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Den judiska och den muslimska frågan

Original Article: The Jewish and Muslim Questions; Swedish translation posted at Motgift.nu

Är judarna eller muslimerna ”det stora hotet” eller ”det stora problemet”? Den frågan verkar kunna splittra nationellt sinnade över hela Västvärlden. Vi presenterar här en välskriven och intressant artikel i ämnet från Enza Ferreri, som — likt Motgift tidigare påvisat — menar att man måste kunna hålla två bollar i luften.

Jag avslutade min senaste artikel på The Occidental Observer med att fokusera på kampanjen mot ”judaiseringen av Storbritannien” och på vissa likheter mellan islam och judendom liksom mellan de muslimska och judiska befolkningsgrupperna i Väst. Icke desto mindre har jude- och muslimfrågan haft väldigt olika konsekvenser för vita, och detta ämne har ofta och regelbundet diskuterats. Read more

Le Black-out des Médias sur l’Affaire ZBT

English version: “The ZBT Media Blackout”

Article d’origine publié le 2 mai 2015

Quand on pense aux fraternités [NdT: clubs d’étudiants, aux États-Unis], rien de ce qu’on y associe habituellement ne plaît à la gauche. C’est sans doute pourquoi la fraternité Phi Kappa Psi, à l’Université de Virginie (UVA), s’est trouvée dans la ligne de mire de Sabrina Rubin Erdely. [NdT: En décembre 2014, le magazine Rolling Stones a publié un article de Sabrina Erdely accusant faussement des membres d’une fraternité de l’Université de Virginie d’y avoir commis un viol collectif.] Sabrina Erdely n’avait-elle pas décrit les étudiants de l’UVA comme “une multitude d’étudiants athlétiques, à la peau bronzée, et blonds pour la plupart d’entre eux” —sans aucun doute de la graine de nazi, dans son imagination ethnique hyperactive.

On s’étonne donc de trouver une fraternité qui se livre aux activités suivantes: cracher sur d’anciens combattants et blessés de guerre de l’armée américaine, leur lancer des bouteilles de bière, ou encore, arracher les drapeaux américains qui ornent les voitures d’anciens combattants pour uriner dessus.

C’est pourtant ce qu’ont fait certains membres de la section Zeta Beta Tau (ZBT) de l’Université de Floride, si bien que leur section a été fermée. Aucun des étudiants n’a été renvoyé de l’université. Read more

La Judaïté importe-t-elle ?

English version: “Does Jewishness Matter?”

Article d’origine publié le 10 avril 2015

Il y a quelque temps, une mini tempête médiatique a éclaté à l’UCLA [Université de Californie – Los Angeles] au cours de la procédure de confirmation d’une étudiante juive à un poste au Comité Juridique du conseil des étudiants. L’étudiante s’est vu poser une série de questions pour déterminer si ses engagements juifs pourraient influencer son travail au conseil. Cela violait évidemment un grand tabou. Extrait du compte-rendu du New York Times:

“Étant donné que vous êtes une étudiante juive très active dans la communauté juive,” a déclaré Fabienne Roth, membre du Conseil de l’Association des Étudiants de premier cycle, en regardant Mme Beyda à l’autre bout de la salle, “est-ce que vous vous voyez garder un point de vue impartial ? ”

Pendant les 40 minutes suivantes, après qu’on se soit débarrassé de Mme [Rachel] Beyda, le conseil s’est enferré dans un débat pour déterminer si la religion et l’appartenance de cette dernière à des organisations juives, y compris son association d’étudiantes et le populaire club d’étudiants Hillel, signifiait qu’elle ne pourrait pas être impartiale sur les questions sensibles de gouvernance dont traite le conseil, l’équivalent de la Cour Suprême sur le campus.

D’après les étudiants et responsables juifs, cette discussion, consignée dans le procès verbal et enregistrée en vidéo, semblait faire écho aux questions, préjugés et stéréotypes qui visent les Juifs depuis des siècles à travers le monde — en particulier au sujet de leurs loyautés tiraillées.

Le conseil, réuni le 10 février, a d’abord voté le rejet de la nomination de Mme Beyda, car quatre membres s’y opposaient. Mais ensuite, à l’insistance d’un conseiller de la faculté qui a fait remarquer que l’appartenance à des organisations juives ne constituait pas un conflit d’intérêts, les étudiants ont réexaminé la question et admis la candidate au bureau à l’unanimité. …

“On n’aime pas agiter le drapeau de l’antisémitisme, mais dans ce cas, c’est différent,” a déclaré le rabbin Aaron Lerner, nouveau directeur général de la section Hillel à l’UCLA, à propos du vote contre Mme Beyda. “C’est de la bigoterie. C’est de la discrimination contre quelqu’un en raison de son identité”.

Le chancelier de l’université, Gene D. Block, a publié une déclaration dénonçant les attaques contre Mme Beyda. “Il est intellectuellement et moralement inacceptable de supposer que tout membre d’un groupe est forcément partial, ou motivé par la haine”, a-t-il dit. “Quand des stéréotypes blessants –quel que soit le groupe visé– sont brandis pour délégitimer les autres, nous nous sentons tous salis.”

Le distingué Dr Block, dont l’identité juive n’a sûrement aucun rapport avec sa déclaration, va bien au-delà de ce qui est prouvé en affirmant qu’on a supposé au cours des délibérations que “tout membre d’un groupe est forcément partial”. La raison évidente de ces questions est qu’il y avait un doute, pas une certitude. Toute personne saine d’esprit comprend bien que ce ne serait pas exactement une surprise si Mme Beyda laissait son identité juive influencer sa façon de voter sur de nombreuses questions, en particulier sur Israël et sur les controverses maintenant fréquentes à propos des activités du mouvement BDS [NdT: une organisation pro-palestinienne] sur le campus. Read more

Es leben meine Toten! (Die Antifa-Dämonologie und die kroatische Opferlehre)

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Neue Ordnung I/2015

Neue Ordnung I/2015
Warum Gutmenschen sich fürchten Seite 2
Von Wolfgang Dvorak-Stocker

Straßenterror und Hetze Seite 3
Von der haßerfüllten Gesinnung linker “Gutmenschen”
Von Achim Lang

Zitiert, Knapp & klar Seite 4-5

Apokalyptische Dämmerungen Seite 6-7
Von Dr. Hans-Dietrich Sander

Der Islamische Staat und Mohammed Seite 8-9
Von E. J. Huber

Meinungsmache Seite 9
Von Leopold Wohlgemut

Europa – wie weiter? Seite 10-13
Von Benedikt Kaiser, M. A.

Pegida Seite 13-14
Von Achim Lang

Es leben meine Toten! Seite 15-17
Die Antifa-Dämonologie und die kroatische Opferlehre
Von Dr. Tomislav Sunic

Kai Voss zum “NSU-Phantom” Seite 18-21

Demokratie als evolutionäres Endstadium Seite 22-25
Von Dr. Angelika Willig

Europa Seite 25

Kirche und Migration Seite 26-33
Von Martin Lichtmesz

Kann nur Gott uns retten? Seite 34-35
Zu Martin Lichtmesz’ neuem Buch
Von Wolfgang Dvorak-Stocker

Aufbruch zu einer neuen Jugendbewegung? Seite 36-37
Von Manfred Müller

Begründer des Terrors Seite 39-47
Französische Revolutionäre
Von Dr. Mario Kandil

Gedichte Seite 48

Libri legendi Seite 49


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Neue Ordnung (Graz), I/2015

http://www.neue-ordnung.at/

Es leben meine Toten!

(Die Antifa-Dämonologie und die kroatische Opferlehre)

von

Dr. Tomislav Sunic

Die dämonologische, mythologische und kriminologische Schilderung Kroatiens im  Zweiten Weltkrieg bildet noch immer die Grundlage für die Historikerzunft. Die verzerrte Geschichtsschreibung über Kroatien seitens der ehemaligen Systemhistoriker war die Hauptursache für das entstellte Geschichtsbewusstsein jugoslawischer Völker, was schließlich den Zerfall Jugoslawiens und den anschließenden Krieg in 1991 ausgelöst hatte. Im Lichte der neuen Forschungen, die zum Teil auf forensischen Untersuchungen basieren, deuten heute manche kritische kroatische Historiker, sogar in den etablierten Medien, auf viele fragewürdige Einzelheiten in der Prosa der ehemaligen Systemhistoriker hin. Im heutigen Kroatien, ähnlich wie in der BRD, will die Vergangenheit nicht vergehen. Das Hexenspiel mit Opferzahlen des Zweiten Weltkriegs tobt heftig weiter. Das Ustascha-KZ-Lager Jasenovac und der Schreckensname Ante Pavelić, der Name des Ustascha Staatsführers, der von 1941-45 in Kroatien regierte, wird weiterhin als Sinnbild für das absolute Böse hervorgehoben. Gelegentlich wird sein Name auch in bekannten Weltzeitungen als “einer des größten  Massenmörder Europas” als Warnzeichen gegen alle europäische Nationalisten verwendet. [i]

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Die Macht der Holocaust-Lobby in Großbritannien

German translation of “The power of the Holocaust Lobby in Great Britain

Wenn Sie eine drastische Veranschaulichung suchen, wer in England die Macht hat, dann werfen Sie am besten einen Blick auf die Pläne für den gewaltigen neuen Komplex der Holocaust-Gedenkstätte, die im Zentrum von London gebaut werden soll (s. “Britain’s Promise to Remember: The Prime Minister’s Holocaust Commission Report”). Der pompöse neue Tempel für den Kult der Holocaust-Staatsreligion wird aller Wahrscheinlichkeit nach neben der Tower-Brücke errichtet. So wird er zu einem markanten Bestandteil des Londoner Stadtbildes und ein dem Big Ben vergleichbares Wahr­zeichen.

Der Komplex der Holocaust-Gedenkstätte soll der größte seiner Art in Europa werden und sich mit ähn­lichen Monumenten, wie dem in Washington DC, gelegenen Holocaust Memorial Museum nahe der National Mall oder der New Yorker Gedenkstätte für den 11. September messen können. Der britische Steuerzahler wird £ 50 Million für dieses Projekt berappen, mit der Maßgabe, daß mindestens der gleiche Betrag von privaten Spendern kommt. Zweifellos wird sich dieser Betrag vervielfachen, bevor das Ganze vollendet ist.

Der englische Premierminister David Cameron, der dies am Holocaust-Gedenktag 2015 verkündete, löste damit seine feierliche Zusicherung gegenüber dem jüdischen Volk ein, daß  „es zu den Grund­werten der britischen Nation gehört, sicherzustellen, daß die Erinnerung an den Holocaust und die Lehren daraus nie vergessen werden.“ Die britische Regierung hat beigepflichtet, daß sie viel mehr tun muß, um die Indoktrination britischer Schulkinder zu intensivieren.

Diese Ankündigung der Gedenkstätte gab Cameron angesichts der in wenigen Wochen stattfindenden Wahlen eine glänzende Gelegenheit, das Knie zu beugen und seine Untertänigkeit zu demonstrieren. Er läßt nie eine Gelegenheit aus, seine Ergebenheit und seine unerschütterliche Loyalität gegenüber jüdischer Macht zu bekunden, sei es vor der Knesset, sei es bei einem Besuch von Auschwitz oder bei den Feiern anläßlich eines jüdischen Gedenktages.

Diese Gedenkstätte ist durchaus nicht das erste Monument, das gebaut wurde, um die Londoner an ihre Unterwerfung zu erinnern. Der an der Themse gelegene Tower von London wurde von Wilhelm dem Eroberer als Bergfried seiner Burg erbaut, aber die Botschaft, die von seinen einschüchternden Stein­mauern ausging, konnte kaum klarer sein: denkt daran, wer jetzt euer Herr ist.

Tausend Jahre später wird die Aussage des neuen Monuments über die Macht fast noch untertrieben sein, aber an Eindeutigkeit nichts zu wünschen übrig lassen. Cameron sagte, „Es liegt klar auf der Hand, daß es eine ins Auge fallende neue Gedenkstätte geben sollte, die als Mittelpunkt für das nationale Gedenken an den Holocaust dienen kann. Sie sollte … ein eindrucksvolles Zeugnis davon ablegen, welch große Bedeutung England der Bewahrung des Gedenkens an den Holocaust beimißt.“ Es solle „ein Ort sein, wo die Menschen ihre Reverenz zollen, sich besinnen, nachdenken und Gebete verrichten können.“ 

Diese Ankündigung erfolgte am Ende des vielleicht stärksten Propaganda-Trommelfeuers, das in Friedenszeiten die britische Öffentlichkeit unter Beschuß nahm. Denn in den Tagen vor dem Holo­caust-Gedenktag war es unmöglich, eine Zeitung aufzuschlagen oder das Fernsehen anzuschalten, ohne Holocaust-Gedenken eingetrichtert zu bekommen.

Ab etwa 2017 sollen Generationen von Schulkindern zwecks Indoktrinierung durch die Türen dieses Lernzentrums geschleust werden. Mit Hilfe des modernen Wunders der virtuellen Realität per Kopfhörer wird ihnen ermöglicht, mit totalem 360-Grad-Blickfeld in ein jüdisches Ghetto oder eine deutsche Stadt der 1930er Jahre einzutauchen und aus erster Hand über die Schrecken aufgeklärt zu werden.

Man wird keine Kosten sparen, um Lesungen, Seminare oder Theateraufführungen abzuhalten. Eine Professur wird gestiftet, und es wird Stipendien geben.

Und das kommt keinen Augenblick zu früh – es besteht eine dringender Bedarf hierfür, denn obwohl bereits zig Millionen Pfund für Holocaust-Indoktrinierung ausgegeben werden, trotz Pflichtunterricht an den Schulen, speziellen Schulkursen und endlosen BBC-Dokumentationen, scheint der Anti­semitis­mus in England auf einem Allzeit-Hoch zu sein.

Das könnte etwas mit Israels Greueltaten am Westufer des Jordans zu tun haben, die zum Tod von 2.200 Zivilisten geführt haben  – die Aktion wurde als „Rasenmähen“ bekannt. Seit diesem Zeitpunkt – nahmen die anti­semitischen Vorfälle ständig zu, wie die unermüdlichen Medien die britische Öffent­lich­keit tagtäglich informierten. Kein Tag verging ohne eine neue Schlagzeile darüber.

Dabei besteht durchaus kein Mangel an Holocaust-Denkmälern in England. Vom Lake District bis Cornwall gibt es mehr als 100 Gedenktafeln, Statuen, Gedenkgärten. Da ist das riesige Denkmal im Hyde Park, das 1983 errichtet wurde. Es gibt Kindertransport-Statuen an den Bahnhöfen von Liver­pool Street und Maidenhead.

Aber die Juden der Gedenk-Kommission (Memorial Commission) bestanden darauf, daß mehr getan werden müsse. Und nicht nur das – die Briten müßten beharrlich an die Flecken auf ihrer eigenen Weste erinnert werden.

 „Als in den 1930er Jahren die Zahl der Flüchtlinge aus Deutschland anstieg, wurde ständig darauf gedrungen, die Einwanderung zu beschränken, hauptsächlich wegen der hohen Arbeitslosigkeit. England weigerte sich, mehr Flüchtlinge aufzunehmen.“ „1937 führten Ausschreitungen in der Region  dazu, daß England die Einwanderung [nach Palästina] drosselte.“ Der Jüdische Premierminister Ian Austin sagte, England hätte mehr tun können. Diese Botschaft ist klar: England muß seinen Anteil an der Schuld am Holocaust auf sich nehmen.

Auch bei den britischen Schulkindern zeigen sich Mängel, sie erreichen nicht das Soll. Unter­suchungen zeigten, daß die Kinder zu wenig Verständnis zeigten. Und der ärgerliche Ton in diesem Bericht ist nicht zu verkennen.

Die Leute müssen begreifen, wer den Holocaust ausführte. Der Holocaust ist nicht das Werk von ein paar wenigen Schlüsselfiguren, sondern erfolgte mit weitverbreiteter Komplizenschaft. Über die Rolle der Täter gibt es schon eingehendes Unterrichtsmaterial, aber die Rolle der Gesellschaft und der Unterstützer ist noch unzureichend beleuchtet.

Und nicht nur britische Schulkinder müssen mehr lernen.

Diese Erziehung richtet sich nicht nur an Kinder im Schulalter. Der Holocaust hätte nicht ausgeführt werden können, ohne die Mitwirkung und die Aktionen einer breiten Basis der Gesellschaft, vor allem der Gruppen der Gesellschaft, von denen man normalerweise erwarten würde, daß sie die Unter­drückten und Entrechteten beschützen und ihnen helfen würden. Daher sollten Schulungen für angehende Polizeioffiziere, Richter, Ärzte, Krankenschwestern und andere öffentliche Dienstleister Lehrstoff über den Holocaust beinhalten. Das würde die Schulungsteilnehmer in die Lage versetzen, die Rolle zu untersuchen, die ihre Berufsgruppe beim Holocaust gespielt hatte und sie dazu anhalten, über ihre berufliche und persönliche Verantwortung in der heutigen Demokratie nachzudenken.

Manchmal versteigt sich das Dokument der Holocaust-Kommission bis zum Wahnwitzigen: Von höchster Wichtigkeit sei, daß kommende Generationen die historischen Tatsachen des Holocaust ver­stehen. Es sei ein so unvorstellbares und bedeutendes Ereignis, daß die Leute immer begreifen müssten, was geschah, warum es geschah, und welche Folgen es für wen hatte. Sie müssten die Ungeheuerlichkeit des Holocaust verstehen. Sie sollten den Holocaust im Zusammenhang mit dem über tausendjährigen Antisemitismus in Europa begreifen.

Wenn also ganz Europa mitgewirkt hat, muß Europa daher den höchsten Preis bezahlen: die vollständige Unter­werfung unter jüdische Interessen. Einwanderung aus der Dritten Welt und den Verlust der kulturellen und politischen Souveränität. Das gleiche gilt für die von Europäern abstam­menden Bevölkerun­gen in Nordamerika, Australien und Neuseeland.

All das wirft natürlich so viele Fragen auf, daß man kaum weiß, wo man anfangen soll. Einer der auffallendsten Aspekte dieses Berichts ist, daß er nicht einmal die Frage stellt, warum einem einzelnen Massaker so viel Aufmerksamkeit zukommen sollte, während andere, die für die Menschen in England von gleichem Interesse sind, keinerlei Beachtung erfahren.

Warum gerade das jüdische Geschick so bevorzugt behandelt werden sollte – diese Frage versucht der Bericht der Holocaust-Kommission nicht einmal zu beantworten.

Bei der Erörterung, wie das neue Denkmal aussehen sollte, debattierte die Kommission lang und breit die wichtige Frage, ob und wie das Schicksal anderer Opfer von NS-Verfolgung zur Darstellung kommen sollte. Die Kommission entschied, daß das Denkmal in seinem Kernbereich dem Schicksal der jüdischen Opfer gewidmet sein müsse, gegen die sich eine entschlossene, systematische und totale Vernichtung richtete, nicht wegen ihres Lebensstils oder ihres Glaubenssystems, sondern aufgrund ihrer Abstammung.

Es wäre jedoch ungerecht gegenüber den anderen Opfern, nicht auch deren tragisches Schicksal zu beleuchten. Unter diesen Opfern waren Angehörige der Roma-Gemeinde, Jehovas Zeugen, politische Dissidenten, Homosexuelle und Menschen mit geistigen und körperlichen Gebrechen… Daher hält es die Kommission für wichtig, daß das neue Denkmal die Verfolgung nichtjüdischer Opfer an­erkennt, jedoch die sechs Millionen ermordete Juden im Mittelpunkt stehen.

Wie ich schon früher geschrieben habe:

Eine nie gestellte Frage ist, warum die Belehrungen über politische Gewalt so selektiv sind. Wäre es für muslimische oder Hindu-Schüler nicht mehr angebracht, daß sie von der Million und mehr Menschen erfahren, die während der Teilung von Indien getötet wurden? Und was ist mit den Armeniern, die (relativ zu ihrer Anzahl) eines der schlimmsten Massaker des 20. Jahrhunderts erlitten haben, verübt durch die Türken, die jetzt selbst eine der größten Einwanderungsgruppen in London stellen, und deren Ersuchen um Aufnahme in die Europäische Union von England unterstützt wird.

Und wenn wir uns mit politischer Gewalt befassen – wie kann man da die Massaker und die kulturelle Vernichtung unerwähnt lassen, die überall der Ausbreitung des Islam folgen, ganz zu schweigen von den jüngsten Massakern an Christen in Pakistan und Nigeria.

Dann muß noch die schwerwiegendste Auslassung von allen genannt werden: die größte Vernichtungskampagne des 20. Jahrhunderts, ausgeführt von den Bolschewisten, wobei zwischen 12 und 14 Millionen durch geplantes Verhungern-Lassen und Liquidationen vernichtet wurden.

Auf jeden Fall war die kommunistische Bedrohung keine geringere Gefahr für die Sicherheit Englands als die durch NS-Deutschland. Die Kommunisten waren über weit längere Zeit ein Feind, sie hatte Atomwaffen, die auf unsere Städte zielten, und ihre Agenten und Sympathisanten waren tief in unsere herrschende Schicht eingedrungen.

Liegt es daran, daß die Juden damals in der sowjetkommunistischen Führung weit überproportional repräsentiert waren, daß dieses Thema heute für den Westen ein solches Tabu darstellt?

Liegt es an der geistigen Verwandtschaft, die unsere kulturmarxistischen Oberherrn für ihre revolutio­nä­ren marxistischen Vorgänger fühlen, daß diese vor Kritik verschont werden müssen?

Die organisierte Finanzmacht und die politische Macht der jüdischen Gemeinde erscheinen doch als der größte bestimmende Faktor, wenn es darum geht, aus welchen Massakern man Lehren aus der Geschichte zieht, und aus welchen nicht.

*    *    *

Die Offenbarungen, wer die reale Macht in England hat, reihen sich derzeit mit solch atemberaubender Geschwindigkeit aneinander, daß man sich kaum noch auf dem laufenden halten kann. Nehmen wir zum Beispiel den unglückseligen Vikar der Anglikanischen Kirche, namens Rev. Stephen Sizer, der gezwungen wurde, sich aufgrund von Beschwerden der Vertreter der britischen Juden (Board of Deputies of British Jews) zu ent­schuldigen, weil er in einer Äußerung bei Facebook die Anschläge des 11. September mit Israel verknüpft hatte. Trotz seiner Entschuldigung haben seine Kirchenoberen in der Kirche von England eine Untersuchung gegen ihn eingeleitet. Der Rev. Sizer hatte schon einige Auseinandersetzungen mit dem Board of Deputies wegen früherer Bemerkungen über Israel und die Palästinenser.

Der  Abgeordnete der Liberalen Demokraten, David Ward, wurde ebenfalls von seiner Partei gemaß­regelt, weil er per Tweed seine Abscheu darüber äußert hat, daß der israelische Premierminister Netanyahu nach dem Charli-Hebdo-Massaker an dem Pariser Marsch teilgenommen hat. Er schrieb: „Netanyahu beim Pariser Marsch – was!!! Da wird mir übel.“ Dies führte zu einer wütenden Beschwerde des israelischen Botschafters. Ähnliche Beschwerden gab es schon vor zwei Jahren und Ward wurde 2013, nach einer Beschwerde des Board of Deputies, von seiner Partei suspendiert, weil er gesagt hatte, daß die Juden nicht die Lehren aus dem Holocaust begriffen hätten.

Damals schrieb Wart, er sei „traurig, daß die Juden, die während des Holocaust ein unglaubliches Ausmaß an Verfolgung erlitten hatten, innerhalb weniger Jahre nach der Befreiung aus den Todeslagern in dem neuerrichteten Staat  Israel Greueltaten an den Palästinensern begehen konnten und dies weiterhin tagtäglich am Westufer des Jordan und im Gaza-Streifen weiterführten.“

David Aaronovitch von der Times hat eine so entschiedene Haltung zur Redefreiheit, daß er alle, die nicht damit leben wollen, ermuntert, England zu verlassen. Es ist ganz klar, daß seine Religions­genossen vom Board of Deputies das erst noch begreifen müssen. Wenn doch nur der Abgeordnete David Ward und der Rev. Sizer einen so redegewandten und prominenten Sprecher in ihrem Lager hätten. Wenn sie doch nur die Redefreiheit des verstorbenen Rabbi Schneerson genießen würden.

Gleich nach dem Holocaust-Gedenktag kamen die aufwendigen Feiern zum 50. Jahrestag des Todes von Winston Churchill. Das Fernsehprogramm wurde abgeändert um nochmals das damalige gewalti­ge Schauspiel wiederzugeben, wie das Schiff mit Churchills Sarg die Themse hinabfuhr, eskortiert von einer Flottille an Schiffen der Royal Navy.

Diese eindringliche Zurschaustellung – die zur großen Verwunderung der meisten Briten  erfolgte – könnte auf den ersten Blick den Glauben erwecken, daß England zu einem gigantischen Geschichts­themen-Park umgewandelt worden ist, und auch, daß sich daraus der Wille ablesen lasse, unser reiches historisches Erbe zu bewahren. Aber leider wäre dies eine allzu wohlwollende Interpretation.

In einer Zeit, in der die Veränderungen mit einer unglaublichen Geschwindigkeit über uns herein­brechen, haben unsere politischen Herren und Meister beschlossen, daß es gut für uns sei, wenn wir uns an solches Brimborium klammern. Und zwangsläufig wird der Churchill-Mythos in den Dienst Israels gestellt. Premierminister David Cameron verkündete in seiner Rede, die er auf Churchill hielt, mit Entschiedenheit, daß eines von Churchills Verdiensten die Schaffung des Staates Israel war. Es wurde bereits entdeckt, daß Churchill Israels „vergessener Freund“ gewesen war.

Durch genau diese Aushöhlung britischer Institutionen werden wir nämlich umgeformt. Es besteht keine Gefahr, daß Einrichtungen wie die Königliche Familie oder das Militär abgeschafft werden. Sie werden statt dessen im Innen neu ausgerichtet. Der Prinz von Wales sagte, daß er, statt die Kirche von England zu repräsentieren, die verschiedenen Glaubensrichtungen repräsentieren wolle. Heute bringen die Zeitungen bewundernd ein Interview mit der Ehefrau eines hochrangigen Armee­offiziers, dessen „Tapferkeit“ gefeiert werden soll, weil er sich als schwul bekannte.

Auf diese Weise vollzieht sich die Abschaffung unserer überlieferten Gesellschaft.

Un Ethno-État pour les Blancs d’Afrique du Sud

English version here.

Article d’origine publié le 19 février 2015

En 2012, j’ai participé à une manifestation devant le Consulat d’Afrique du Sud de Los Angeles contre le traitement génocidaire infligé aux Blancs en Afrique du Sud. Les articles rendant compte de ces manifestations, qui étaient organisées en même temps dans plusieurs villes, mettaient régulièrement le mot “génocide” entre guillemets, et laissaient entendre que nous étions tous des néo-nazis – une réaction très prévisible de la part des médias respectables de gauche comme de droite, qui n’arrivent pas à croire que les Blancs puissent être victimes de violence raciale.

Si bien que j’ai été agréablement surpris de voir que l’article de Josh Gelernter “La Fin de l’Afrique du Sud” était paru dans National Review.  Rien de ce qu’écrit Gelernter n’étonnerait une personne réaliste sur les questions raciales, et d’ailleurs, Francis Carr Begbie a présenté sur ce blog plusieurs des mêmes arguments en mai 2014, dans son article “Le meurtre des Blancs d’Afrique du Sud passé sous silence.” Le point de vue de Gelernter:

Cela va très mal en Afrique du Sud. Quand le fléau de l’apartheid a volé en éclats en 1994, le pays semblait promis à un bel avenir. Huit ans plus tard, en 2002, 60 pour cent des Sud-Africains disaient que la vie était meilleure sous l’apartheid. Difficile à croire – mais on en était rendu à ce point en 2002. Et maintenant, c’est encore pire.

Quand l’apartheid a pris fin, l’espérance de vie en Afrique du Sud était de 64 ans – la même qu’en Turquie et en Russie. Maintenant, elle est de 56 ans, la même espérance qu’en Somalie. Il y a 132,4 viols par an pour 100 000 habitants, ce qui est de loin le nombre le plus élevé au monde: le Botswana est en deuxième position avec 93, et la Suède en troisième position avec 64 ; aucun autre pays ne dépasse 32.

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Beispiel MailOnline: Wie über Antisemitismus gelogen wird

German translation of “Mailonline lies about Anti-Semitism,” by Flora.

Aus Opfertum erwächst Macht – aber was soll man machen, wenn es nicht genug Opfertum gibt, mit dem man hausieren gehen kann? Man muß es en gros fabrizieren! Genau das ist das Problem mit dem Antisemitismus – die Nachfrage übersteigt immer das Angebot. Folglich ist ein bißchen Trickserei nötig, um dem Mangel abzuhelfen. Zuerst benötigt man eine Sensation, mit der man das notwendige Aufsehen erregen kann. Dann muß man für die Darbietung eine Portion Augenwischerei zur Anwendung bringen. Und schließlich benötigt man noch ein ausreichend willfähriges Medium für die Verbreitung.

Geschwind ans Werk! Eine spritzige neue Opfertum-Geschichte soll wie echter Journalismus aus­sehen (jedenfalls, wenn man sie nicht zu genau betrachtet). Ein Beispiel gibt das neue Video, das die Londoner  MailOnline produziert hat, im Verein mit einer neuen Gruppe, die sich Campaign Against Anti-Semitism“ nennt, also „Kampagnen gegen Antisemitismus führen will. Diese Gruppe wurde bereits von der eigenen Gemeinde wegen ihrem leichtfertigen Umgang mit der Statistik stark kritisiert.

Laut MailOnline entschloß sich der „Britische Journalist Jonathan Kalmus“, in den Straßen von Manchester und Bradfort herumzuspazieren, wobei er eine Kippa – die jüdische Kopfbedeckung – trug, um zu beobachten, welche Reaktionen sich ergäben. Dieser Auftritt – der mit dem Etikett „exklusiv“ versehen wurde, als ob es sich um wirklichen Journalismus handele -, basiert nicht einmal auf einer neuen Idee. Der Artikel räumt ein, damit einen Streich zu wiederholen, der wenige Wochen zuvor schon in Paris gespielt worden war, als ein israelischer Journalist im Gefolge des Charlie Hebdo-Anschlags das gleiche Manöver absolvierte.

Wie vorauszusehen war, handelte sich Kalmus einigen Ärger ein, teils von seiten junger Pakistanis, teils von diversen nahöstlichen Gestalten. Kalmus macht daraus die übliche Geschichte über die weitverbreitete antisemitische Verfolgung. Die Netzseiten sozialer Medien und Dienste wie YouTube geben eine vorzügliche Bühne ab, um Opfertum-Mythen zu erzeugen, da sie auf lästige Anforde­rungen wie Ausgewogenheit, Nachprüfbarkeit, Korrektheit und sogar Tatsachen verzichten. Alles, was zählt, ist die emotionale Wirkung. Read more