son hégémonie sur le monde. Il n’a réussi qu’à révolter la conscience de l’humanité. Vous vous êtes fait devant l’univers, en un langage inoubliable, l’éloquent interprète du droit outragé et de la civilisation menacée. Honneur à vous, Monsieur le Président, et à votre noble pays.

Je vous prie de croire à mon amitié dévouée.                                                                                                            Raymond Poincaré»

Réponse de Wilson:

«His Excellence Raymond Poincaré, President of the Republic, Paris.

In this trying hour when the destinies of civilized mankind are in the balance, it has been a source of gratification and joy to me to receive your congratulations upon the step which my country has been constrained to take, in opposition to the relentless policy and course of imperialistic Germany. It is very delightful to us that France who stood shoulder to shoulder with us of the western world in our struggle for independence, should now give us such a welcome into the lists of battle as upholders of the freedom ant the rights of humanity. We stand  as partners of the noble democraties whose aims and acts make for the perpetuation of the rights and freedom of man  and for the saveguarding of the true principales of human liberties in the name of the american people. I salute you and your illustrious countrymen.

Woodrow Wilson»

Le journal officiel  du 11 avril 1917 a donné dans les termes suivants la traduction française de ce télégramme:

«Son Excellence Monsieur Raymond Poincaré, Président de la République, Paris.

En cette heure critique où les destinées de l’humanité civilisée sont en suspens, cela a été pour moi un sujet de satisfaction et de joie de recevoir vos félicitations à propos de la conduite que mon pays a été contraint d’adopter, en opposition  à la politique impitoyable et aux procédés de l’Allemagne impérialiste. Il nous est très agréable que la France, qui s’est tenue coude à coude avec nous autres, hommes du monde occidental, dans notre lutte pour l’indépendance, nous souhaite ainsi la bienvenue aujourd’hui dans les rangs de ceux qui combattent pour la défense de la liberté et des droits de l’humanité. Nous voici debout comme champions des nobles démocraties dont les desseins et les actes contribueront à perpétuer les droits de l’indépendance de l’homme et à sauvegarder les vrais principes des libertés humaines.

Au nom du peuple américain, je vous salue, vous et vos illustres compatriotes.

Woodrow Wilson»

[FG: remarque, à la date du 4 juin, il n’y a rien sur la lettre de Cambon à Nahum Sokolow – l’équivalent de la déclaration de Balfour pour la France –  mais Poincaré n’est jamais très franc dès qu’il s’agit des Israélites]

13 Juin 1917 Pershing arrive à Paris:

Le général américain Pershing est arrivé à Paris à la fin de l’après-midi. Le colonel Renoult, de ma maison militaire, est allé au-devant de lui à la gare. Il me dit que l’accueil a été très chaleureux.

4 juillet 1917, revue d’un premier bataillon américain le jour de la fête nationale américaine:

Dans la matinée, cour des Invalides, revue d’un bataillon américain, qui vient d’arriver à Paris. Painlevé vient me chercher à l’Élysée et nous partons tous deux en victoria. Le général Duparge, le colonel de Rieux et le commandant Helbronner nous suivent en landau. Sur le pont Alexandre III et sur l’esplanade, foule très dense et unanimement enthousiaste.

Nous arrivons devant l’Hôtel des Invalides et nous mettons pied à terre. Nous sommes reçus par le général Pershing et le général Dubail. Nous entrons dans la cour, autour de laquelle sont rangés les soldats américains et une compagnie française.

Sous les arcades et au premier étage, dans les galeries, beaucoup de spectateurs et spectatrices qui applaudissent. Nous passons devant les troupes qui ont très bon air dans leurs uniformes kaki.

2 replies
  1. Karl Haemers
    Karl Haemers says:

    Good to see this in French. Some material was added to it, the title is different, but the substance remains. I’m intrigued to see how it translates back into English. Most important is that the French people (the Franks, not the migrants) can read this and consider its implications.

    • Monsieur X
      Monsieur X says:

      There is at least one thing you need to know, in France, we are prohibited to use the word “Jew”.
      So, I avoided to put it in the title & subtitle, but since all the French readers are aware of the censorship, just speaking of Samuel & Cie on a site like the Occidental Observer is more than enough to understand.
      In France we have the Office central de lutte contre les crimes contre l’humanité et les crimes de haine (OCLCH)
      https://lannuaire.service-public.fr/gouvernement/58025b06-7905-4fc4-bf68-463dc20cdc5e
      Ah, ah, my friend, you don’t have something like that in the US, and I tell you, your article, just as 90% of the articles of The Occidental Observer would be deemed a Crime against humanity (i.e., the J*).
      But relax, since these articles are posted from the American territory, under the first amendment, French police is not able to arrest you, and anyway, should they do so, I guess you have with you your two friends, Simth & Wesson according to the second amendment, so …
      By the way, do you know what “Samuel” means? “God answered me” like in Samuel Bankmanfried. The final “el” at the end of a Jewish name is a pronoun for “God” they must not name.
      Daniel is God is my judge
      Emmanuel God is with me
      Raphaël God healed me
      More on this subject, a very interesting work by a French, Armand Bernardini, it was during the Pétain Years (which the Anglo-Americain had unfortunately ended too soon):
      https://jeune-nation.com/kultur/culture/les-noms-hebraiques
      and
      https://jeune-nation.com/kultur/culture/les-systemes-de-formation-des-noms-judeophores
      You will know why Menachem, why Meir, why Neftali …

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