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The media drumbeat: The West is evil

A major theme at TOO has been Jewish influence on the media and that the media reflects the attitudes of the wider Jewish community hostile to the traditional people and culture of the West (e.g., Media images of Whites; Media bias). (Relatedly, Frank Salter exhaustively shows that the media in Australia is hostile to the traditional people and culture of Australia.)

It’s a pervasive phenomenon. The first paragraphs of Andrew Joyce’s recent TOO article emphasize the many reviews in the elite media of Anthony Julius’s Trials of the Diaspora. While there are some make minor criticisms, the book is taken seriously, and the general conclusion — that the English have had a pathological hatred toward Jews for nearly a millennium — is not challenged. The reviews typically lavish praise on an execrable book—execrable at least partly because it ignores data that fail to confirm its thesis.  The main function of the book and the reviews is to add to the constant condemnatory chorus from the media: the traditional people and culture of the West are evil.

Jewish readers are confirmed in their sense of innocent victimhood; they are once again assured that hostility toward to the people and culture of traditional English society and the West generally is entirely justified.   Read more

Selon le tam-tam des médias, l’Occident, c’est le mal

Kevin MacDonald; Traduit by Anatole

L’un des thèmes principaux de l’Occidental Observer est l’influence des Juifs sur les médias et le fait que ceux-ci reflètent les opinions, hostiles à la culture et au peuple traditionnels de l’Occident, de l’ensemble de la communauté juive (Voir par ex, Media images of Whites ; Media bias).  (Parallèlement, Frank Salter montre de manière exhaustive que les médias australiens sont hostiles à la culture et au peuple traditionnels d’Australie.)

Il s’agit d’un phénomène largement répandu. Dans les premiers paragraphes de son récent article sur Occidental Observer, Andrew Joyce met l’accent sur le grand nombre de recensions que les médias élitaires ont consacrées au livre d’Anthony Julius, Trials of the Diaspora (Procès de la diaspora). Bien que certains expriment quelques critiques mineures, l’ouvrage est pris très au sérieux, et la conclusion générale — à savoir que les Anglais éprouvent depuis près d’un millénaire une haine pathologique pour les Juifs — n’est pas contestée.

Les recensions se répandent en louanges sur un livre exécrable — exécrable notamment parce qu’il ignore les données qui ne corroborent pas sa thèse. Ce livre et ses comptes-rendus n’ont pour objet principal que de reprendre l’éternel refrain dénonciateur des médias : la culture et le peuple traditionnels de l’Ouest incarnent le mal.

Les lecteurs juifs se voient confortés dans leur sentiment d’être toujours des victimes innocentes ; on leur assure à nouveau qu’il est parfaitement justifié d’éprouver de l’hostilité envers le peuple et la culture anglaises ainsi qu’à l’égard de l’Occident en général.

Les non Juifs, quant à eux, se voient confortés dans l’opinion que toute l’histoire de l’Angleterre — de 1066 (quand Guillaume Ier amena des Juifs dans le sillage de ses armées victorieuses) jusqu’à ce jour — n’est tout simplement qu’une histoire de haine irrationnelle envers les Juifs, ce qui aboutit à l’idée qu’Israël n’est rien moins qu’un parangon de vertu et la lumière des nations. Les gens qui pensent ainsi sont impuissants ou bien complices de l’assaut dont le peuple et la culture de l’Occident sont aujourd’hui l’objet.

L’une des recensions signalées par Joyce est « The Living Lie » (Un vivant mensonge) de Jonathan Freedland qui a paru dans The New Republic. Joyce note  que Freedland écrit aussi pour The Guardian et The Jewish Chronicle. Freedland publie également, sous le nom de Sam Bourne, des romans dans lesquels les intrigues tournent invariablement autour de sympathisants nazis et d’eugénistes.

Nous sommes donc avertis qu’à l’instar de Julius – que Joyce mentionne dans son article – Freedland est un activiste  juif familier des grands médias.

Freedman qualifie le livre Trials de « magistral et définitif » et il le décrit comme «  une méticuleuse taxinomie des préjugés ».

Évoluant constamment et s’adaptant aux époques, l’antisémitisme semble être l’une des constantes culturelles et sociales les plus durables de l’Angleterre. Arrêtez-vous n’importe où dans la chronologie de l’histoire d’Angleterre et vous y trouverez la haine des juifs. . . .

À ce jeu, quasiment personne ne fait exception. Julius fournit des preuves contre presque toutes les personnalités ou factions publiques et cela quelle que soit l’époque …  Julius patauge obstinément dans cette boue. Il affirme que rédiger ce livre fut « comme nager sur une longue distance dans un égout. »

Il va sans dire que cette propagande n’entreprend jamais de chercher des explications rationnelles aux opinions antijuives, comme des conflits d’intérêts entre groupes rivaux (voir: le compte-rendu de Joyce). Elle ne montre pas non plus que les attitudes négatives à l’égard des exogroupes sont un élément normal de la psychologie des êtres humains, et qu’elles sont plus susceptibles d’apparaître au sein des minorités que dans les majorités, surtout dans des conditions de concurrence et de menace. Présenter l’histoire de l’antisémitisme de cette manière ne fait absolument rien pour inciter les Juifs à une autoréflexion dépassionnée ; en revanche, cela renforce considérablement l’hostilité et l’agressivité à l’égard du peuple et de la culture de l’Occident.

De tels exemples sont légion. En voici deux exemples très récents que j’ai rencontrés tout simplement en parcourant le Los Angeles Times la semaine dernière :

Philip Glass a composé un opéra au sujet de Walt Disney, The Perfect American. Comme avec Anthony Julius, l’histoire de l’Amérique, au moins durant le XXe siècle et jusqu’à l’avènement de l’élite juive, dans les années 1960, n’est rien de plus qu’une histoire du racisme et de l’antisémitisme.

Disney se rend à Anaheim, tard le soir, pour aider à réparer le Lincoln de Disneyland, un robot animatronique qui fonctionnait mal et attaquait les spectateurs. Disney se dispute avec le robot au sujet des Noirs, Lincoln se dérègle à nouveau et frappe Walt. … Il présente les réflexions racistes et antisémites non comme des tirades mais comme des opinions très courantes à l’époque, particulièrement dans la région de Los Angeles. L’un des objectifs de The Perfect American est de nous montrer combien les temps ont changé.

Une pièce de théâtre qui s’intitule Ganesh contre le Troisième Reich est

une histoire fascinante dans laquelle, afin d’empêcher son père de détruire la terre, la divinité hindoue à tête d’éléphant descend du ciel pour récupérer des griffes corruptrices des nazis « l’antique symbole sanskrit » du svastika. Mais on trouve, enserrée dans cette aventure épique, l’histoire d’une troupe de théâtre dont les acteurs sont tous des handicapés en train de répéter une pièce dont les événements se déroulent à une époque où ceux qui étaient tenus pour différents ou déficients étaient exterminés dans des camps de concentration.  Au commencement, [deux personnages] jouent le rôle de Juifs qui fuient les nazis. [Plus tard, l’un d’eux se transforme en Docteur Josef Mengele.] … Il y a cependant des moments d’une grande profondeur… Opprimer, qu’est-ce que cela veut-il dire ? Qu’est-ce qui autorise un groupe à imposer sa volonté à un autre ? Quelles responsabilités les gens ont-ils les uns envers les autres ? Est-ce que la sagesse dépasse la compassion ? Ganesh contre le Troisième Reich est  une pièce épatante !

Je viens aussi de prendre connaissance d’une série d’articles d’un autre activiste juif, David Turner, dans le journal The Jerusalem Post. On le présente comme « le premier responsable de l’association « Justice for the Pollards » (Justice pour les Pollard) ; il a créé, en 1988, l’association « Jews United to Defend the Auschwitz Cemetery »  (JUDAC — Union des Juifs pour la défense du cimetière d’Auschwitz) ; et il exerçait auparavant les fonctions de directeur régional du « Jewish National Fund  »  ( Fonds National Juif ). Cette série comprend des titres qui montrent que Turner est tout à fait à l’unisson avec Anthony Julius ; en témoigne l’exemple suivant :

La route vers l’Holocauste : émancipation et réaction : « La haine du Juif faisait tellement partie intégrante de la culture et de la tradition occidentales qu’on ne pouvait l’exorciser ».

Le dernier article de Turner, « Les fondements de l’Holocauste : en 1924, le Congrès décide qu’il ne faut pas plus de Juifs », n’est pas sans rappeler ce que Frank Salter a écrit sur la situation en Australie où l’on affiche le plus grand mépris pour les droits de la majorité. Turner présente les opinions et les droits légitimes de la majorité comme condamnables lorsqu’ils contredisent les intérêts juifs. L’article commence par des citations de leaders américains des années 1920 qui revendiquent leur droit à protéger leurs intérêts ethniques en maintenant le statu quo ethnique :

« Je pense que nous avons maintenant dans notre pays une population suffisante et que nous pouvons fermer les portes afin de nous assurer que les citoyens américains soient purs et non métissés », déclare le sénateur Ellison DuRant Smith, en faveur de la loi sur les quotas de 1921.

En signant la Loi de 1924 imposant des restrictions sur l’immigration, le président Calvin Coolidge a fait le commentaire suivant : « Il faut que l’Amérique reste américaine ».

Ou bien considérez encore les propos qui suivent, exprimés par deux membres du Congrès dont les déclarations au cours du débat sur la loi de 1924 sont citées dans le chapitre 7 de The Culture of Critique :

L’instinct de conservation nationale et raciale ne doit pas être condamné, comme on l’a suggéré ici. Personne ne devrait être mieux en mesure de comprendre le désir des Américains de voir l’Amérique demeurer américaine que ce monsieur de l’Illinois [M. Sabath] qui mène l’offensive contre cette mesure, ou ces messieurs de New York, Dickstein, Jacobstein, Celler et Perlman. Ils appartiennent au seul grand peuple de l’histoire qui a préservé son identité raciale au cours des siècles parce que ses membres croient sincèrement qu’ils constituent un peuple élu qui possède certains idéaux à  préserver, et qui sait que la perte d’identité raciale  signifierait un changement d’idéaux. Ce fait devrait les aider, eux et la majorité de ceux qui se sont le plus opposés à cette mesure au cours du débat, à admettre et partager notre point de vue. Celui-ci n’est pas aussi radical que celui de leur propre race mais il exige seulement que le mélange avec d’autres peuples ne se fasse qu’en tenant compte des proportions et du nombre, afin que cela ne modifie pas les caractéristiques raciales plus vite que ne peut s’opérer l’assimilation aux idées politiques et au sang. (Le député Leavitt)

Permettez-moi de souligner ici que les membres du Congrès qui sont en faveur d’un contrôle de l’immigration ne prétendent pas que la race « nordique », ni même la race anglo-saxonne, soit la meilleure race du monde. … Ce que l’on prétend, en vérité, c’est que ce sont des Européens du Nord, et plus particulièrement des Anglo-Saxons, qui ont fait ce pays. Oh bien sûr ! les autres y ont contribué. Mais c’est là le cœur de l’affaire. Ils sont venus dans ce pays parce qu’il s’était déjà constitué sous la forme d’une communauté anglo-saxonne. Ils y ont apporté quelque chose, l’ont souvent enrichi, mais ils ne l’ont pas créé et ne l’ont pas encore beaucoup modifié. Nous sommes bien décidés à ce qu’ils ne le fassent point. C’est un beau pays. Il nous convient très bien. Et ce que nous affirmons, c’est que nous n’allons pas le céder à quelqu’un d’autre, ni permettre à d’autres peuples, quels que soient leurs mérites, d’en faire quelque chose de différent. S’il y a un changement à faire, c’est nous seuls qui le ferons. (Le député Vaile)

Mais ces déclarations d’intérêts légitimes, on les considère comme rien moins que le mal intrinsèque. Elles montrent également que l’idée selon laquelle l’Amérique est une nation d’élection est une pure invention (de l’élite intellectuelle juive; voir le lien précédent) qui a supplanté la conception d’une Amérique dont l’identité est enracinée dans l’ethnicité et la race. Turner commence :

Si le succès électoral du national-socialisme, dans l’Allemagne de 1932, menaçait d’apporter une « solution finale » aux préoccupations pathologiques de l’Occident vis-à-vis de son problème juif, c’est le Congrès américain qui en assura le quasi succès. La Loi de 1924 limitant l’immigration fut, au terme d’une décennie, le dernier des efforts racistes du Congrès pour limiter l’immigration aux Etats-Unis d’ « indésirables » et  encourager la venue de la souche raciale aryenne « désirée », en provenance d’Europe du Nord.

Il suffit de dire ici que cette « analyse » néglige de mentionner le fait qu’il peut y avoir des intérêts ethniques légitimes à limiter l’immigration d’étrangers — des intérêts qu’Israël est très habile à faire respecter. Il n’est pas fait mention non plus du radicalisme de tant d’immigrants juifs, à une époque où les opinions et le comportement politiques extrémistes étaient dominants au sein des communautés juives d’Europe et d’Amérique (Voir ici et ici). Du reste,  on éprouve aujourd’hui encore les effets à long terme du radicalisme juif des années 1920 et 1930 avec l’essor d’une élite hostile, dédiée à l’internationalisme et au multiculturalisme gauchistes et complètement détachée  des intérêts des peuples traditionnels de l’Occident — ce qui est la conclusion de The Culture of Critique.

Mais aux yeux de ces activistes, le comportement des Juifs n’a aucun lien avec les opinions antijuives, et la culture occidentale n’est simplement qu’une succession de maux insignes. L’incessant tam-tam fait autour de ces idées, dans les médias les plus prestigieux et au sein de l’élite intellectuelle, rejette tout ce qui a trait à l’Occident dans le domaine de la pathologie. Historiquement, ce battage hostile et incessant a entraîné une perte de confiance chez les intellectuels occidentaux qui inclinaient à défendre leur peuple et leur culture. Dans le même temps, ce même tintamarre hostile renforce l’antipathie des Juifs envers le peuple et la culture de l’Occident.

Tout ceci n’aurait aucune importance si les Juifs n’étaient pas un élément essentiel et même dominant des nouvelles élites occidentales et si ces dernières ne tentaient pas, grâce à l’immigration et au multiculturalisme, de transformer le monde occidental au mépris des intérêts légitimes des cultures et des peuples traditionnels de l’Occident.

 

 

Review: Anthony Julius’ “Trials of the Diaspora” [Part 2]: “Medieval English Anti-Semitism”

Go to Part 1. 

In part one of this essay we laid the groundwork for an examination of Anthony Julius’ Trials of the Diaspora by considering the background of the author, his background as a follower of the Frankfurt School, and his role in defending and advancing Jewish interests. We now move on to a discussion of the historical content of the text. The following analysis will first provide the reader with Julius’ narrative of the Jewish experience in medieval England. The latter half of the essay will be devoted to dissecting his narrative, and pointing out its myriad flaws, misrepresentations, and fabrications.

Julius on Jews in Medieval England.

Julius sets out his history of Jews in medieval England by establishing a common theme in Jewish ethnic activist history writing — complete Jewish passivity and the employment of what I term ‘the victim paradigm.’ As I explained in my earlier work on the 19th century Russian disturbances, “it is the notion that Jews stand alone in the world as the quintessential ‘blameless victim.’ To allow for any sense of Jewish agency — any argument that Jews may have in some way contributed to anti-Jewish sentiment — is to harm the perpetuation of this paradigm.” To Julius, the history of Jews in medieval England is one in which an innocent Jewish population is victimized by “a predatory State, an antagonistic Church, and an intermittently but homicidally violent populace” (p. xli). Julius writes that the period witnessed “a war against the Jews” (p. xli). The lives of the Jews, from the moment of their settlement in the country in 1066, were according to Julius “always difficult, often intolerable” (p. xli).

Julius paints a portrait of a community like any other, diverse in its interests and occupations. Certainly, admits Julius, there were “some great financiers,” but money-lending played no great part in Jewish life, and there were also “physicians, traders, goldsmiths and ballad-singers” (p. 106). Julius claims that “they were not segregated from their Christian neighbors” (p. 107). He urges us to avoid “the misconception that the typical Jewish milieu is a commercial one, and that Judaism itself is especially hospitable to moneymaking” (p. 123). Read more

Review: Anthony Julius’ “Trials of the Diaspora: A History of Anti-Semitism in England” [Part One]

Accompanied by much publicity, 2012 saw the publication in paperback of Anthony Julius’ Trials of the Diaspora: A History of Anti-Semitism in England. The paperback followed on from the successful performance of the hardback, which had come out under the imprint of Oxford University Press in 2010. As in so many other cases, much of the book’s success had little to do with its scholarly merit and more to do with a great deal of ethnic networking. For example, Philip Roth labelled Julius’ 827-page literary tumbleweed “an essential history” written by a man with “scholarly integrity”,  while Harold Bloom at the New York Times Book Review gushed that “Julius is a truth-teller, … I am grateful for his calm balance …  and extraordinary moral strength.”

The book achieved its greatest success in Britain, where despite comprising only around 0.5% of the British population, Jews managed to get positive reviews of Julius’ book in almost every single major British newspaper and magazine. At London’s Financial Times the review was written by James Shapiro, an academic who specializes in trying to dismantle Shakespeare, either by denouncing him as an anti-Semite or, paradoxically, claiming that he never wrote any of the works attributed to him. At The New Republic the review was written by Jonathan Freedland, who also writes for The Guardian and The Jewish Chronicle. Freedland also publishes fiction under the name Sam Bourne, in which his plots invariably revolve around Nazi sympathizers and eugenicists. At the New Statesman praise this time came from Jonathan Beckman who also writes for The Guardian and the The Jewish Chronicle. At the Telegraph the review was written by Gerald Jacobs, another Jewish Chronicle stalwart. At the Independent the review was written by Bryan Cheyette, an academic who specializes in portraying White societies as having a neurotic hatred of Jews. At The Guardian, the review was penned by none other than Antony Lerman, a former Director of the Institute for Jewish Policy Research.

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Les Grandes Questions: l’Eugénisme et les Ethno-États

By Kevin MacDonald; translated by Armor

English version here

Chaque année, le site Edge.org réunit quelques gens certifiés très intelligents pour qu’ils donnent leur avis sur une Grande Question. La Grande Question de cette année est “De quoi faut-il s’inquiéter ?” S’ils m’invitaient à donner mon propre avis, je suppose que je parlerais du déclin des Blancs dans toutes les sociétés historiquement blanches, de l’Australie à l’Europe, et des conséquences possibles en termes de conflit racial/ethnique à mesure que le multiculturalisme continue sans résistance sa marche en avant.

Mais personne ne s’inquiète de cela parmi ces brillants esprits. Il n’empêche que deux ou trois commentaires portent quand même sur ces questions. Geoffrey Miller, psychologue évolutionniste à l’Université du Nouveau-Mexique et de NYU, décrit l’eugénisme chinois comme une menace à long terme pour l’Occident. En Occident, comme l’a montré John Glad, l’eugénisme figure parmi les victimes de la Deuxième Guerre mondiale, suite aux efforts de militants intellectuels juifs qui ont réussi à associer l’idée de l’eugénisme à l’Holocauste. L’eugénisme se porte très bien en Israël et en Chine, mais en Occident, toute allusion à cette idée provoque une “panique morale”. Miller note qu’ “Avec la loi de 1995 sur la santé maternelle et néo-natale (dite loi eugénique jusqu’à ce que les protestations occidentales imposent un changement de nom), la Chine a interdit le mariage aux gens porteurs d’anomalies héréditaires mentales ou physiques, et a encouragé la généralisation des échographies prénatales pour détecter les malformations congénitales.”

Au début du 20e siècle, les principes eugéniques basés sur le darwinisme étaient connus de tous, et on se préoccupait de l’avenir de la race, mais chez les Européens comme Madison Grant et chez les Chinois :

De nombreux scientifiques et réformateurs de la Chine républicaine (1912-1949) étaient des darwiniens et galtoniens enthousiastes. Ils se préoccupaient de l’extinction raciale (miezhong) et de «la science des foetus déformés» (jitaixue), et ils voyaient l’eugénisme comme un moyen de redonner à la Chine sa place légitime de première civilisation du monde, après un siècle d’humiliation par le colonialisme européen.

La Chine, comme Israël, est un état ethnique, doté d’une forte volonté de garantir l’avenir de la race :

L’une des politiques héritées de Deng est la stratégie qui consiste actuellement en Chine à renforcer au maximum le “Pouvoir National Global” [Comprehensive National Power]. Cela comprend le pouvoir économique (PIB, ressources naturelles, énergie, secteur de la fabrication, infrastructure, détention de la dette nationale américaine), la puissance militaire (cyberguerre, missiles balistiques anti-porte-avions, missiles antisatellites), et le “pouvoir soft” (prestige culturel, Jeux olympiques de Pékin, tourisme, cinéma et art contemporain, Instituts Confucius, les gratte-ciel de Shanghai). Le point crucial est que le Pouvoir National Global comprend aussi le “biopouvoir“, qui consiste à créer le meilleur capital humain du monde en termes de gènes, de santé, et d’éducation de la population chinoise ….

Il y a une coopération exceptionnellement étroite en Chine entre le gouvernement, les universités, le secteur médical, l’éducation, les médias, les parents, et l’idéal consumériste, dans l’idée de mettre en place un utopique ethno-état han. D’après ce que je connais de la génétique comportementale évolutive, je pense—et j’espère—qu’ils réussiront. Le bien-être et le bonheur du pays le plus peuplé du monde en dépend.

Miller voit cela comme une menace pour l’Occident, où le point de vue sur l’eugénisme reste influencé par le marxisme culturel :

Ce qui m’inquiète vraiment est la réaction occidentale. Le plus probable, vu les préjugés idéologiques euro-américains, serait une réaction de panique bioéthique qui nous conduirait à critiquer la politique démographique de la Chine avec la même hypocrisie bien-pensante que nous avons déjà montrée en critiquant leurs diverses politiques socio-culturelles. Mais les enjeux sont trop importants, au niveau mondial, pour réagir aussi bêtement, et à si courte vue. Une réponse plus adulte se fonderait sur le respect mutuel des civilisations, en se demandant : Que pouvons nous apprendre de l’exemple chinois, comment pouvons-nous les aider, et comment peuvent-ils, tout en créant leur monde utopique, nous aider à nous maintenir à niveau ?

Une autre réponse à la question que pose le site Edge nous est fournie par Douglas Kenrick, psychologue évolutionniste à l’université de l’Arizona.

Le film Idiocracy ne méritait pas exactement d’être présenté aux Oscars, mais il partait d’une prémisse intéressante: Étant donné que dans le monde moderne, il n’y a pas de forte sélection sur le Quotient Intellectuel, les gens moins intelligents font plus d’enfants que les autres. En extrapolant cette tendance sur 500 ans, les producteurs du film ont dépeint un monde qui était peuplé de demeurés. Est-ce une possibilité pour l’avenir ?

D’après Kenrick, c’est une possibilité. Il étudie les gens qui ont des familles nombreuses car il y a une corrélation négative entre le QI et la taille de la famille. Et il pense que la religion conservatrice est la principale raison pour laquelle les gens ont des familles nombreuses. De tels gens sont dangereux parce qu’ils menacent de mettre fin à la recherche scientifique qui est le moteur d’une économie productive.

Et il y peut-être une autre ironie. Si la population continue d’augmenter parmi les conservateurs qui ont grandi dans la religion, et s’ils continuent à voter comme ils l’ont fait jusqu’ici, les financements pour l’éducation et la recherche scientifique diminueront sans doute. Une population moins éduquée pourrait contribuer non seulement à un déplacement vers le haut de la taille de la population, mais aussi à une dégradation en spirale de l’économie. Donc, si la proportion d’anti-intellectuels grandit dans la population, et parvient à couper les fonds qui allaient à l’éducation et à la recherche scientifique, ils couperont ainsi le système qui alimentait la machine à “capital humain” la plus productive au monde.

Kenrick réussit à dire tout cela sans aborder l’angle ethnique/racial qui est pourtant une réalité en Amérique, et presque partout en Occident, de nos jours. Toute politique suggérant que les gens de faible quotient intellectuel doivent faire moins d’enfants se heurterait à une avalanche d’objections de la part des groupes à QI peu élevé (les Noirs, les Latinos) et de la part de tout l’establishment culturel gauchiste. On ose à peine imaginer la réaction hostile qu’une telle politique recevrait de la part des auteurs d’éditoriaux du New York Times. (Miller indique qu’une des raisons de la politique chinoise de l’enfant unique était de réduire la fertilité des populations rurales, qui avaient traditionnellement des familles nombreuses, et dont la fertilité avait des effets dysgéniques.)

Et en fait, le problème n’est pas vraiment que les conservateurs religieux coupent le financement des sciences. Aujourd’hui même, en Californie, le Gouverneur Jerry Brown a déclaré que les systèmes universitaires UC et CSU devaient réduire leur budget de recherche et proposer des solutions (comme par exemple, des cours sur internet) afin de pouvoir prendre en charge plus d’étudiants. Ce projet va se heurter à une terrible résistance de la part des universités, mais le problème est incontournable, étant donné l’afflux massif de personnes à faible QI à qui il faut fournir un service coûteux. Dans un article du Wall Street Journal (“La Tragédie Grecque de la Californie“), deux professeurs de Stanford, Michael F. Boskin et John F. Cogan, indiquent que

entre le milieu des années 1980 et 2005, la population californienne a augmenté de 10 millions, pendant que le nombre de bénéficiaires du Medicaid [NdT: aide médicale publique] augmentait rapidement de sept millions ; les contribuables payant des impôts sur le revenu ont augmenté de seulement 150.000, tandis que la population carcérale s’est accrue de 115.000 personnes. … Pour 12% de la population américaine, la Californie rassemble un tiers des bénéficiaires d’aide sociale du pays.

Ainsi, tandis que la Chine fait tout son possible pour améliorer la qualité génétique de sa population et conserve le solide sentiment d’être un État ethnique, les États-Unis importent massivement des populations peu éduquées et de faible QI, dont le besoin de services sociaux est fatalement jugé prioritaire par rapport à la recherche scientifique et au besoin de disposer d’universités de première classe.

Pour finir, un commentaire de John Tooby résume le comportement de tant de psychologues évolutionnistes qui refusent complètement de reconnaître l’importance des collectivités ethniques. En effet, Tooby écrit qu’il existe

une deuxième catégorie de menaces —cachées, mortelles, toujours en train de s’adapter, déjà là— et qui m’inquiètent encore plus : les monstres que nous nourrissons tous en nous, liées aux pulsions du Ça (par exemple, l’identité de groupe, l’appétit de prestige et de pouvoir, etc.), ainsi que leur progéniture déguisée, les illusions collectives auto-organisatrices auxquelles nous participons tous, et que nous faisons l’erreur de prendre pour la réalité.

Chinois et Israéliens ont indéniablement développé une forte identité collective ethnique, avec des États ethniques qui servent à promouvoir les intérêts d’un groupe ethnique particulier. Et les Chinois comme les Juifs ont une longue histoire de pratique de l’eugénisme au sein de leur population (pour la Chine, voir Miller ; pour les Juifs, voir Glad ou mon livre de 1994, A People That Shall Dwell Alone). En quoi exactement s’agit-il d’erreurs ? Ces politiques visent à défendre les intérêts ethniques des peuples, tandis qu’en Occident, l’idée que les Blancs puissent avoir des intérêts ethniques/raciaux est tournée en ridicule comme si cette idée n’avait aucun mérite, comme si cette idée trahissait un problème de racisme persistant, etc.

La plupart des psychologues évolutionnistes (mais certainement pas Frank Salter) ont pris l’habitude de s’enfoncer la tête dans le sable dès qu’il s’agit de conflits entre groupes, ou de sélection entre les groupes. Tooby continue dans cette tradition. Il m’a toujours paru incroyable que des scientifiques qui prétendent prendre l’évolution au sérieux puissent complètement ignorer le phénomène de la sélection naturelle dans le monde contemporain. Ils savent repérer facilement la sélection naturelle dans la nature lorsqu’un animal (ou une sous-espèce) entre en concurrence avec un autre dans une certaine niche écologique, avec pour résultat que certains gènes survivent et prospèrent, et pas certains autres. Par contre, le déclin des Blancs, dans toutes les sociétés historiquement blanches, de l’Australie jusqu’à l’Europe, n’obtient que des bâillements de leur part. Aucune importance.

Tooby réalise parfaitement que le monde intellectuel se divise en nombreuses cliques et tribus :

Considérez le nombre de pathologies cognitives collectives qui, dans nos coalitions intellectuelles, résultent du tribalisme de petites cliques, de l’intérêt personnel, de la recherche de prestige, et des jeux de surenchère morale

C’est exactement la thèse de The Culture of Critique, mais Tooby serait sûrement consterné d’entendre qu’un bon nombre de théories auxquelles croient les intellectuels comme lui sont le simple résultat d’un conflit ethnique autour de la construction de la culture, un conflit où —comme dans le cas de l’eugénisme— le tribalisme juif a joué un rôle crucial, de même que la condamnation morale des Blancs et de leur culture a joué un rôle essentiel. Tous les mouvements intellectuels juifs discutés dans The Culture of Critique comportaient une critique morale de l’Occident, et en particulier de l’idéologie antisémite.

Mais si les Chinois, comme le prédit Miller, utilisent les principes de l’eugénisme pour se transformer en une super race — s’ils réussissent à créer une société avec un QI moyen encore plus élevé que maintenant, et relativement exempt de troubles mentaux, alors ils renforceront énormément leur puissance concurrentielle, car ils pourront constituer des sociétés bien-ordonnées et technologiquement avancées, sans être gênés par des conflits ethniques diviseurs, pendant que l’Occident s’enfoncera dans l’idiocratie.

En attendant, il ne reste plus à l’Occident que l’indignation morale impuissante — un moyen infaillible de finir aux oubliettes de l’évolution. Vu le rôle des intellectuels juifs dans la politique actuelle de rejet de l’eugénisme en Occident, on doit au moins considérer la possibilité que leurs motivations soient liées à l’idée de rendre les peuples occidentaux moins compétitifs — surtout quand on observe qu’Israël s’est lancé dans l’eugénisme, et je n’ai pas connaissance, en Occident, d’intellectuels juifs dénonçant ces pratiques israéliennes.

Le national-socialisme se souciait fortement de garantir et préserver l’avenir racial des Allemands. Il n’est donc pas surprenant que l’hostilité juive envers le National-Socialisme aille de pair avec le refus de laisser les Allemands (et par extension, d’autres peuples européens) prendre en charge leur propre avenir génétique, comme beaucoup souhaitent le faire dans le mouvement eugéniste classique. En fin de compte, l’opposition juive à l’eugénisme peut être considérée comme un simple aspect de la guerre ethnique en cours entre Juifs et Européens. (voir ici)

The Sexual Subversion of America, Part 2 of 2

An edited abridgement of E. Michael Jones’ 2003 essay, Rabbi Dresner’s Dilemma: Torah v. Ethnos, presented with pictures and captions by Lasha Darkmoon

der sturmer

 Anti-Jewish cartoon from a German school book for children (c. 1935) alleging  the sexual exploitation of German women by Jewish men. 

8.  The sexually corrupted have now become the corrupters

The impression one gets by reading Rabbi Dresner’s book—Can Families Survive in Pagan America?—is that over the course of the twentieth century in America the Jews have suffered one of the greatest defeats in their history.

Dresner blames this defeat on assimilation, but the irony is that the Jews were corrupting America’s morals at the same time that they were undergoing moral corruption themselves by assimilating so successfully in America.

Assimilation means the adoption of pagan sexual mores of the sort that nearly destroyed the Israelites at the time of the Book of Kings. The Jews who came to America, who arrived from the Polish shtetls, arrived to find a ruling class more interested in Darwin than in Christ. They adopted the worst aspects of modernity and became both the corrupted and—because of their influence in the media—the corrupters simultaneously. Read more

Les origines juives du multiculturalisme en Suède

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Dans le livre The Culture of Critique et dans d’autres écrits, j’ai développé l’idée que la présence des Juifs et de la communauté juive organisée était une condition nécessaire et déterminante rendant possible le progrès du multiculturalisme en Occident. Dans le Chapitre 7, à propos de l’implication juive dans l’élaboration de la politique d’immigration, je me suis principalement intéressé aux États-Unis, avec aussi de brefs passages sur l’Angleterre, le Canada, l’Australie (dont Brenton Sanderson a parlé plus en détail récemment sur The Occidental Observer), et la France.

Une question qu’on me pose souvent concerne le rôle des Juifs en Suède et dans d’autres pays européens où les Juifs sont relativement peu nombreux. Un article a maintenant été traduit du suédois, “Comment et pourquoi la Suède est devenue multiculturelle”, qui résume les travaux universitaires concernant le rôle des Juifs dans la transformation de la Suède en société multiculturelle. Il conviendrait de lire cet article dans son intégralité, mais on peut noter quelques points marquants :

Le changement idéologique a commencé en 1964 lorsque David Schwarz, un Juif polonais survivant de l’Holocauste qui avait immigré en Suède dans les années 1950, a publié l’article «Le problème de l’immigration en Suède” dans le plus grand et plus important journal du matin en Suède – le Dagens Nyheter (“Nouvelles Quotidiennes”), dont les propriétaires sont juifs. Cet article a lancé un débat acerbe qui s’est surtout déroulé dans le Dagens Nyheter, mais qui s’est prolongé ensuite dans d’autres journaux, des éditoriaux, et des livres. …

Schwarz s’est montré de loin le plus actif de ces faiseurs d’opinion, avec 37 contributions au débat sur la question de l’immigration sur un total de 118 de 1964 à 1968. Schwarz et ses alliés idéologiques avaient une position dominante et agressive, si bien que leurs interlocuteurs se retrouvaient sur la défensive, avec l’impression que leur point de vue était étouffé. Par exemple, pour discréditer ses adversaires, Schwarz maniait les accusations d’antisémitisme de façon très efficace. …

C’est le Parti de Droite, un parti conservateur, qui a adopté le premier l’idée du pluralisme culturel et a ainsi fortement participé à élaborer la nouvelle orientation radicale. Il est à noter que le président du Parti de Droite de 1961 à 1965, Gunnar Heckscher, était le premier dirigeant d’origine juive de ce parti.

Comme aux États-Unis et ailleurs, l’activisme juif a été aidé par la possession de médias par les Juifs. Les militants ont insisté sur le devoir de la Suède de revoir sa politique d’immigration pour se repentir d’avoir persécuté les Juifs. Dans le cas suédois, les critiques concernent la politique du gouvernement suédois envers les Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. (Dans le cas des États-Unis, les activistes juifs ont insisté que la loi de 1924 sur l’immigration était d’inspiration antisémite, et de nombreux activistes, y compris des universitaires comme Stephen J. Gould (dans son infâme livre La mal-mesure de l’homme, voir ici, p 30 et suivantes), ont affirmé que les restrictions américaines sur l’immigration s’étaient soldées par la mort de Juifs dans l’Holocauste. Même Stephen Steinlight, qui demande une limitation de l’immigration musulmane (et seulement de l’immigration musulmane), a qualifié la loi de 1924 d’ “immorale, xénophobe, antisémite», «vilement discriminatoire», une «immense faillite morale », une« politique monstrueuse “, voir ici, p 5)

L’objectif d’une assimilation à la culture suédoise a été jugé inacceptable :

La position de départ était donc une optique de culture pluraliste. Les immigrés seraient encouragés, avec un soutien massif, financier et gouvernemental, à préserver leur culture (en montrant au monde entier que la Suède est un pays tolérant où tout le monde est le bienvenu). Selon cette optique, la rencontre entre la culture suédoise et les cultures minoritaires serait enrichissante pour toute la communauté, et la population majoritaire commencerait à s’adapter aux minorités. …

Ce n’est pas par simple coïncidence que les organisations juives d’Europe se dissocient systématiquement des organisations qui critiquent l’Islam. En effet, toute généralisation défavorable envers une minorité particulière peut finir par atteindre les Juifs.

L’article affirme, et je partage cette opinion, que les Juifs sont motivés par le désir de diviser ethniquement et culturellement les sociétés homogènes, de peur que ces sociétés puissent se retourner contre les Juifs, comme cela s’est produit en Allemagne, en 1933-1945, mais aussi à cause de la tradition juive de haine de la civilisation chrétienne de l’Occident. Il conclut en notant qu’en plus des médias sous propriété juive, l’influence juive s’est trouvée facilitée par le fait que la science anthropologique était dominée par l’école de Franz Boas (un mouvement intellectuel juif), par ses positions à propos du relativisme culturel, et par son dénigrement de la culture occidentale.

Je suis entièrement d’accord que l’influence juive vient du fait qu’ils forment une élite universitaire et médiatique, et qu’ils réussissent en même temps à développer des organisations activistes bien financées et très efficaces. Dans l’article, le rôle de Bruno Kaplan, du Congrès juif mondial, est mis en avant.

On a là un éclairage précieux pour aider à comprendre le problème de la mort imminente de l’Occident. Bien entendu, une telle analyse ne dispense pas de chercher à comprendre pourquoi les cultures occidentales ont cette prédisposition particulière qui les rend vulnérables à des idéologies qui voient la destruction de l’Occident comme un impératif moral. Néanmoins, il est vital de comprendre quelles forces ont activement poussé les cultures occidentales dans cette direction.