The gloves come off in England

The arrest of Paul Weston, an anti-immigration campaigner in England, for repeating Winston Churchill’s unflattering observations about Islam in a public speech has been reported around the world with headlines from the US to Russia to Japan. Weston, who leads a small party called LibertyGB, was bundled into a police van outside the Guildhall in the town of Winchester, after being  arrested for suspected racial harassment.

It is a shocking event because to many people overseas, Britain is still a country where there is freedom of speech. But the Weston arrest is only the latest in a series of incidents that show that the British state’s gloves are coming off and police are coming down hard on anti-immigration campaigners — and they are not being too scrupulous about how they go about it, as the shocking arrests in of Clive Jefferson and Dawn Charlton in Cumbria last summer showed.

The two British National Party activists were both standing for local council elections in the town of Maryport and looked like giving the local Labour Party a run for their money, as both had been elected before and were popular figures.  But Labour were playing dirty and when the BNP pair discovered evidence of vote tampering in Allerdale Council they filed a 22-page dossier to the police. Read more

Donald Sterling’s Remarks

The Donald Sterling affair is the latest example where Americans get to engage in a cathartic orgy of hatred against “White racism.” Another affirmation that attitudes that Blacks are inferior are ubiquitous among Whites, only waiting to slip out in an unguarded moment. Another affirmation of the  new religion of White evil.

What is rarely mentioned in the media and never emphasized is that Sterling is Jewish and therefore unlikely to identify with White America. On the other  hand, the New York Times apparently wants you to think he’s a Southerner, implying that his attitudes are typical of White Southerners, not Jews.

There is also virtually no mention that he rationalizes his attitudes by what’s going on in Israel. He says “‘It’s the world! You go to Israel, the Blacks are just treated like dogs.”  He says there are White Jews and Black Jews, and they are treated 100% differently.'” Which is quite true.

The media wants to keep it simple: Rich White guy hates Blacks. Keep Israel and the Jews out of it. And since we still have the First Amendment, Mr. Sterling will be punished by the private sector and by shunning and ostracism. He is now banned for life by the  NBA and will doubtless lose a lot of friends and money in the process.

Okay, that’s an important part of the story. But in listening to the tapes, it struck me that there is a subtext of sexual anxiety by an 80-year old sugar daddy concerned about his 31-year old girlfriend being seen with the Black guys that she seems to prefer as companions when not with Sterling. Quite understandable to an evolutionary psychologist. The two videos below together comprise 15 minutes of the conversation.


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Les Propos de Donald Sterling

English version here.

Article d’origine publié le 29 avril 2014.

L’affaire Donald Sterling est le plus récent exemple où les Américains se trouvent invités à participer à une débauche de haine dénonçant “le racisme blanc.” Une occasion de réaffirmer que les Blancs ont toujours le sentiment de l’infériorité des Noirs, un sentiment trahi par le moindre moment d’inattention. Une occasion aussi de réaffirmer la nouvelle religion bâtie autour de la dénonciation de la malfaisance des Blancs.

Ce que les médias mentionnent rarement et ne soulignent jamais est que Sterling est juif, et donc, peu susceptible de se reconnaître dans l’Amérique blanche. Par contre, le New York Times voudrait apparemment vous faire croire que c’est un Sudiste, et que ses convictions seraient typiques de la population blanche du Sud, et non des Juifs.

Pratiquement personne ne mentionne non plus qu’il défend son point de vue en expliquant comment se passent les choses en Israël, et en déclarant: “C’est un truc mondial ! Vous allez en Israël, les Noirs y sont traités comme des chiens”. Il dit qu’il y a des Juifs blancs et des Juifs noirs, et qu’ils sont traités complètement différemment”. Ce qui est véridique.

Les médias veulent faire simple: Un Blanc super riche déteste les Noirs. Ne venez pas y mêler Israël et les Juifs. Et comme le premier amendement [NdT: qui défend la liberté d’expression] ne nous a pas encore été enlevé, M. Sterling sera seulement puni par le secteur privé, par l’évitement et par l’ostracisme. Il est maintenant exclu à vie de la NBA [National Basket Association] ce qui lui fera sûrement perdre beaucoup d’amis et d’argent.

Évidemment, c’est un aspect important de l’affaire. Mais en écoutant les enregistrements, j’ai surtout eu l’impression qu’il y avait en arrière-plan une question d’anxiété sexuelle de la part d’un vieil homme de 80 ans qui s’inquiète que sa petite amie de 31 ans s’affiche avec des Noirs qui semblent être, en dehors de lui, sa compagnie préférée. C’est très naturel, du point de vue d’un psychologue évolutionniste. Les deux vidéos ci-dessous représentent 15 minutes de leur conversation.

Sterling commence en disant que sa couleur de peau n’est pas la question, mais qu’elle s’affiche trop visiblement en public avec des représentants de minorités. Sa réponse: “Je ne fais rien de mal. Si on a des frictions, c’est parce que les gens vous téléphonent pour vous dire des choses fausses sur mon compte”.

Puisqu’elle ne conteste pas qu’on l’ait vue en public avec des Noirs, il faut supposer que ceux qui se plaignent d’elle à Sterling l’accusent de faire plus que de poser en photo auprès d’eux pendant les matchs des Clippers [NdT: équipe de basket de Los Angeles, qui appartenait à Sterling]. C’est pourquoi elle affirme qu’elle ne fait “rien de mal”. Il dit alors que c’est en réalité un problème culturel auquel il ne peut rien —si une fille sort avec des Noirs, les gens penseront qu’elle couche avec eux —un comportement très peu approprié de la part de la petite amie de Donald Sterling.

Son impuissance à résoudre ce problème culturel explique aussi son refus de louer à des Noirs à Beverly Hills, ou à des non-Coréens dans ses immeubles de Koreatown. Comme il ne pouvait pas changer la façon de voir des gens, il a pris les décisions en homme d’affaires.

Mais c’est seulement parce que c’est une femme qu’il trouve inapproprié qu’elle s’affiche publiquement avec des Noirs. Quand elle fait remarquer qu’il fréquente lui-même des Noirs, il répond: “Je ne suis pas vous, et vous n’êtes pas moi. Vous êtes censée être une délicate jeune fille blanche ou latina”.

Elle fait remarquer le deux poids – deux mesures, basé sur le sexe. Sterling assure qu’il n’a pas de préventions contre la fréquentation des Noirs. Cela ne pose aucun problème pour les hommes, mais ce n’est pas convenable pour une “délicate jeune fille blanche ou latina”. C’est évident qu’il y a là une dimension sexuelle.

Mais il y a aussi un élément racial. Bien qu’elle se dise noire en partie, Sterling préfère penser à elle comme faisant partie des Blancs ou des Latinos. Être blanche ou Latino signifie qu’elle doit surveiller sa conduite et ne pas laisser penser qu’elle aurait des relations avec des Noirs.

Sterling lui dit ensuite qu’il n’a aucune hostilité envers les Noirs, “J’aimerais que vous les aimiez — en privé”. En fait, Sterling a été un généreux donateur du NAACP [National Association for the Advancement of Colored People]. Il avait reçu d’eux un prix en 2009, et il devait en recevoir un autre en mai, quand cette affaire a explosé. Leon Jenkins, le directeur du NAACP de Los Angeles, a essayé sans succès de lancer des partenariats avec d’autres organisations sportives en Californie du Sud, mais “l’organisation [de Sterling] était la seule à s’être vraiment portée volontaire… “Ça montre —je ne veux pas discuter des torts et des mérites —mais ça montre une certaine conscience de la condition difficile des Afro-Américains et des Hispaniques.”

À mon avis, il a vraiment de la sympathie pour les Noirs. Le problème pour Sterling est que c’est mauvais pour les affaires de louer à des Noirs à Beverly Hills, et c’est mauvais pour son image que sa petite amie soit vue avec des Noirs. Comme la plupart des Blancs, il ne veut pas que sa petite amie fréquente des Noirs au vu de tous. En fait, à 4:49, il dit qu’elle peut même coucher avec des Noirs. Ce qu’il ne veut pas, c’est qu’elle s’affiche publiquement avec des Noirs.

Par contre, il n’y a aucun problème à ce que lui-même fréquente des Noirs. A 6:34, il affirme: “ils peuvent rester avec moi toute la journée et toute la nuit,” et à 7:02 “J’aime beaucoup les Noirs.” À propos de Magic Johnson, “Je l’ai bien connu et il mérite d’être admiré. …Mais n’allez pas afficher sa photo sur Instagram pour que je reçoive encore des coups de fil”. Pour Sterling, ce n’est pas convenable que sa jeune et attrayante maîtresse soit vue en compagnie d’hommes noirs ; il ne veut pas recevoir d’appels à ce sujet. Trop embarrassant.

Il lui dit ensuite que “votre couleur de peau ne pose aucun problème” et demande “Pourquoi dites-vous cela?” Il a l’air vraiment perplexe et offensé. “Vous savez vous y prendre pour blesser les gens.”

Je soupçonne qu’elle disait cela et enregistrait la conversation parce qu’elle savait très bien qu’elle pourrait faire tenir à Sterling des propos à connotation raciale qui pourraient ensuite lui servir dans son procès. (Elle est poursuivie en justice par la femme de Sterling.) V. Stiviano semble toute droit sortie d’une agence de casting pour un film de Spielberg: “Je ne sais pas comment vous pouvez avoir autant de haine envers les minorités”, ce à quoi il répond: “Je n’ai de haine pour rien du tout”.

Matt Kemp

Matt Kemp

Dans la deuxième vidéo, elle en vient à parler de Matt Kemp, le joueur de champ des Dodgers [NdT: équipe de baseball de Los Angeles]. Elle le présente comme “plus clair et plus blanc que moi” (2:22). Il répond que c’est acceptable de le garder sur Instagram, mais il n’a pas l’air enthousiaste.

Donc en fin de compte, la clé qui à mon avis explique son comportement est qu’il fait très attention à l’image qu’il donne de lui-même. En tant qu’homme d’affaires qui loue au public, il est obligé de faire attention. Si cela n’affectait pas ses revenus locatifs, il serait ravi de louer aux Noirs. Et en tant qu’homme âgé ayant une jeune maîtresse, il ne veut pas qu’on pense qu’elle le trompe avec les Noirs qu’elle est connue pour fréquenter. Sterling n’a sans doute pas apprécié qu’elle se fasse arrêter pour conduite en état d’ébriété avec à son bord un acteur noir bien connu.

Mais dans le reste de sa vie, il s’entend bien avec les Noirs et donne généreusement aux causes noires.

V. Stiviano

Cela ne cadre pas bien avec le récit tout simple publié par les médias: “Les Blancs sont mauvais et racistes.”

Il y a ici beaucoup d’hypocrisie. Peu de Blancs voudraient que les femmes de leur vie soient connues pour s’afficher avec des Noirs dans des situations sexuellement suggestives. Je suis sûr que c’est également vrai des journalistes du New York Times.

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5 Reasons Why Israel is an Apartheid State – Weapons of Mass Distraction

Paul Weston Interview complete April 27, 2014

Whole Lotta Lutfur: Ethnocracy vs Democracy in Brave New Britain

Britain needs a new national anthem. I suggest Jerry Lee Lewis’s “Whole Lotta Shakin’ Goin’ On.” Just look at the vibrancy here, for example:

An investigation is not Islamophobia

Lutfur Rahman is Britain’s first directly elected [West] Asian mayor. On 22 May [2014], he seeks re-election. He says he aspires to the highest standards of transparency and probity and that he welcomes scrutiny.

Two weeks ago, on [the BBC programme] Panorama, we scrutinised the way he’s run this most diverse of boroughs [Tower Hamlets]. Instead of welcoming this, the mayor employed a major City law firm and a PR company at huge public expense to try to get the programme stopped.

Tower Hamlets is home to the largest Bangladeshi population in Britain. The mayor says he seeks only to promote harmony; his Gandhi-like watchword is “No Place for Hate”. Yet before even a frame had been transmitted, a fusillade of hate-filled tweets screamed from his closest supporters: the [television] licence fee had been “used to preach hate”, to “demonise Muslims” and to “peddle racism and Islamophobia”.

The mayor launched an inflammatory 26-minute counter-documentary, weeks in the making. Fat was poured on this fire by a young Bengali researcher, who made increasingly fantastical claims that we were “Islamophobic bullies” and handed confidential research material from our production, including source notes, to the mayor’s office. Because of concerns about her reliability, we had asked her to leave the team after five days. …

In the run-up to the election, there have been widespread and persistent allegations by opposition councillors that Mr Rahman skewed the award of nearly £9m of grants in favour of Bengali- and Somali-run organisations to help him get out the vote on 22 May. The mayor categorically denies this, insisting that he awarded the grants solely on the basis of need. …

The upshot of this 70 per cent cash “churn” was that the mayor increased funding to Bengali and Somali organisations by 139.5 per cent from £1.5m to £3.6m. He cut what was left for other organisations by 25 per cent overall. (An investigation is not Islamophobia, The Independent, 13th April 2014)

Lutfur Rahman (centre): Turning Britain into Bangladesh

Lutfur Rahman (centre): Turning Britain into Bangladesh

Mass immigration means that democracy is replaced by ethnocracy, in which non-productive groups vote for the power to loot productive groups. In the United States, the non-productive groups are Hispanics and Blacks. In Brave New Britain, the non-productive groups are Muslims and Blacks. In both nations, the productive group is the same: the ordinary Whites whose tax-money funds the reproduction of the under-class. Read more

Race in France: A Sketch based on First- and Second-Generation Immigrants

France, notwithstanding its monarchist, Republican and Gaullist traditions favoring a centralized and sovereign Nation-State, is subject to the same globalist tendencies as other Western countries. There is the same trend towards borderlessness in all spheres, notably demographic, economic and political. The result is the constant undermining of the French nation.

These trends are interlinked and mutually reinforcing: European free movement rules outlaw systematic immigration checks at the country’s borders, economic elites demand low-wage immigrant labor to stop companies from bleeding out of the country through offshoring, and the European Union’s ideology of total disregard for ethnic and cultural realities — all peoples being equivalent and interchangeable — prevents any serious discussion of immigration and ethnicity.

No doubt the most serious trend, because it is irreversible barring a terrible civil war, has been demographic borderlessness and non-European migration. Discussion of ethnicity is barren in France compared to the United States. There is a virtual ban on ethnoic and religious statistics — notionally reflecting the official Republican ideology of absolute “colorblindness” since the French Revolution — meaning one is often left to speculate on the performance and status of different communities, or rely on potentially less-trustworthy non-official sources. There is little knowledge of research in human biodiversity and even a famous anglophile, relatively heterodox French demographer like Emmanuel Todd has only mentioned The Bell Curve to dismiss it as typical of the work produced by racist North Americans.

Notwithstanding this, many in France intuitively feel that the French population is becoming Balkanized through non-assimilable mass non-European immigration, resulting in a fracturing of the country along ethno-confessional lines. This process is probably more advanced in France than any other European country. As expected from a race realist perspective, the data show that, rather than interchangeable parts, non-White immigrants to France lag behind the native French in areas related to education and employment. Read more