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The End of the World News, Feb. 12, 2013

In its great days, the newsreaders for the World Service of the BBC would provide a summary of the major stories, then sign off the broadcasts in their perfect Brit accents, ‘And that’s the end of the world news.’ Subsequently, the BBC has gone multiculti in its accents, replaced the objective newsreaders with the personality style ‘anchors’ of the American media, and dropped the sign-off line. Therefore, TOO feels free to adopt it and indeed adapt it to the ‘End of the World’ News.

Here then is the summary for February 12, 2013.

Adios Republicanos

Tonight Sen. Marco Rubio (R. South Florida) will deliver the Republican response to Pres. Barack Hussein Obama’s State of the Union message — in both English & Spanish. This will be the first time either the State of the Union address or the response by the party not in the White House will be bilingual — and this time coming from a party, most of whose members want to make English the official language of our country.

rubio

The son of Cuban immigrants, Rubio is of fairer complexion than Louisiana Governor Bobby Jindal who gave the response to Obama’s 2009 speech. (Of East Indian descent, Jindal’s speech came off as a failed audition for higher office.) Elected with the support of the conservative Tea Party faction, since taking office Rubio has, as they say, “grown.” Translation – he now supports more “moderate” policies and is a key player in the bipartisan “Gang of Eight” Senators who are preparing yet another watering down of U.S. immigration laws. Read more

Hagel s’aplatit sagement devant le Lobby pro-Israélien

By Kevin MacDonald; Translated by Armor. English version here 

Les séances d’audition de Chuck Hagel au Sénat ont été d’une virulence incroyable, surtout quand il s’est fait interroger par John McCain, Lindsay Graham, and Ted Cruz. Graham et Cruz se sont montrés des soldats particulièrement zélés du Lobby pro-israélien. L’échange qui a le mieux démontré la force du Lobby a eu lieu quand Graham a demandé à Hagel de

“nommer une personne, qui selon vous, est intimidée par le Lobby pro-israélien qui oeuvre au Sénat des États-Unis.”

“Je ne sais pas,” a fini par concéder Hagel.

Graham a continué l’interrogatoire, demandant à Hagel de, “Nommer l’une des choses stupides que nous avons été poussés à faire sous la pression du Lobby juif ou pro-israélien ?”

“J’ai déjà déclaré que je regrettais cette terminologie,” a protesté Hagel.

“Mais vous aviez dit que le Lobby nous faisait faire des choses stupides,” a insisté Graham. “Vous ne pouvez pas nommer un seul sénateur qui soit intimidé, donnez-moi au moins un exemple de toutes les choses stupides qu’au Sénat, on est contraint de faire sous la pression.”

“Éh bien en fait, je ne peux pas vous donner d’exemple,” a admis Hagel.

Il est évident que Hagel s’est fait intimider. Il n’y avait pas moyen de lui arracher des noms. Et pourtant, il est bien connu que quiconque s’oppose activement au Lobby pro-israélien doit être prêt, lors de l’élection suivante, à voir son adversaire faire campagne avec des moyens financiers considérables. Mais surtout, Hagel n’aurait jamais eu l’audace de citer la guerre d’Irak comme pièce à conviction numéro 1, le meilleur exemple de “chose stupide” où le Sénat (y compris Hagel) a foncé tête baissée, à l’instigation du Lobby pro-israélien et des médias qui lui servent de porte-voix, ainsi que de ses agents au Pentagone (Wolfowitz, Feith, Shulsky ; voir ici, p. 40 et suivantes), qui fournissaient de faux renseignements au désespérément naïf Président Bush. On n’évoque pas de ce genre de choses en bonne compagnie. Read more

Comments policy

I decided to curtail the comments section, at least temporarily. I did this after several people, whose opinion I respect, all suggested this change. The problem was that too many comments were getting through that did not reflect well on the site, and we couldn’t commit the resources to monitoring all of them. I apologize to those who were making intelligent, thoughtful comments, but there were too many trolls and others whose opinions were unwelcome.

Les organisations juives dirigent la campagne pour le contrôle des armes à feu

English version here

Dans son article (“Armes à feu, profilage et mâles blancs“) actuellement à l’affiche sur The Occidental Observer, Cooper Sterling remarque :

L’obsession irrationnelle de la gauche pour le contrôle des armes à feu est loin de se limiter à la dernière tuerie commise. C’est une attitude très répandue, chez les intellectuels cosmopolites, qui détestent l’Amérique moyenne, de s’étendre sur les risques associés aux armes à feu, tout en méconnaissant ou minimisant l’avantage de posséder ces armes. …

Ceux qui, depuis le massacre de Newtown, observent le paysage politique national, sont témoins du refus rageur de laisser la moindre influence politique à un groupe démographique bien identifiable : les Blancs qui maintiennent la culture des armes à feu. Ce que détestent les grands médias et les partisans du contrôle des armes à feu, c’est en définitive la culture américaine des armes à feu, qui est trop blanche, trop masculine, et trop conservatrice. …

La possession d’armes à feu est une tradition aussi vieille que la République. Elle reflète la démographie d’avant 1965, lorsque l’Amérique était une nation principalement blanche, et plus civilisée qu’aujourd’hui. Je suis natif du Midwest, et dans nos voisinages, les armes étaient très répandues. Peu de foyers ne possédaient aucune sorte d’arme à feu. Nous avons grandi en accompagnant nos pères, nos oncles et nos cousins à la chasse, et en acquérant nos premiers fusils au milieu de l’adolescence.

Un article publié par The Forward note que la communauté juive a pris la tête du mouvement pour le contrôle des armes à feu et qu’il s’agit en partie d’une hostilité envers la culture des armes à feu propre aux Blancs américains, une culture particulièrement visible dans l’Amérique rurale. Cette culture inspire aux Juifs un mouvement de “recul instinctif“ (“Après Newtown, les Juifs à la tête d’une nouvelle offensive contre les armes à feu“).

Concernant le contrôle des armes à feu, les organisations juives sont fières de défendre des positions qui remontent au tout début du débat, suite à l’assassinat de Martin Luther King Jr. et du Président Kennedy. La plupart d’entre elles ont aidé au passage de lois limitant l’accès aux armes, et ont par la suite réaffirmé leur volonté de restreindre la disponibilité des armes.

L’une des raisons du large soutien juif au contrôle des armes à feu, a affirmé Mariaschin, est liée à la préoccupation de sécurité de la communauté, une préoccupation “qui peut-être nous conduit à penser que la détention de fusils d’assaut est complètement injustifiée.”

Le rabbin Eric Yoffie, ancien directeur du mouvement pour le judaïsme réformé, a fourni une liste, dans un récent article de Haaretz, de plusieurs raisons qu’ont les Juifs de se ranger du côté des partisans du contrôle des armes à feu: l’affiliation de leur communauté au Parti Démocrate ; le fait que les Juifs soient des citadins éloignés de la culture de la chasse et des armes à feu, ainsi que la suspicion envers la NRA [NdT: Association Nationale du Fusil], qui reste ”associée, dans l’esprit de nombreux Juifs, à des positions extrémistes qui effrayent les Juifs et dont ils s’éloignent instinctivement.”

S’il est certain que les Juifs ont attaqué et fini par l’emporter sur la culture d’élite WASP de l’Amérique d’avant 1965 (par exemple, en écartant les WASP dans les universités d’élite), un autre point conflictuel crucial a opposé les organisations juives et les principaux mouvements intellectuels juifs à l’Amérique rurale. Ce conflit apparaît le plus clairement parmi les Intellectuels New-yorkais, un groupe évoqué dans le Chapitre 6 de The Culture of Critique.

Les Intellectuels New-yorkais s’attaquaient au populisme pour leur propre bénéfice, en tant qu’élite intellectuelle. Les Intellectuels New-yorkais associaient l’Amérique rurale avec

le nativisme [NdT: courant d’opinion hostile à l’immigration], l’antisémitisme, le nationalisme, et le fascisme, ainsi qu’avec l’anti-intellectualisme et le provincialisme ; l’urbanité était par antithèse associée à la tolérance ethnique et culturelle, à l’internationalisme, et aux idées avancées. . . . Les Intellectuels New-yorkais postulèrent simplement au départ que tout ce qui était rural—notion liée dans leur esprit à l’essentiel de la tradition américaine, ainsi qu’aux territoires généralement situés au delà de New York—n’avait pas grand chose à contribuer à une culture cosmopolite. . . . En interprétant les questions culturelles et politiques à travers le prisme urbain-rural, les auteurs pouvaient même faire passer les affirmations de supériorité et les déclarations de sentiments anti-démocratiques comme des jugements experts et objectifs. (Cooney 1986, 267–268; italiques dans le texte d’origine)

La dernière ligne mérite d’être répétée. Les Intellectuels New-yorkais étaient engagés dans une entreprise profondément anti-démocratique, vu qu’ils rejetaient et se sentaient supérieurs à la culture de la majorité des Américains. La bataille s’est jouée sur de nombreux sujets, entre l’Amérique rurale et ces milieux citadins représentant l’establishment intellectuel et politique. Particulièrement importante a été la question de l’immigration. Sur ce sujet, et sur tout ce qui aujourd’hui est devenu le discours dominant de gauche, les Intellectuels New-yorkais ont reçu le soutien enthousiaste de toutes les grandes organisations juives. (Critique du livre “L’Ascension et la Chute de l’Anglo-Amérique“ d’Eric Kaufmann)

La culture des armes à feu de l’Amérique traditionnelle, surtout rurale, a été particulièrement haïe par les intellectuels juifs. La culture chrétienne, très vivante dans l’Amérique rurale, inspire aussi une peur profonde. Par exemple, le patriote israélien Elliott Abrams reconnaît que la culture juive majoritaire en Amérique “conserve une image très sombre de l’Amérique, l’image d’un pays imprégné d’antisémitisme et toujours au bord de l’explosion antisémite.“ D’après Abrams, c’est cette vision pessimiste qui fait que les Juifs ont pris la tête du mouvement de sécularisation de l’Amérique. En fait, on connaît bien le rôle-clé joué par les organisations juives dans la formation de la loi constitutionnelle sur les rapports État/Église. Quant à savoir qui se cache derrière la guerre contre Noël, ce n’est pas non plus un grand mystère.

Et en réussissant à changer la politique d’immigration, les Juifs ont réduit le pouvoir politique de la population américaine blanche et rurale à tel point que, même si environ 7 sur 10 des hommes blancs ont voté Républicain (et ~60% des électrices blanches), Obama et les Démocrates ont malgré tout remporté la dernière élection. Même si l’offensive actuelle visant à imposer un contrôle des armes à feu n’aboutit pas, il faut s’attendre à ce que les organisations juives continuent ensuite la campagne pour le désarmement des Blancs.

Les organisations juives ne s’opposent pas du tout aux armes à feu tant qu’elles restent aux mains de la police et autres autorités. L’ADL (voir l’organisme Law Enforcement Agency Resource Network [Réseau de ressources au service des Agences de maintien de l’ordre]) et le SPLC (Law Enforcement Training et Law Enforcement Resources) ont conclu des accords de coopération poussée pour le maintien de l’ordre en Amérique.

En outre, on a souvent vu les organisations juives, au cours de l’histoire, montrer leur préférence pour un gouvernement central fort, plutôt que pour le droit des États. Par exemple, Jacques Berlinerblau, s’exprimant dans The Chronicle of Higher Education [Chronique de l’Enseignement Supérieur] (voir ici), observe que “les électeurs juifs … préfèrent les villes et les gouvernements fédéraux plutôt que les coins perdus et les assemblées locales à majorité volatile. … De façon générale, les Juifs aiment les gouvernements centraux forts, et n’aiment pas avoir un mélange de décideurs locaux au service de différentes majorités.“

En définitive, même si les organisations juives ne l’exprimeraient pas ainsi, l’activisme juif a eu pour principal effort de soutenir un gouvernement central fort disposant du monopole de la force armée. Étant donné l’hostilité juive à l’égard de la population et culture traditionnelles de l’Amérique blanche, cette situation est de très mauvais augure, au moment où nous allons vers l’avènement d’une Amérique à majorité non-blanche.

Jewish “Conservatives” Urge Obama to Move on “Comprehensive Immigration Reform”

Support for open borders spans the Jewish political spectrum, from the far left to the neoconservative right. So it’s no surprise that Jewish  “conservatives” are urging support for Obama’s upcoming “comprehensive immigration reform.”

A former Jewish speechwriter for President George W. Bush, Noam Neusner, urges Obama to push for one more “big legislative ambition: immigration reform.” Neusner, writing in the Forward,  makes the following bizarre argument: “Here’s hoping that Jewish conservatives contribute to that debate. After all, we are uniquely qualified to do so. Not because we’re Jews, but because we are immigrants from our own people.”

Let’s see. American Jews have always been liberal. So Jews like Neusner “immigrated” to the world of neoconservatism and that means they should support real immigration.

Rather than relying on an argument that is really nothing more than a bad pun, how about this simpler interpretation: Like other Jewish neocons, Neusner is a liberal who will make any argument, no matter how ridiculous, to support his very unconservative desire to see America transformed in a way that conforms to Jewish interests. Jewish Republicans like Neusner are also noteworthy for supporting that other current big liberal initiative, gay marriage. As Sam Francis wrote some time ago,

What neoconservatives really dislike about their “allies” among traditional conservatives is simply the fact that the conservatives are conservatives at all—that they support “this notion of a Christian civilization,” as Midge Decter put it, that they oppose mass immigration, that they criticize Martin Luther King and reject the racial dispossession of white Western culture, that they support or approve of Joe McCarthy, that they entertain doubts or strong disagreement over American foreign policy in the Middle East, that they oppose reckless involvement in foreign wars and foreign entanglements, and that, in company with the Founding Fathers of the United States, they reject the concept of a pure democracy and the belief that the United States is or should evolve toward it. See here, p. 26.

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The Political Cesspool’s interview with Congressman Walter Jones is causing a liberal meltdown

On last Saturday’s broadcast of The Political Cesspool Radio Program, we welcomed Congressman Walter Jones (R-NC) as a guest on the show, and the lunatic left’s Pavlovian saliva pumps are slowly coming up to speed.

This time, the attack was begun by the website of Mother Jones Magazine (no relation to Congressman Jones), a Socialist rag that has been home for editors, journalists, and other questionable characters that you won’t find at Baptist or Presbyterian Sunday services.

For more, see here.

The Olympic Idea, 2012

The meaning of the modern Olympic Games (1896 onwards) is written in the Olympic Charter, which stipulates that “The Olympic Games are competitions between athletes in individual or team events and not between countries” (Chapter 1, Article 6). In this article I wish to point out several issues regarding the friction between nationalism and the modern Olympic Games.

First of all the ancient Olympic Games were an expression of Greek nationalism as they were pan-Hellenic. The Greek world was divided into city-states which were either independent or had some form of self-government. Only Greek freemen were allowed to participate and the Games were held in the honor of  the Greek gods, because they were believed to reside on Mount Olympus. Both criteria automaticly ruled out any possibility of foreign participation whatsoever, even as a spectator. Attending the Games was giving hommage to the Greek gods. Another striking feature of the ancient Games is that only the winners were showered with fame and honor. There was no notion of a second or even third place. The Games were a showcase of Greek pride and prowess.

The modern Olympic Games were first revived by Greek nationalists during the 19th century following the independence of Greece in 1832. It had again a pan-Hellenic character as Greeks from all over the Mediterranean were encouraged to join in. In 1890 the Frenchman Pierre de Coubertin found the International Olympic Committee (IOC) which managed to get the Olympic Games held in Athens in 1896 as an international event in which 14 European nations (or nations of European descent) participated. The Greek nationalist rationale that somebody was not a citizen of a state, but a member of a nation was upheld: Greeks from the Ottoman Empire were listed as Greek. Some people opted for Athens as a permanent city for the Olympics but this was overruled by the IOC. Since then, the Olympics are held every four years in different cities around the globe. Read more