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Nouvelle Manifestation Anti-Shomrim à Londres

Original article: Another Anti-Shomrim demo in London

Article d’origine publié le 7 juillet 2015

“On est en Angleterre, c’est notre terre. On a fini d’avoir peur, car on n’a plus rien à perdre.” C’est avec ces paroles que Jez Turner, l’organisateur du Forum de Londres, a fait face à une foule vociférante de Juifs et d’antifas à la dernière manifestation anti-Shomrim dans le centre de Londres.

Une trentaine de Blancs nationalistes et patriotes issus de diverses organisations s’étaient réunis autour d’une banderole affichant le slogan “Égalité des Droits pour les Indigènes Blancs.” Ils protestaient contre la mise en place d’une unité de police juive dénommée “Shomrim” affectée à la communauté juive et financée par l’argent des contribuables.

Les manifestants étaient bien moins nombreux que la foule juive et antifa, transportée par autobus depuis différents points du pays, et qui s’amassait sur trois côtés du cortège. Mais les deux groupes étaient encore battus en nombre par l’énorme foule de spectateurs.

À mesure que Jez Turner énumérait une litanie “d’exploits” notables réalisés par les Juifs au cours des âges, ses paroles semblaient plonger la foule dans une indignation hystérique agitée de hurlements: “Arrêtez-le !”.

Vu le relatif succès, en avril dernier, de la première manifestation anti-Shomrim, les autorités de Londres étaient clairement décidées à ce que cela ne se reproduise pas. Elles ont largement réussi leur mission.

La deuxième manifestation s’est déroulée dans des conditions difficiles. L’un des organisateurs avait été arrêté la veille. Puis la police a imposé un changement de lieu, vers un coin reculé du quartier administratif de Whitehall. On était bien loin du quartier de Golders Green prévu au départ.

Comme il fallait s’y attendre, l’évènement a été ignoré par les médias à l’exception de Russia Today, qui a diffusé de nombreuses images des manifestants.

En particulier, ces images montraient comment les menaces de violence avaient lieu dans l’impunité.

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Les discours sont disponibles ici :

Le grief central de ces interventions était non seulement qu’une communauté bénéficie de privilèges qui sont refusés à la population blanche indigène, mais que les médias passent la question sous silence.

Turner a dit qu’il était honteux que l’argent des contribuables serve à procurer des véhicules, des uniformes et des stages de formation, à la communauté juive.

Peter Rushton, rédacteur en chef adjoint de Heritage & Destiny Magazine, a décrit comment la liberté d’expression avait disparu en Grande-Bretagne. Il a décrit [les contre-manifestants] comme le “visage du terrorisme anti-britannique.”

Parmi les manifestants se trouvait un groupe nationaliste de Pologne qui arborait ses bannières. Après que l’un d’eux ait dit quelques mots en polonais, Jez Turner a scandé: “La Pologne aux Polonais, l’Angleterre aux Anglais, la Palestine aux Palestiniens et l’Europe aux Européens.” Ce fut le signal d’une nouvelle vague d’hystérie juive.

Fait notable, on n’apercevait qu’une poignée de visages sud-asiatiques [NdT: c-à-d pakistanais], ce qui montre que le recrutement de musulmans pour soutenir la cause des privilèges juifs, a étrangement échoué.

Une nouvelle manifestation est prévue pour Finchley [NdT: quartier du Nord de Londres]. Vu la détermination des autorités à neutraliser l’efficacité de telles actions, ce sera sûrement intéressant, d’autant plus que le gouvernement semble sur le point d’introduire un système “d’ordonnances de perturbation” [Disruption Orders] pour empêcher ceux qu’ils appellent les “extrémistes non-violents” de se déplacer librement dans le pays.

S’il faut encore une preuve de la dégénérescence du maintien de l’ordre à Londres, il suffit de regarder cette vidéo à partir de 1:30 lorsqu’un officier supérieur de police exprime son admiration pour le Shomrim, et décrit les retombées du meurtre du fusilier Lee Rigby dans les termes suivants :

Voilà pourquoi ça m’a tant intéressé d’en savoir plus sur le travail de Shomrim et en particulier concernant le travail effectué (…) dans l’arrondissement (…), et donc, le travail effectué suite au meurtre de Lee Rigby, le travail de protection de toutes les communautés de Londres, afin de tendre la main à la communauté musulmane et aux autres communautés, pour leur fournir notre aide et assistance.

Un militaire blanc se fait assassiner dans la rue par des musulmans. Et la police spéciale juive fournit son assistance à la communauté musulmane. Avec les encouragements et l’approbation des responsables blancs de la police.

Le Lobby des Bombardeurs de l’Iran se prépare pour 2016

Original article: The Bomb Iran Lobby Gears Up for 2016

Article d’origine publié le 8 juin 2015

Le Lobby des Bombardeurs de l’Iran se prépare pour 2016: Un bloc soudé de néoconservateurs jusqu’au-boutistes a mis l’Iran en tête d’agenda de la politique étrangère du Parti Républicain par Sina Toossi ; chronique “Foreign Policy in Focus” (Revue de politique étrangère) :

Dans une récente publicité télévisée, un fourgon se faufile à travers les rues d’une ville américaine. Pendant que le conducteur essaye de régler la fréquence de la radio, de sinistres avertissements montent des hauts-parleurs et mettent en garde contre “un Iran nucléarisé”. On entend la voix du sénateur Lindsey Graham et du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou.

Le conducteur engage alors son fourgon dans un parking à étages, monte jusqu’au dernier niveau, et déclenche une explosion dans un éclair aveuglant de lumière blanche. Un texte apparaît en lettres blafardes à l’écran: “Pas de traité nucléaire Iranien sans approbation du Congrès.” …

Tous ces gourous issus des think-tanks [NdT: groupes de réflexion], ces groupes d’intérêts spéciaux, et ces experts des médias, ont propagé toute une série de récits alarmistes qui sont conçus pour saborder le processus diplomatique. Et au lieu de s’appuyer sur les faits, ils ont surtout agité des épouvantails.

Mais qui sont ces gens?

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Les Juifs maintiennent la Pression pour la Censure d’Internet

English version: Jews Continue Pressure for Internet Censorship

Article d’origine publié le 19 mai 2015

En mars dernier, ce blog a subi une cyber-attaque prolongée de la part des ennemis de nos peuples. Cette ressource vitale pour la vérité a été mise hors-service au moyen d’un nombre exagéré de demandes de service factices. Kevin MacDonald notait qu’une adresse IP en Israël avait “tenté d’accéder au site 13 125 fois en trois jours”. Notre mission, qui est d’éclairer et de libérer, est exécrée par ceux qui voudraient mettre notre race à genoux. L’Occidental Observer est vraiment un site unique, et l’on peut être sûr que l’analyse et le travail de recherche qu’il s’obstine à proposer donne des nuits blanches à nos ennemis. Je suis sûr que l’Occidental Observer, et d’autres sites qui partagent nos objectifs et notre vision du monde, tiennent une place spéciale dans le cœur haineux de nos élites étrangères. Ils ne s’arrêteront pas avant d’avoir trouvé un moyen de nous faire taire. Mais les cyber-attaques ne sont qu’une tactique parmi d’autres utilisées contre la vérité et notre droit à l’autodétermination. Un autre point d’attaque essentiel contre notre mission réside dans les croisades juridiques internationales visant à nous faire fermer boutique définitivement. Read more

Le Black-out des Médias sur l’Affaire ZBT

English version: “The ZBT Media Blackout”

Article d’origine publié le 2 mai 2015

Quand on pense aux fraternités [NdT: clubs d’étudiants, aux États-Unis], rien de ce qu’on y associe habituellement ne plaît à la gauche. C’est sans doute pourquoi la fraternité Phi Kappa Psi, à l’Université de Virginie (UVA), s’est trouvée dans la ligne de mire de Sabrina Rubin Erdely. [NdT: En décembre 2014, le magazine Rolling Stones a publié un article de Sabrina Erdely accusant faussement des membres d’une fraternité de l’Université de Virginie d’y avoir commis un viol collectif.] Sabrina Erdely n’avait-elle pas décrit les étudiants de l’UVA comme “une multitude d’étudiants athlétiques, à la peau bronzée, et blonds pour la plupart d’entre eux” —sans aucun doute de la graine de nazi, dans son imagination ethnique hyperactive.

On s’étonne donc de trouver une fraternité qui se livre aux activités suivantes: cracher sur d’anciens combattants et blessés de guerre de l’armée américaine, leur lancer des bouteilles de bière, ou encore, arracher les drapeaux américains qui ornent les voitures d’anciens combattants pour uriner dessus.

C’est pourtant ce qu’ont fait certains membres de la section Zeta Beta Tau (ZBT) de l’Université de Floride, si bien que leur section a été fermée. Aucun des étudiants n’a été renvoyé de l’université. Read more

La Judaïté importe-t-elle ?

English version: “Does Jewishness Matter?”

Article d’origine publié le 10 avril 2015

Il y a quelque temps, une mini tempête médiatique a éclaté à l’UCLA [Université de Californie – Los Angeles] au cours de la procédure de confirmation d’une étudiante juive à un poste au Comité Juridique du conseil des étudiants. L’étudiante s’est vu poser une série de questions pour déterminer si ses engagements juifs pourraient influencer son travail au conseil. Cela violait évidemment un grand tabou. Extrait du compte-rendu du New York Times:

“Étant donné que vous êtes une étudiante juive très active dans la communauté juive,” a déclaré Fabienne Roth, membre du Conseil de l’Association des Étudiants de premier cycle, en regardant Mme Beyda à l’autre bout de la salle, “est-ce que vous vous voyez garder un point de vue impartial ? ”

Pendant les 40 minutes suivantes, après qu’on se soit débarrassé de Mme [Rachel] Beyda, le conseil s’est enferré dans un débat pour déterminer si la religion et l’appartenance de cette dernière à des organisations juives, y compris son association d’étudiantes et le populaire club d’étudiants Hillel, signifiait qu’elle ne pourrait pas être impartiale sur les questions sensibles de gouvernance dont traite le conseil, l’équivalent de la Cour Suprême sur le campus.

D’après les étudiants et responsables juifs, cette discussion, consignée dans le procès verbal et enregistrée en vidéo, semblait faire écho aux questions, préjugés et stéréotypes qui visent les Juifs depuis des siècles à travers le monde — en particulier au sujet de leurs loyautés tiraillées.

Le conseil, réuni le 10 février, a d’abord voté le rejet de la nomination de Mme Beyda, car quatre membres s’y opposaient. Mais ensuite, à l’insistance d’un conseiller de la faculté qui a fait remarquer que l’appartenance à des organisations juives ne constituait pas un conflit d’intérêts, les étudiants ont réexaminé la question et admis la candidate au bureau à l’unanimité. …

“On n’aime pas agiter le drapeau de l’antisémitisme, mais dans ce cas, c’est différent,” a déclaré le rabbin Aaron Lerner, nouveau directeur général de la section Hillel à l’UCLA, à propos du vote contre Mme Beyda. “C’est de la bigoterie. C’est de la discrimination contre quelqu’un en raison de son identité”.

Le chancelier de l’université, Gene D. Block, a publié une déclaration dénonçant les attaques contre Mme Beyda. “Il est intellectuellement et moralement inacceptable de supposer que tout membre d’un groupe est forcément partial, ou motivé par la haine”, a-t-il dit. “Quand des stéréotypes blessants –quel que soit le groupe visé– sont brandis pour délégitimer les autres, nous nous sentons tous salis.”

Le distingué Dr Block, dont l’identité juive n’a sûrement aucun rapport avec sa déclaration, va bien au-delà de ce qui est prouvé en affirmant qu’on a supposé au cours des délibérations que “tout membre d’un groupe est forcément partial”. La raison évidente de ces questions est qu’il y avait un doute, pas une certitude. Toute personne saine d’esprit comprend bien que ce ne serait pas exactement une surprise si Mme Beyda laissait son identité juive influencer sa façon de voter sur de nombreuses questions, en particulier sur Israël et sur les controverses maintenant fréquentes à propos des activités du mouvement BDS [NdT: une organisation pro-palestinienne] sur le campus. Read more

Un Ethno-État pour les Blancs d’Afrique du Sud

English version here.

Article d’origine publié le 19 février 2015

En 2012, j’ai participé à une manifestation devant le Consulat d’Afrique du Sud de Los Angeles contre le traitement génocidaire infligé aux Blancs en Afrique du Sud. Les articles rendant compte de ces manifestations, qui étaient organisées en même temps dans plusieurs villes, mettaient régulièrement le mot “génocide” entre guillemets, et laissaient entendre que nous étions tous des néo-nazis – une réaction très prévisible de la part des médias respectables de gauche comme de droite, qui n’arrivent pas à croire que les Blancs puissent être victimes de violence raciale.

Si bien que j’ai été agréablement surpris de voir que l’article de Josh Gelernter “La Fin de l’Afrique du Sud” était paru dans National Review.  Rien de ce qu’écrit Gelernter n’étonnerait une personne réaliste sur les questions raciales, et d’ailleurs, Francis Carr Begbie a présenté sur ce blog plusieurs des mêmes arguments en mai 2014, dans son article “Le meurtre des Blancs d’Afrique du Sud passé sous silence.” Le point de vue de Gelernter:

Cela va très mal en Afrique du Sud. Quand le fléau de l’apartheid a volé en éclats en 1994, le pays semblait promis à un bel avenir. Huit ans plus tard, en 2002, 60 pour cent des Sud-Africains disaient que la vie était meilleure sous l’apartheid. Difficile à croire – mais on en était rendu à ce point en 2002. Et maintenant, c’est encore pire.

Quand l’apartheid a pris fin, l’espérance de vie en Afrique du Sud était de 64 ans – la même qu’en Turquie et en Russie. Maintenant, elle est de 56 ans, la même espérance qu’en Somalie. Il y a 132,4 viols par an pour 100 000 habitants, ce qui est de loin le nombre le plus élevé au monde: le Botswana est en deuxième position avec 93, et la Suède en troisième position avec 64 ; aucun autre pays ne dépasse 32.

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La Culture de Critique: Préface à la première édition brochée

La Culture de Critique: Préface à la première édition brochée (French translation of the Preface to the First Paperback Edition of The  Culture of Critque)