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In walking-on-eggshells multiracial America, exit poll data showing an electorate polarized along racial lines is of no interest to mainstream media. Their indifference suggests that we had best take a comprehensive look. Whites supported Governor Romney by landslide proportions, 59 to 39—a minimal estimate because the White category includes millions of people without European ancestry (e.g., Middle Easterners) and Jews, a group that does not identity with the traditional people and culture of Europe and who vote much more like non-Whites.

The White vote total, however, masks a gaping divide among Whites. This divide is illustrated by the demographically and politically extreme states of Mississippi and Vermont. Mississippi’s electorate is 59 percent White, 37 percent black. Mississippi’s Whites voted 89 percent for Romney, and Romney carried Mississippi 55-44. Vermont is 96 percent White, 1 percent black. Vermont’s Whites voted 33 percent for Romney. Obama carried Vermont 67-31.

Real, on-the-ground, daily experience with diversity, it seems, concentrates the minds of White voters. The majority of northern and mid-western Whites have but brief encounters and manufactured images provided by the media, Hollywood, schools and universities to guide their thinking. This dearth of experience precludes thoughtful decision-making.

Minorities supported President Obama by wide margins: 93 percent of African-Americans voted Democratic. 85 percent of Muslim-Americans voted Democratic. 73 percent of Asian Americans voted Democratic. 71 percent of Hispanic Americans voted Democratic. 69 percent of Jewish Americans voted Democratic. Read more

Pourquoi Ron Unz a-t-il cessé de parler de la discrimination contre les Blancs non-juifs?

Kevin MacDonald; translated by Anatole

L’article de Ron Unz sur la méritocratie est une analyse importante de la discrimination contre les Blancs non-juifs en ce qui concerne les admissions aux universités prestigieuses. Mais on ne le saurait pas en suivant ses présentations publiques et écrits récents. Par exemple : un article récent qui s’affiche sur National Review Online [La Revue nationale en ligne] ( « Systèmes de quotas raciaux,  Harvard et le legs de Bakke » ) est entièrement porté sur les résultats de ses recherches sur les Américains d’origine asiatique. Aucune allusion aux Blancs non-juifs.

Cette omission évidente ne passa pas inaperçue. Dans « The Minimum Wage, Immigration, and Affirmative Action » [ « Le SMIC, l’immigration et les mesures de discrimination positive » ], Unz mentionne « un éminent pur et dur conservateur, quelqu’un de très critique à l’égard des pouvoirs établis du Parti républicain, qui se demandait pour quelle raison j’avais centré mon attention uniquement sur les Asiatiques et à l’exclusion des victimes blanches des mesures de discrimination positive quant aux admissions aux établissements d’enseignement supérieur. »

Je soupçonne que le pur et dur conservateur est inquiet des effets des pratiques typiques des grandes universités prestigieuses du nord-est des Etats-Unis — c’est-à-dire, le « Ivy League » — sur les Américains Blancs non- juifs, et, de toute façon, c’est certainement ce qui m’inquiète. Mais Unz n’effleure pas cette question : il aime mieux fustiger les républicains pour fixer leur regard sur les quotas plutôt que sur d’autre sortes de préférences raciales plus subtiles et moins rigoureuses. Je trouve aussi que les républicains ont évité de s’adresser à la question de préférences raciales. Mais Unz, en répondant, nous donne l’impression qu’il n’y a pas de problème du tout en ce qui concerne l’inscription des étudiants Blancs :

En moyenne, les proportions de Blancs ont fortement décliné au cours des vingt dernières années, mais il en est de même pour la fraction blanche de la tranche d’âge de ceux qui font des études supérieures, et ces deux tendances se sont manifestées en générale de manière parallèle. Les écarts des pourcentages des Blancs dans toute l’« Ivy League » en 1990 étaient à peu près aussi grands que les écarts d’aujourd’hui, sans aucun signe de collusion ni de « quotas », que soit le cas.

Mais dans son premier article, Unz laissa connaître que les Asiatiques ne sont pas victimes d’une discrimination du tout sur le plan des admissions à la Havard par rapport aux Blancs (les juifs et les Blancs étant placés dans une seule catégorie). Le rapport des étudiants américains d’origine asiatique de Harvard comparé à leur propre portion des demi-finalistes « Mérite National » est à 63%, tandis que pour les Blancs (y compris les juifs) le rapport comparable est à 61%. C’est-à-dire, tous les deux groupes sont représentés à Harvard à exactement plus de 60% de leur proportion exacte dans un système d’avancement fondé sur le mérite; le manque d’un résultat méritocratique est dû aux mesures de discrimination en faveur des Noirs et des Latinos, et dû aussi aux étudiants internationaux, aussi bien qu’aux étudiants qui ne déclarent pas leur race.

Ainsi les Asiatiques ne sont pas victimes d’une discrimination du tout, si les juifs sont compris dans la catégorie Blanche.

Alors, quel groupe a subi des pertes en conséquence de la montée des Asiatiques intelligents et à cause des mesures de discrimination en faveur des Noirs et des Latinos? La réponse à cette question est évident :

Durant les trente années depuis que j’ai obtenu mon diplôme de Harvard, la présence de gentils Blancs y est tombée par autant que 70%, en dépit du fait qu’il n’y avait aucune baisse même vaguement comparable des nombres correspondants de cette population, ni de déclin quant à sa performance intellectuelle; pendant ce temps, le pourcentage des étudiants juifs a en fait augmenté. Pendant cette espace de temps, on était témoin d’une augmentation très rapide de la population des étudiants d’origine asiatique et de celle des étudiants hispaniques, et aussi des étudiants étrangers, aussi bien qu’un nombre croissant d’étudiants noirs. Mais il semble qu’il y a quelque chose de curieux dans le fait que tous ces autres bénéfices viendraient aux dépens des Blancs d’origines chrétiennes tandis qu’aux dépens des juifs, rien.

Unz constate des tendances semblables dans les autres universités « ligue du lierre ».

Mais l’essentiel, c’est que Jones n’a même pas de cas que les Asiatiques sont victimes de discrimination à la Harvard ou à toutes les autres « Lierres », sauf si les Juifs sont séparés des Blancs non-juifs : et en effet, c’est de cette façon qu’il développe son argument dans son article original. « Une fois que l’on commence à séparer de l’ensemble la partie juive de l’inscription « Ligue du Lierre », notre idée des données démographiques totales des populations d’étudiants se transforme complètement. »

Selon les statistiques déclarées, les Juifs égalent ou bien surpassent en nombre les Blancs non-juifs à la Harvard et à la plus grande partie des autres écoles « Ligue du Lierre », ce qui a l’air d’être énormément disproportionné. En effet, les statistiques officielles indiquent que les Blancs non-juifs à la Harvard sont le groupe démographique le plus sous-représenté des États-Unis : ils s’y inscrivent à une fraction beaucoup plus bas par rapport à leur proportion de la population nationale [18%] que les Noirs ou les hispano-américains, bien qu’ils aient des résultats scolaires fort plus élevés.

En Effet, l’analyse d’Unz  laissa entendre que, comparés aux Juifs, non-juifs Blancs sont représentés à la Harvard à un quinzième du niveau qu’ils auraient dans un système méritocratique. D’autre part, comparés aux Juifs, les Asiatiques sont sous-représentées à un septième du niveau qu’ils atteindraient dans un système méritocratique. Il est vraiment évident que les Asiatiques sont victimes d’une discrimination active : mais seulement si comparés aux Juifs, et certainement non si comparés aux Blancs non-juifs. En effet, les Blancs non-juifs sont plus de deux fois victimes d’une discrimination, si comparés aux Juifs, que ne le sont les Asiatiques. Je ne vois pas d’autre explication possible excepté un réseau de relations ethniques de cette surreprésentation « énormément disproportionnée » des Juifs comparés aux Blancs non-juifs.

Ce que suggère ceci, c’est que les Asiatiques, s’ils intentent un procès à la Harvard au sujet d’une sous-représentation, il leur faudrait présenter des arguments en faveur d’une sous-représentation comparativement aux Juifs, et non aux Blancs en général. Je doute plutôt qu’ils ne le fassent.

Cela suggère aussi une explication de la constatation selon laquelle l’inscription des Asiatiques est plafonnée à d’à peu près 16 pour cent depuis le début des années 1990, même si le pourcentage de la population asiatique a augmenté. L’« action affirmative » a coûté aux Asiatiques en ce qui concerne leur inscription à ces universités, de même façon qu’elle a coûté aux Blancs non-juifs. Selon Jones, si l’admission à la Harvard de 2007 à 2011 étaient méritocratique, les Asiatiques seraient 25,4% de la population étudiante de Harvard au lieu de 16% (sur l’hypothèse que les Asiatiques sont représentés à 63% de ce qu’ils devraient être fondées sur les résultats des bourses de mérite national ). D’un autre côté, la population juive avec celle des Blancs non-juifs augmenteraient de 44% à 72% dans un système méritocratique : c.-à-d., ce fait rendrait compte de la découverte que les Blancs ne sont admis qu’un niveau de 61% du véritable nombre qui les représentaient dans un système méritocratique. Comme ça, si l’inscription des Asiatiques à la Harvard augmentaient jusqu’à 25%, et l’inscription des Juifs avec celle des Blancs non-juifs augmentaient aussi jusqu’à 72%, pour le mettre en ligne avec les résultats de la Bourse du Mérite National, il n’y aurait presque pas de place pour les admissions de discrimination positive des Noirs et des Latinos, sans parler des étudiants internationaux.

Les activistes asiatiques qui ne voient dans les découvertes d’Unz qu’une indication d’une nécessité pour plus d’étudiants d’origine asiatique ne regardent certainement pas le tableau général de la situation.

Et malheureusement, Unz les encourage maintenant dans cette direction.

Il serait vraiment scandaleux si ces découvertes d’Unz seront seulement employées d’encourager plus de discrimination contre les Blancs non-juifs, ce qui, à supposer que les mesures de discrimination positive restent en place, ne viendrait qu’aux dépens des Juifs et des Blancs non-juifs. Étant donné les signes manifestes d’un réseau juif de relations éthniques, le résultat probable que les proportions juives resteraient les mêmes, or même s’augmenteraient, mais il y aurait une baisse même plus sévère chez les Blancs non-juifs, probablement jusqu’à 10%.

En effet, c’est exactement ce qui est arrivé. Prenez en considération la citation suivante de l’article original d’Unz, qui figure dans mes commentaires précédents sur Unz :

Entre 2000 et 2011, le pourcentage relatif des Noirs de la tranche d’âge universitaire inscrits à la Harvard est tombé de 18 pour cent, en plus de baisses de 13 pour cent les Asiatiques et de 11 pour cent pour les Hispano-Américains, bien que seulement les Blancs aient augmentés, en agrandissant leur inscription relative par 16 pour cent. Pourtant, c’est purement une illusion d’optique : En effet, le chiffre des Blancs non-juifs s’est légèrement baissé, tandis que l’inscription relative des Juifs s’est augmenté de plus de 35 pour cent, en parvenant probablement au plus haut niveau dans toute l’histoire de la Harvard. Pourtant, c’est purement une illusion d’optique : En effet, le chiffre des Blancs non-juifs s’est légèrement baissé, tandis que l’inscription relative des Juifs s’est augmenté de plus de 35 pour cent, en parvenant probablement au plus haut niveau dans toute l’histoire de la Harvard. Ainsi, la présence relative des Juifs s’est élevée pendant que celle de tous les autres groupes s’est baissée, et voici ce qui s’est produit durant exactement la même période où les résultats scolaires autrefois remarquables des lycéens juifs se sont apparemment tout d’un coup effondrés.

Ainsi ce n’est pas le cas que l’inscription des Blancs à la Harvard baissait pendant la dernière décennie parallèlement aux tendances démographiques, à condition que les Juifs soient inclus dans la catégorie Blanche. Et, bien sûr, le grand message c’est que les Juifs sont complètement immunisés contre les effets de la discrimination positive et le pourcentage en déclin des Blancs de la population étudiante universitaire. En effet, à première vue, tous les autres groupes sont perdants, tandis que seulement les Juifs sont de plus en plus nombreux.

Le chiffre qu’Unz nous donne montrant les tendances raciales en ce qui concerne la population étudiante universitaire depuis que les années 1970 fait preuve du fait que les Blancs sont en baisse, principalement à cause de la forte augmentation de la population hispano-américain. Mais les Blancs non-juifs représentent encore environ 60% de la population étudiante universitaire. On n’arrive tout simplement pas à le savoir en examinant les inscriptions « Ivy League ».

Ce qui est tout à fait clair, c’est qu’Unz doit savoir que parler de l’inscription des Blancs sans séparer les Blancs des Juifs mène a un tableau complètement inexact.

En vérité, c’est en mélangeant les Juifs et les Blancs non-juifs qu’il y a à trouver la façon même de procéder que les universités « Ivy League » utilisent pour cacher l’énorme surreprésentation de Juifs en comparaison des Blancs non-juifs. La surreprésentation des Juifs en comparaison des Blancs non-juifs était longtemps très évidente quand on prend en compte les résultats des tests du QI (voir mes commentaires précédents sur Unz); étant donné l’effondrement des accomplissements scolaires chez les Juifs documenté par Unz, la discrimination contre les Blancs non-juifs est vraiment insigne.

Il se peut que Jones pense qu’il faut supprimer les effets du régime courant des admissions sur les Blancs non-juifs afin de payer le prix pour obtenir plus de réclame et d’influence — bien que ses découvertes au sujet de la discrimination contre les Asiatiques à la Harvard aient du sens seulement par rapport aux Juifs, et bien que les Asiatiques soient deux fois plus susceptibles d’être admis à la Harvard que les Blancs non-juifs après correction de représentation parmi les demi-finalistes du Mérite National.

En autant que je sache, Unz  n’a jamais été invité à discuter ses découvertes en dehors de l’évidence pour la discrimination contre les Asiatiques. La discrimination si évidente contre les Blancs non-juifs n’est jamais apparu dans les deux discussions dans le New York Times dans ce récit d’un forum mettant en vedette Unz à la Yale. Je suis assez douteux que la discriminations contre les Blancs non-juifs était un sujet de discussion à une présentation par Unz à la faculté de droit de Yale qui était co-sponsorisée par les Étudiants en droit d’Américains d’origine asiatique et par la Société Fédéraliste.

Dans sa chronique «NROnline », Unz note que

S.B. Woo, le président fondateur de 80-20, une organisation  nationale de défense des intérêts des Américains d’origine asiatique qui était vigoureusement pour la réélection du Président Obama, a pris part au forum du New York Times, et il a intitulé sa contribution « La discrimination est évident ». Il argumentait que « la crédibilité des universités prestigieuses souffre » lorsqu’ils nient l’évidence claire qu’ils ont fixé un quota pour les étudiants d’origine asiatique », et il déclarait que « la valeur fondamentale de l’Amérique est bafouée ». Les pontes libéraux de gauche des publications telles que le Atlantic et le Washington Monthly ont de la même façon ridiculisé la malhonnêteté flagrante de Harvard dans cette question.

Mais la discrimination évidente contre les Blancs non-juifs n’est pas une question avec même l’un de ces politologues.  Et maintenant il semble avoir disparu des déclarations publiques d’Unz. Les Blancs non-juifs sont la majorité invisible et sans voix.

Pourquoi Unz a-t-il posé la question quant aux Blancs non-juifs pour simplement l’ignorer ensuite?  Il est clair que quelque chose s’est  passé.

Espérons que l’éditeur d’un journal conservateur principal important ne se sent pas obligé d’ignorer ses propres conclusions.

 

 

 

 

Why has Ron Unz stopped talking about discrimination against non-Jewish Whites?

Ron Unz’s meritocracy article is an important analysis of discrimination against non-Jewish Whites in admission to elite universities. But you wouldn’t know it by following his recent writing and public presentations. For example, a recent article posted on National Review Online (“Racial Quotas, Harvard, and the legacy of Bakke) focused entirely on his findings on Asian Americans. No mention of non-Jewish Whites.

This obvious omission did not go unnoticed. In “The Minimum Wage, Immigration, and Affirmative Action“, Unz mentions “a prominent conservative hardliner, someone very critical of the Republican establishment, who wondered why my sole focus had been on Asians, rather than on the white victims of affirmative action in college admissions.”

I suspect that the conservative hardliner is concerned about the effects of Ivy League practices on non-Jewish White Americans, and, in any case, that is certainly my concern. But Unz doesn’t touch on this issue, preferring instead to chastise Republicans for focusing on quotas rather than other more subtle and less rigid forms of racial preference. I agree that the Republicans have avoided addressing racial presferences. But in his reply Unz makes it sound as though there is no problem at all with White enrollment:

On average, white percentages have declined substantially over the last twenty years, but so has the white fraction of the college-age population, and the two trends have generally moved in parallel.  The range of white percentages across the Ivy League in 1990 was roughly as wide as the range today, with no sign of collusion or “quotas” in either case.

But in his original article Unz showed that Asians aren’t being discriminated at all in terms of the admission to Harvard compared to Whites ( including Jews and Whites in one category). The ratio of Asian Harvard students compared to the Asian share of National Merit semifinalists is 63%, whereas for Whites (including Jews) the comparable ratio is 61%. That is, both groups are represented at Harvard at just over 60% of what they would be in a completely meritocratic system; the shortfall from a meritocratic result is due to affirmative action for Blacks and Latinos, as well as international students and students who don’t declare their race.

So Asians are not being discriminated against compared to Whites at all, if Jews are included in the White category. Read more

Christopher Dorner: The LAPD is a racial dystopia

dorner

We in Southern California can’t turn on the TV without seeing coverage of the Christopher Dorner crime rampage. Make no mistake about it, this is no ordinary crime spree. Dorner is a Black man with extensive military experience who was fired from the Los Angeles Police Department when a review board found that he had manufactured a story that a White female officer had kicked a schizophrenic man with severe dementia as was being taken into custody. In his manifesto, Dorner paints a picture of corruption and cronyism that led to his being fired. On the other hand, the woman whom he accused was exonerated and eventually promoted;  in the LATimes account she paints a picture of  Dorner as incompetent.

One might think that Dorner is yet another Black man who feels entitled to murder because of past White racial oppression (see Jared Taylor’s video). However, it’s more complicated than that. It’s true that he has a sense of racial victimization. Incidents where he was called “nigger’ or simply heard the word being used are etched in his brain.   After being called “nigger” in the first grade (where Blacks were “less than 1%”), he “made a life decision that i will not tolerate racial derogatory terms spoken to me.” And he resents racially derogatory names for President Obama and his wife.

But his first two murder victims were the (Asian) daughter of the lawyer who defended him in the hearing and her (Black) fiance. (Dorner claims the lawyer, a former police officer, colluded with the LAPD.) Read more

Jewish attitudes on Israel and White advocacy: Similarities and differences

There’s no question that voices within the Jewish community critical of Israel are gaining momentum—people like Peter Beinart, websites like Mondoweiss, the J Street lobbying group, and significant Jewish involvement in the BDS movement. It’s a good sign, but the jury is still out on whether it will ultimately influence policy change, either in Israel or the U.S. Despite some losses in the last election, Netanyahu is still in charge and no one is suggesting that there will be any change in settlement policy or any tangible changes in the plight of the Palestinians. In the U.S., the Israel Lobby is still enormously powerful as shown by the Hagel nomination hearings. Israel and Israel’s main enemy, Iran, dominated the questioning from senators for both sides. Democrats sought cover by getting simple assurances that Hagel would defend Israel, while several Republicans unleashed a torrent of hostility. Given Hagel’s groveling, there are doubts that there can be meaningful policy change by the U.S. government. Beinart comments that

if the aim of the hearings was also to begin building a case for Obama’s second term foreign policy—a foreign policy that brings military spending into balance with economic resources and aggressively pursues diplomacy with Iran, and maybe Israel and the Palestinians too—Hagel failed. And if he continues to fail as a foreign policy spokesman once confirmed, that second term agenda will be harder to achieve.

But of course, the aim of the hearings was not at all to build a case for a second-term policy. It’s a lot more likely that the purpose was to signal a change in policy, particularly regarding raising the bar for war with Iran, while not directly confronting the power of the Lobby.

But the question I want to pose is what the trajectory of Jewish attitudes on Israel bodes for possible changes in Jewish attitudes on the displacement of White America.

The oppression of the Palestinians resulting from the occupation of the West Bank and Gaza has been going on for well over 40 years and we are only now beginning to see cracks in the wall of Jewish support for Israel. For all this time and even now, Israel has held out hope for a negotiated peace while continuing to make facts on the ground that are completely incompatible with a two-state solution. For the entire period, successive U.S. administrations have opposed settlements, as has the UN. For the entire period, well-informed, factually based critiques were available but were completely marginalized. Read more

L’attitude juive envers Israël et envers la défense des intérêts des Blancs: Similarités et différences

By Kevin MacDonald; translated by Armor

English version here

Il ne fait aucun doute qu’au sein de la communauté juive, les voix qui critiquent Israël se font plus fortes —avec des gens comme Peter Beinart, des sites internet comme Mondoweiss, le groupe de pression J Street, et une importante participation juive au mouvement BDS. C’est bon signe, mais on ne sait pas encore si cela finira par faciliter un changement de politique en Israel ou aux USA. Malgré quelques reculs lors de la dernière élection, Netanyahu reste au pouvoir, et personne ne prévoit de changement dans la politique de colonisation, ni de changements tangibles dans la situation des Palestiniens. Aux États-Unis, le lobby pro-israélien reste extrêmement puissant, comme le montrent les auditions examinant la candidature de Hagel. Israël et son principal ennemi l’Iran ont été au centre des questions posées par les sénateurs des deux camps. Les Démocrates ont cherché à se protéger en obtenant de simples garanties que Hagel défendrait Israël, tandis que plusieurs Républicains l’ont attaqué sans ménagement. Vu la façon dont Hagel s’est couché devant eux, on peut douter que le gouvernement américain soit capable d’un vrai changement de politique. Beinart observe que

si les auditions avaient aussi pour objectif de commencer à promouvoir la politique étrangère du second mandat d’Obama —une politique étrangère qui réduit les dépenses militaires en fonction des ressources économiques, et qui poursuit énergiquement la voie diplomatique avec l’Iran, et éventuellement avec Israël et les Palestiniens—alors Hagel a échoué. Et si, une fois confirmé à son poste, Hagel ne devient pas un meilleur porte-parole de la politique étrangère, alors le programme du second mandat sera d’autant plus difficile à réaliser.

Évidemment, le but des auditions n’était pas de présenter un argumentaire pour la politique étrangère du second mandat. L’intention était sans doute plutôt de signaler un changement de politique, notamment en plaçant la barre plus haut s’agissant du déclenchement d’une guerre avec l’Iran, mais sans affronter directement le pouvoir du Lobby.

Mais la question que je veux soulever est celle-ci: que laisse présager l’évolution de l’attitude juive envers Israël quant à un éventuel changement de l’attitude juive sur la question de la substitution ethnique de l’Amérique Blanche ?

L’oppression des Palestiniens due à l’occupation de la Cisjordanie et de Gaza continue depuis bien plus de 40 ans et on entrevoit seulement maintenant des fissures dans le mur du soutien juif à Israël. Durant tout ce temps, et maintenant encore, Israël a laissé espérer une paix négociée tout en continuant à mener sur le terrain des actions totalement incompatibles avec la solution à deux États. Tout du long, les gouvernements américains successifs se sont opposés à la colonisation, tout comme l’ONU. Tout du long, des analyses critiques bien informées et factuelles sont restées disponibles, mais reléguées dans l’ombre. Mais maintenant, malgré le pouvoir juif des médias, la situation en Israël est trop visiblement injuste pour être dissimulée sous de faux-semblants. Des fissures sont apparues aux États-Unis dans les hauts-lieux de la politique étrangère, notamment avec le livre de Mearsheimer et Walt, Le Lobby pro-israélien. Et le soutien des pays européens à Israël s’est considérablement érodé, au point que les votes de l’ONU opposent pratiquement les États-Unis et Israël au reste du monde.

Juste au moment où il devient évident qu’Israël et le judaïsme de la diaspora courent un risque si rien ne change, des intervenants comme Beinart viennent recadrer la discussion dans certaines limites et éviter ainsi qu’elle ne conduise à s’interroger sur le dessein principal du judaïsme historique. D’ailleurs, Mondoweiss a décidé de bannir les commentaires qui mettent en avant certaines caractéristiques ancrées dans le judaïsme pour expliquer les exemples de comportement israélien qui trahissent un point de vue racialiste envers les Palestiniens et les immigrés non-juifs. En général, les juifs qui critiquent Israël préfèrent ne pas être exclus de la communauté juive.

Loin de représenter l’orientation principale de la communauté juive, les critiques juives adressées à Israël se sont développées en réaction à d’autres critiques venant de l’extérieur —des Palestiniens et de leurs alliés. On peut trouver que leurs critiques sont minimalistes dans le sens où elles vont le moins loin possible et ne mettent jamais en cause certains traits de base du judaïsme historique, tels que le souci de pureté raciale et une attitude manipulatrice envers les non-Juifs. Ces critiques font penser à un débat de la Knesset —les opinions divergent quant à ce qui est le mieux pour les Juifs.

Ces critiques sont utiles même quand elle n’aboutissent à rien, car elles démentent l’idée d’une attitude monolithique des Juifs envers Israël. Par exemple, lors des débats entre professeurs de mon université, j’avais l’habitude de mentionner le contraste énorme entre les positions israéliennes et celles de la communauté juive américaine sur des questions comme l’immigration et le multiculturalisme. Mais mes contradicteurs avaient beau jeu de faire remarquer qu’ils avaient leurs propres reproches à adresser à Israël. Ensuite, en toute bonne conscience, ils consacreraient tout leur activisme non pas à changer la politique israélienne, mais à promouvoir la révolution multiculturelle et la marginalisation des Blancs aux USA.

Alors que suggère tout cela du point de vue de la défense des intérêts des Blancs ?

  • Pour ce qui est de percevoir ou de s’alarmer du problème de marginalisation ethnique des Blancs américains, c’est comme si on était encore en 1967. À la différence des Palestiniens, les Blancs ne constituent pas une large population indignée et consciente du rôle qu’ont joué les Juifs et la communauté juive organisée dans l’émergence d’une Amérique non-blanche. En effet, beaucoup d’entre eux demeurent indifférents au problème de marginalisation des Blancs ou se montrent même hostiles à la majorité blanche. (C’est particulièrement visible à l’université ; voir la récente vidéo de Jared Taylor où il évoque l’attitude anti-blanche très fréquente dans les milieux universitaires —un bon exemple du continuel refrain des élites occidentales qui vise à diaboliser l’Occident. Les commentateurs politiques mentionnent souvent l’insécurité et la colère que ressentent les Blancs, et qui se manifestent à travers le mouvement du Tea Party et par le fait que les Blancs de la classe ouvrière votent pour les Républicains, bien que ce ne soit pas dans leur intérêt économique. Mais le malaise blanc a du mal à s’exprimer —au moins en partie parce que les conservateurs traditionnels n’ont pas réussi à cadrer le débat en termes d’intérêts légitimes des Blancs. Les conservateurs traditionnels préfèrent pontifier sur des questions telles que le «big government», le problème d’un gouvernement trop interventionniste, qui serait censé causer le malaise de leur public —un public inquiet et mécontent, principalement blanc.
  • Le camp pro-israélien qui domine les médias américains a exercé son pouvoir en faisant licencier ses adversaires. De même, les défenseurs des intérêts des Blancs courent un grand risque à exprimer publiquement leurs opinions. Bien que la nomination de Hagel laisse penser que certaines personnes mal aimées du Lobby pro-israélien survivent dans la vie publique, on est loin de la situation où un défenseur explicite des Blancs pourrait survivre dans l’exercice de fonctions publiques. Imaginez la réaction si Hagel avait eu à expliquer des déclarations faites par le passé en faveur des Blancs. Il n’aurait absolument aucune chance d’être confirmé à son poste.
  • Tout comme le racialisme israélien et l’oppression des Palestiniens sont arrivés au point où ils ne peuvent plus être dissimulés, il n’est pas possible de camoufler éternellement les conséquences pour les Blancs de l’immigration, du multiculturalisme, de l’affirmative action [NdT: discrimination positive], et des positions anti-blanches défendues par les élites. Nous avons déjà un président qui ne ressent aucun besoin de chercher l’approbation des Blancs socialement conservateurs qui votaient autrefois Démocrate pour des raisons principalement économiques. Une nouvelle et facile victoire des Démocrates en 2016, malgré la capitulation des Républicains sur l’immigration illégale, et malgré un pourcentage déséquilibré de Blancs qui votent Républicain dans toutes les classes sociales, tous les groupes d’âge et les deux sexes, accentuerait encore la dimension raciale des lignes de bataille. Le déclin du pouvoir politique des Blancs se conjugue à l’impression de plus en plus forte qu’ils se font sacrifier (affirmative action, probabilité 40 fois plus élevée des crimes commis par des Noirs sur des Blancs par rapport aux crimes commis par des Blancs sur des Noirs [voir la vidéo de Jared Taylor], et chez les communautés noire et latino : structures familiales qui restent dysfonctionnelles, mauvais résultats scolaires, forte dépendance aux aides sociales) et cela se combine aussi à des politiques (restriction des armes à feu, régularisation des immigrés clandestins, mariage homosexuel) qui s’opposent aux idéaux ancrés chez les Blancs américains socialement conservateurs. Tout cela constitue une combinaison politiquement explosive.
  • Si une réaction politique se produit (le plus tôt sera le mieux), la communauté juive organisée s’y opposera fortement. Mais si la réaction prend de l’ampleur, il faut s’attendre à ce que les personnes à forte identité juive commencent à critiquer les positions majoritaires de la communauté juive sur les questions liées au pouvoir politique blanc, à l’immigration, et aux positions anti-blanches des élites. De même que les Juifs comme Beinart sont motivés par l’idée qu’il est dans l’intérêt d’Israël et du judaïsme diasporique d’obtenir une paix juste avec les Palestiniens, d’autres Juifs pourraient être motivés, du moins en surface, par l’idée que le déclin de l’Amérique blanche est mauvais pour les Juifs. Dans les milieux juifs, certains s’inquiètent déjà que les non-Blancs américains risquent de se montrer beaucoup moins sensibles que les Blancs aux préoccupations des Juifs.
  • Tout comme les reproches visant le lobby pro-israélien, les critiques visant le rôle joué par la communauté juive seront de type réactif, dans la mesure où ces critiques proviendront de milieux extérieurs. De la part des élites juives, des réactions favorables aux intérêts des Blancs ne seraient possibles que si le mouvement de défense des intérêts des Blancs est perçu comme une menace réelle pour la communauté juive.
  • Comme dans le cas des Palestiniens, la critique restera minimaliste dans le sens où elle n’insistera pas sur la façon dont les Juifs et la communauté juive organisée ont concouru à amener la situation actuelle. Cela veut dire que les auteurs juifs de ces critiques pourraient soutenir des organisations comme “American Renaissance”, où on ne parle pas du rôle des Juifs et de la communauté juive organisée dans la création du malaise actuel.
  • L’une des principales conséquences sera de briser l’idée qu’il existe un point de vue juif monolithique sur ces questions. Comme pour les reproches juifs adressés à Israël, il y a des effets bénéfiques, même si cela n’aboutit à aucun changement de politique.

Tout cela dépend de la survenue ou non d’une crise de l’Amérique blanche lorsque les gens vont comprendre ce que ces changements impliquent. Il est possible qu’il n’y ait pas de crise mais plutôt un long gémissement final à mesure que les Blancs accepteront leur sort de peuple conquis, en dépit du fossé flagrant entre la réalité d’aujourd’hui et l’avenir multiculturel prospère et harmonieux qu’on nous avait annoncé. Mais il est bien établi en psychologie que la cohésion et la conscience de son identité se trouvent renforcées dans les groupes minoritaires qui se voient confrontés à descompétiteurs dangereux. Nous verrons….

Hagel Wisely Caves in to the Israel Lobby

The viciousness of the Hagel hearings is really amazing, especially the questioning of John McCain, Lindsay Graham, and Ted Cruz. Graham and Cruz especially were being good soldiers of the Israel Lobby. The exchange that really revealed the power of the Lobby was when Graham asked Hagel to

“name one person, in your opinion, who’s intimidated by the Israel lobby in the United States Senate.”

“I don’t know,” Hagel ultimately conceded.

Graham continued his interrogation, asking Hagel to, “Name one dumb thing we’ve been goaded into doing because of the pressure from the Israeli or Jewish lobby?”

“I have already stated that I regret the terminology,” Hagel protested.

“But you said back then, it makes us do dumb things,” Graham pressed. “You can’t name one senator intimidated, now give me one example of the dumb things that we’re pressured to do up here.”

“Well, I can’t give you an example,” Hagel admitted.

Obviously Hagel  was intimidated. There was no way he would name names, even though it’s common knowledge that anyone actively opposing the Israel Lobby should be prepared to see his opponent in the next election run a very well-funded operation. More importantly, Hagel would never be so bold as to name the war in Iraq as Exhibit A for a “dumb thing” that the Senate (including Hagel) was stampeded into by the Israel Lobby, its megaphone in the media,  and its operatives in the Pentagon (Wolfowitz, Feith, Shulsky; see here, p. 40ff) supplying false intelligence to the hopelessly naive President Bush. Such things are still completely off the table in polite conversation.  Read more